A new selection of French novels, comedies, and elegant extracts, in prose, by C.M. de BellecourWilliam Blackwood, 1819 - 492 pagina's |
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... reste ; mais vivez , si vous voulez que je vive : votre échafaud serait le mien . Je m'y attends bien , dit Lausus ; et ton ami t'estime trop pour t'exhorter à lui survivre . A ces mots ils s'embrassèrent , et Phanor sortit des cachots ...
... reste ; mais vivez , si vous voulez que je vive : votre échafaud serait le mien . Je m'y attends bien , dit Lausus ; et ton ami t'estime trop pour t'exhorter à lui survivre . A ces mots ils s'embrassèrent , et Phanor sortit des cachots ...
Pagina 46
... reste encore un sacrifice à te faire , et tu viens de t'en rendre digne . Reçois - la donc , dit - il avec un nouvel effort , reçois - la cette main dont le présent t'est plus cher que la vie : c'est ta valeur qui me l'arrache ; elle ...
... reste encore un sacrifice à te faire , et tu viens de t'en rendre digne . Reçois - la donc , dit - il avec un nouvel effort , reçois - la cette main dont le présent t'est plus cher que la vie : c'est ta valeur qui me l'arrache ; elle ...
Pagina 47
... reste du monde . Sébastien Cabot y pénétra le premier , dans l'année 1526 , en remontant la rivière qu'il appela Rio de la Plata . Les lingots d'argent que vinrent of- frir aux Espagnols les naturels du pays , attirèrent bien- tôt d ...
... reste du monde . Sébastien Cabot y pénétra le premier , dans l'année 1526 , en remontant la rivière qu'il appela Rio de la Plata . Les lingots d'argent que vinrent of- frir aux Espagnols les naturels du pays , attirèrent bien- tôt d ...
Pagina 70
... reste à croire , c'est qu'impatient de revoir sa patrie , il y place à mesure sa petite fortune , et qu'il me cache le désir d'etralier jouir dans son sein . Comme il n'y avait rien de plus simple , ni de plus vraisemblable , j'eus la ...
... reste à croire , c'est qu'impatient de revoir sa patrie , il y place à mesure sa petite fortune , et qu'il me cache le désir d'etralier jouir dans son sein . Comme il n'y avait rien de plus simple , ni de plus vraisemblable , j'eus la ...
Pagina 74
... reste . Quelques - uns se rendaient traitables ; mais les autres , en alléguant la fortune de mon beau - père , me dirent que c'était à lui de me donner du tems , et qu'en se saisissant de la dépouille de sa fille , c'était leur bien qu ...
... reste . Quelques - uns se rendaient traitables ; mais les autres , en alléguant la fortune de mon beau - père , me dirent que c'était à lui de me donner du tems , et qu'en se saisissant de la dépouille de sa fille , c'était leur bien qu ...
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A new selection of French novels, comedies, and elegant extracts, in prose ... Ch. Max. de BELLECOUR Volledige weergave - 1819 |
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Abdias ADÈLE aimable aime alcade allez Allons âme Angéline ANGÉLIQUE ANTOINE avez BELMONT Bérenger bonheur BOURVAL bras Camiré CAZINI Célestine charmante cher chercher ciel cœur colonel Darud demande DESPARVILLES Dieu dire dis-je dit-il DOMESTIQUE don Pèdre Dorbel DORSAY DORVAL DUBUISSON Eliezer enfans époux êtes EUGÈNE fâché femme fille frère GABRIEL GERMENCEY GÉRONTE Guaranis heures heureux j'ai j'en jeune homme joie Joseph jour l'ai LAFLEUR laisser larmes Lausus lettre long-tems Lydie m'avez m'en MADAME DALANCOUR MADAME DE MIRCOUR MADAME FIERVILLE MADAME MUSARD MADAME VANDERK mademoiselle main maison maître Maldonado malheureux MARIE MARTHON mère Mézence Monsieur Delaigle Monsieur Lerond Nelcour Neph Nephthali nièce oncle pardon parler passer PÉDRO Phanor PICARD pleurs Rachel reste rien ROSALINE Sadoc SAINVILLE sais SCÈNE VIII Sélico sentiment sera seul sœur soins SOPHIE sort tems tremblant trouve URBAIN vais VALÈRE VANDERK FILS VANDERK PÈRE venir veux VICTORINE voilà voulez yeux Zulbar
Populaire passages
Pagina 467 - ... la nature semblait encore prendre plaisir à s'y mettre en opposition avec elle-même, tant on la trouvait différente en un même lieu sous divers aspects. Au levant les fleurs du printemps, au midi les fruits de l'automne, au nord les glaces de l'hiver...
Pagina 468 - Quelques-unes en avaient de longues et de brillantes, comme des lames de nacre; d'autres de courtes et de larges, qui ressemblaient à des réseaux de la plus fine gaze. Chacune avait sa manière de les porter et de s'en servir. Les unes les portaient perpendiculairement, les autres horizontalement, et semblaient prendre plaisir à les étendre. Celles-ci volaient en tourbillonnant à la manière des papillons; celles-là s'élevaient en l'air, en se dirigeant contre le vent, par un mécanisme à...
Pagina 469 - ... hérissés de poils, séparés par des canaux, et parsemés de glandes. Ces compartiments m'ont paru semblables à de grands tapis de verdure, leurs poils à des végétaux d'un ordre particulier, parmi lesquels il y en avait de droits, d'inclinés, de fourchus, de creusés en tuyaux, de l'extrémité desquels sortaient des gouttes de liqueur ; et leurs canaux, ainsi que leurs glandes, me paraissaient remplis d'un fluide brillant. Sur d'autres espèces de plantes, ces poils et ces canaux se présentent...
Pagina 471 - ... enfin l'on y touche, et rien ne peut exprimer la variété des sensations qu'on y éprouve; la hauteur de leur sommet, la rapidité de leur pente, l'ampleur de leur surface, le poids de leur assiette, la mémoire des temps qu'elles rappellent, le calcul du travail qu'elles ont coûté, l'idée que ces immenses rochers sont l'ouvrage de l'homme, si petit et si faible, qui rampe à leur pied, tout saisit à la fois le cœur et l'esprit d'étonnement, de terreur, d'humiliation, d'admiration, de...
Pagina 477 - ... les plus grands trésors. Si elle était plus dure, l'homme ne pourrait en ouvrir le sein pour la cultiver ; si elle était moins dure, elle ne pourrait le porter; il enfoncerait partout, comme il enfonce dans le sable ou dans un bourbier. C'est du sein inépuisable de la Terre, que sort tout ce qu'il ya de plus précieux. Cette masse informe, vile et grossière, prend toutes les formes lès-plus diverses, et elle seule donne tour à tour tous les biens que nous lui demandons.
Pagina 472 - ... d'humiliation, d'admiration, de respect. Mais, il faut l'avouer, un autre sentiment succède à ce premier transport ; après avoir pris une si grande opinion de la puissance de l'homme, quand on vient à méditer l'objet de son emploi, on ne jette plus qu'un œil de regret sur son ouvrage ; on s'afflige de penser que, pour construire un vain tombeau, il a fallu tourmenter vingt ans une nation entière ; on gémit sur la...
Pagina 236 - Ah! mon père! vous me l'avez dit hier: vous avez été insulté; vous étiez jeune, vous vous Êtes battu; vous le feriez encore. Ah, que je suis malheureux! je sens que je vais faire le malheur de votre vie. Non .... jamais .... Quelle leçon!
Pagina 466 - Un mélange étonnant de la nature sauvage et de la nature cultivée montrait partout la main des hommes, où l'on eût cru qu'ils n'avaient jamais pénétré: à côté d'une caverne on trouvait des maisons; on voyait des pampres secs où l'on n'eût cherché que des ronces, des vignes dans des terres éboulées, d'excellents fruits sur des rochers, et des champs dans des précipices.
Pagina 482 - Voyez-vous cette flamme que certaines montagnes vomissent, et que la terre nourrit de soufre dans ses entrailles ? Ce même feu demeure paisiblement caché dans les veines des cailloux, et il y attend à éclater, jusqu'à ce que le choc d'un autre corps l'excite, pour ébranler les villes et les montagnes. L'homme a su l'allumer et l'attacher à tous ses usages, pour plier les plus durs métaux, et pour nourrir avec du bois, jusque...
Pagina 218 - Hollandais m'associa à son commerce, il m'offrit sa nièce et sa fortune. Je lui dis mes engagements ; il m'approuve, il part, il obtient le consentement des parents de votre mère ; il me l'amène avec sa nourrice : c'est cette bonne vieille qui est ici. Nous nous marions ; le bon Hollandais mourut dans mes bras ; je pris, à sa prière, et son nom et son commerce.