Syrie ancienne et moderne

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Firmin Didot frères, 1848 - 570 pagina's
 

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Populaire passages

Pagina 287 - ... perdant rien de leur enthousiasme et ne cherchant plus que la mort, on les voyait quelquefois se précipiter vers les remparts de la cité de Dieu, et baiser avec transport des pierres insensibles, en s'écriant d'une voix entrecoupée de sanglots : 0 Jérusalem!
Pagina 281 - Ut venir tous ceux qu'il avait invités à se renfermer dans la tour du palais; il ordonna de tuer les vieilles femmes, les vieillards décrépits et ceux que la faiblesse de...
Pagina 123 - Il n'ya qu'un dieu qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et tout ce qu'ils contiennent; il n'ya qu'un seul JésusChrist, fils unique de Dieu , au royaume duquel j'aspire.
Pagina 9 - Phrygie, existaient des eunuques sacrés et de sacrées orgies , où les dévots formant des danses sauvages , au bruit du tambour et au son des flûtes , se flagellaient mutuellement jusqu'à faire couler leur sang, et même, dans le transport frénétique de la fête, sous les yeux du peuple assemblé, portaient la main sur leur propre corps et se privaient de la virilité.
Pagina 1 - HISTOIRE ET DESCRIPTION DE TOUS LES PEUPLES, DE LEURS RELIGIONS, MOEURS, COUTUMES, ETC.
Pagina 20 - Phalasar, roi d'Assour, pour lui dire : Je suis ton serviteur et » ton fils ; monte et délivre-moi de la main du roi d' Aram et de la . 9 main du roi d'Israël, qui s'élèvent contre moi 8.
Pagina 307 - Tout le monde sait que les enfans de ceux qu'on nommait » Poulains , nourris dans les délices , mous et efféminés , » plus accoutumés aux bains qu'aux combats , adonnés à » la débauche et à l'impureté , vêtus aussi mollement que " des femmes , se montraient lâches et paresseux , timides » et pusillanimes contre les ennemis du Christ ; personne » n'ignore combien les Sarrasins les méprisaient à la guerre: » leurs ancêtres , quoiqu'on petit nombre , faisaient autre...
Pagina 157 - En vain, le saint prélat fit entendre en faveur de Paulin cette voix tant aimée des peuples et si habile à la persuasion : « Pourquoi donc, disait-il, prendre plaisir à perpétuer les divisions des chrétiens? Vous ne considérez qu'une seule ville, au lieu de regarder l'Église universelle. Quand ce seraient deux anges qui contesteraient , il ne serait pas juste que le monde entier fût troublé par leur querelle. Laissons Paulin dans le siège qu'il occupe; il est vieux, et sa mort terminera...
Pagina 274 - Baguisian s'imagina que la citadelle aussi était au pouvoir des chrétiens; il sortit aussitôt de la ville avec quelques fuyards, et courut quelque temps n'ayant plus qu'un de ses gens avec lui. Il tomba de cheval; cet homme le releva; il tomba encore, cet homme l'abandonna ; un moment après un bûcheron arménien passa près de Bagui-sian, lui coupa la tête et la porta à Antioche. On ne saurait décrire le nombre des musulmans qui souffrirent en ce jour le martyre.
Pagina 91 - Jovien fit passer aux gouverneurs de toutes les provinces une lettre circulaire, dans laquelle il confessait les vérités de l'Évangile , et qui assurait l'établissement légal de la religion chrétienne. Les edits insidieux de Julien furent abolis; les immunités ecclésiastiques furent rétablies et étendues , et Jovien déplora le malheur des circonstances, qui obligeaient à retrancher une partie des aumônes publiques.

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