Histoire des rois et des ducs de Bretagne, Volume 2Duféy, 1839 |
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Histoire des rois et des ducs de Bretagne, Volume 2 Prudence Guillaume baron de Roujoux Volledige weergave - 1828 |
Histoire des Rois et des Ducs de Bretagne, Volume 2 Prudence Guillaume de Baron ROUJOUX Volledige weergave - 1828 |
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Abailard Actes de Bret Alain Fergent armes Artur avaient barons Baud bientôt Bretons Caignart château chevaliers Chron clergé comte d'Anjou comte de Cornouaille comte de Léon comte de Nantes Conan concile couronne d'Alain d'Angleterre d'Argentré d'Artur devint Dieu dom Morice duc de Bre duc de Bretagne duc de Normandie duc Pierre duché duchesse eccl ecclésiastiques enfans Éon Eudon évêques fille fils force Foulques frère Geoffroy Gerbert Guérec'h guerre Guill Guillaume Guillaume de Jumièges habitans Havoïse Henry Hist Hoël hommes Jean Jean-Sans-Terre jeune Judhaël Judicaël Jumièges l'abbaye l'abbé l'archevêque l'église l'évêque de Nantes laissait Lingard Louis Morice mort n'avait Orderic Vital pape Pâris parvint père peuple Philippe Pierre Mauclerc prélats présens prince princesse prit Quimperlé Raoul de Gaël reçut Redon rendit rent Richard Robert d'Arbrissel rois Rollon s'empara s'était saint seigneurs siége sire tagne terre Thibauld tion troupes vassaux vicomte Vitré
Populaire passages
Pagina 244 - L'accusé n'ayant pas paru, la cour prononça le jugement suivant : « Attendu que Jean, duc de Normandie, en violation de son serment à Philippe, son suzerain , a assassiné le fils de son frère aîné , vassal de la couronne de France et proche parent du roi, et qu'il a commis ce crime dans la seigneurie de France, il est déclaré coupable de félonie et de trahison, et en conséquence condamné à perdre toutes les terres qu'il tient par hommage.
Pagina 419 - Noster Aristoteles, logicis, quicunque fuerunt, Aut par, aut melior : studiorum cognitus orbi Princeps; ingenio varius, subtilis, et acer; Omnia vi superans rationis, et arte loquendi Abaelardus erat; sed tunc magis omnia vicit, Cum Cluniacensem monachum moremque professus, Ad Christi veram transivit philosophiam.
Pagina 237 - Abandonne de fausses préten« lions, disait-il, à des couronnes que oncques « ne porteras. Suis-je pas ton oncle? Je te ferai « part d'héritage comme ton seigneur, et te « donnerai mon amitié. — Mieux me...
Pagina 427 - Eorum damnum, si scivero, impediam et removere faciam si potero: alioquin quam citius potero, intimabo vel tali personae dicam quam eis credam pro certo dicturam. Consilium quod mihi crediderint, per se vel per nuncios suos seu per litteras suas, secretum tenebo et ad eorum damnum nulli pandam, me sciente.
Pagina 27 - Je lui racon> terai tout ce que j'ai tenté pour le bien de mon peuple, » les dangers et les travaux par lesquels j'ai passé afin de > pacifier le pays, le délivrant des Normands payens qui > sont ses ennemis, et par sa sainte grâce ayant rendu » la Bretagne libre, et rétabli chacun dans ses biens, > titres et honneurs. Or, Sire Dieu, lui dirai-je, si j'ai » observé votre sainte loi autant qu'il est possible à...
Pagina 240 - ... ce moment, à se reposer sur d'autres que lui-même du soin de sa vengeance. Un soir assez tard ', il déclara qu'il partait pour Cherbourg. Il s'arma, se rendit au pied de la tour où l'on gardait son infortuné neveu, l'envoya chercher par son écuyer Pierre de Maulac, et lui dit, en le...
Pagina 421 - ... l'estimerois plus que le grand univers. Merci à vous d'avoir avec tant d'honneur reçu mien envoyé, et veuille le Dieu servateur que en mes terres existe chose que plaise à vous posséder, soict éper(1) Roman de la Violette, viij, notes.
Pagina 424 - Volentes nos ipsos humiliare pro Illo Qui Se pro nobis humiliavit usque ad mortem, gratia Sancti Spiritus inspirante, non vi inducti...
Pagina 237 - Angleterre, Touraine, Anjou, Guyenne sont miens de son chef, et Bretagne de l'estoc de ma mère; jamais n'y renoncerai que par la mort. — Ainsi sera donc, beau neveu, » murmura Jean on laissant tomber sur le prince captif un regard plein de joie et de crnauté.
Pagina 237 - Philippe a placé la couronne sur mon » front ; il fut mon parrain de chevalerie; il m'a bqillé sa fille en' foi de mariage. — Et tu ne » l'épouseras meshuy ! ... Beau neveu , mes tours sont fortes , et n'ya ici nul qui résiste à » ma volonté.- Jamais tours ni épées ne me rendront assez lâche que de redire au droit que je n tiens de mon père aprèsDieu; ce fut Geoffroy votre frère aîné , aujourd'hui devanlle sauveur