Profession de foi du dix-neuvième sièclePagnerre, 1852 - 444 pages |
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Expressions et termes fréquents
accumulée Ahriman allait alluvion âme apostasie beauté Brahma bramane brise caste catholicisme cesse chair chemin ciel cité civilisation continuellement corps couchant création crée dernière désert destinée devant Dieu Divinité dogme enfin éparse errante Eupatrides existence famille femme fibre flamme flot flottante force forme frémissante front génie Grèce guration gynécée heure homme humaine Iliade immense immortalité intel Isis jour l'âme l'animal l'atmosphère l'autre l'esclave l'espace l'esprit l'histoire l'homme l'humanité l'idée l'immensité l'Inde l'infini l'intelligence l'ombre lèvre Liban loppe main maison marche Méditerranée Ménade ment métempsychose moisson monde monieusement montagne mort mourir mystérieuse nation nature nisme nouvelle nuit Osiris parfum parole partout passé pensée perpé perpétuelle Perse peuple Phénicie pied plante poésie porte poussière pouvait première progrès propriété protestantisme puissance races rayon regard religion richesse Rome sacrée science sentiment servitude seul siècles soleil sorte souffle sympathie terre tête théisme théogonie tion travail travers tribu troupeau vallée vent vivant voix volupté
Fréquemment cités
Page 379 - Je suis la Résurrection et la Vie ; celui qui croit en moi, vivra, quand même il serait mort ; 26 Et quiconque vit et croit en moi, ne mourra point pour toujours.
Page 305 - Il juge le bien d'après le mieux. Il calomnie le passé. • Si donc nous voulons être justes, nous devons dire : Toute forme « qui tend à créer un progrès doit être bénie à l'heure de ce pro...
Page 363 - II ya sur la terre une force qui crée toujours et qui suit dans son travail la loi de progression. Cette force a successivement produit l'eau, le sol, la plante, l'animal, l'homme enfin, panthéon vivant de toute la série antérieure de la création. Arrivée à ce dernier terme, elle passe de la nature proprement dite, désormais achevée, dans l'humanité, c'est-à-dire , la nature élevée sur cette terre à sa suprême puissance et appelée à de nouveaux progrès. Elle continue à créer avec...
Page 195 - L'épargne ou la jouissance substituée est donc supérieure à la simple consommation, ou à la jouissance sur place, de tout l'intervalle qui sépare l'inconstance de la durée; la gloire, de l'action...
Page 370 - Il invente la géométrie, la dynamique... ; il arme l'homme d'une nouvelle musculature extérieure, mue à distance par sa volonté ; la loi du progrès, loi de justice, le voulait ainsi : un homme purement mécanique en quelque sorte, l'esclave, tournaitla meule pour moudre la nourriture de cet autre homme, oisif, plongé dans la méditation, qui inventait le moulin; et le moulin inventé prenait la place de l'esclave ; le penseur, racheté de l'œuvre des mains par la servitude, rachetait, à...
Page 276 - Ce vitrail éclairait une vaste pièce meublée de meubles grossièrement sculptés, qui servait à la fois de cuisine, de salle à manger, de salle de compagnie et de chambre à coucher.
Page 441 - Lorsque je songe à toi, ô mon siècle, je suis sur le trépied, j'ai le « frémissement sacré, le vent souffle dans mes cheveux. Ils peuvent « t'injurier, ceux-là dont l'âme paralytique est restée en arrière. Ils « peuvent défier l'avenir ; l'avenir ne connaîtra même pas leur défi.
Page 92 - ... l'utilité de la faiblesse ; elle avait conquis une occupation : elle filait la laine du troupeau. Heureuse et à jamais bénie la date mystérieuse, maintenant oubliée de l'histoire , où la première fois une aïeule inconnue , Eve régénérée , suspendit à son côté sa quenouille chargée d'un flot d'argent. Elle eut ce jour-là sa fonction ; elle compta devant l'homme par un mérite. La poésie antique avait raison de mettre dans les mains des reines une quenouille. La quenouille était...