Theorie de l'impot; ou, La dime sociale, Volume 1Guillaumin et cie., 1862 - 406 pagina's |
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Populaire passages
Pagina 29 - ... que des quatre autres parties qui restent, les trois sont fort malaisées, et embarrassées de dettes et de procès; et que, dans la dixième, où je mets tous les gens d'épée, de robe, ecclésiastiques et laïques, toute la noblesse haute, la noblesse distinguée, et les gens en charge militaire et civile, les bons marchands, les bourgeois rentés et les plus accommodés, on ne peut pas compter sur cent mille familles...
Pagina 28 - ... les grands chemins de la campagne, et les rues des villes et des bourgs étant pleins de mendiants que la faim et la nudité chassent de chez eux.
Pagina 75 - Règle générale : on peut lever des tributs plus forts, à proportion de la liberté des sujets ; et l'on est forcé de les modérer à mesure que la servitude augmente. Cela a toujours été et cela sera toujours.
Pagina 23 - Les besoins imaginaires sont ce que demandent les passions et les faiblesses de ceux qui gouvernent^ le charme d'un projet extraordinaire, l'envie malade d'une vaine gloire, et une certaine impuissance d'esprit contre les fantaisies.
Pagina 19 - malheureux ne possèdent aucun bien en propriété « que leurs âmes, parce qu'elles n'ont pu être vendues
Pagina 29 - Par toutes les recherches que j'ai pu faire, depuis plusieurs années que je m'y applique, j'ai fort bien remarqué que dans ces derniers temps, près de la dixième partie du peuple est réduite à la mendicité, et mendie effectivement ; que des neufs autres parties, il y en a cinq qui ne sont pas en état de faire l'aumône à celle-là, parce...
Pagina 118 - Pour base de l'impôt, prenez le capital : aussitôt le capital, qui ne circulait pas, circule. Le capital qui dormait se réveille, le capital qui travaillait redouble d'efforts et stimule le crédit. Le capital ne peut plus rester un seul instant oisif et improductif, sous PEINE D'ÊTRE ENTAMÉ. Il est condamné à l'activité forcée.
Pagina 25 - ... auquel il n'est pas facile de remédier. Ces personnes puissantes sont payées de leur protection dans la suite, par la plusvalue de leurs fermes, ou de celles de leurs parents ou amis, causée par l'exemption de leurs fermiers et de ceux qu'ils...
Pagina 23 - DES REVENUS DE L'ÉTAT LES revenus de l'État sont une portion que chaque citoyen donne de son bien pour avoir la sûreté de l'autre, ou pour en jouir agréablement. Pour bien fixer ces revenus, il faut avoir égard et aux nécessités de l'État, et aux nécessités des citoyens. Il ne faut point prendre au peuple sur ses besoins réels, pour des besoins de l'État imaginaires.
Pagina 25 - Elles sont de plus exigées avec une extrême rigueur et de si grands frais, qu'il est certain qu'ils vont au moins à un quart du montant de la Taille. Il est même assez ordinaire de pousser les exécutions jusqu'à dépendre les portes des Maisons, après avoir vendu ce qui...