M. Rousseau de Toulouse. — Je ne suis, me dit-il, que Rousseau de Genève. — Ah, oui, lui dis-je, ce grand herboriseur! Je le vois bien. Ah, mon Dieu! que d'herbes et de gros livres ! ils valent mieux que tous ceux qu'on écrit. Lettres et pensées du maréchal prince de Ligne - Pagina 316door Charles Joseph prince de Ligne - 1809 - 333 pagina’sVolledige weergave - Over dit boek
| Charles Joseph prince de Ligne - 1809 - 278 pagina’s
...lui dis-je, ce grand her • boriseur ! Je le vois bien. Ah ! mon Dieu ! que d'herbes et de gros 236 livres ! ils valent mieux que tous ceux qu'on écrit....tout ce qu'il y avoit entre chaque feuillet de ses in-folios. Je fis semblant d'admirer ce recueil très-peu intéressant, et le plus commun du monde... | |
| Charles Joseph prince de Ligne - 1809 - 280 pagina’s
...oui, lui dis-je, ce grand herboriseur ! Je le vois bien. Ah ! mon Dieu ; que d'herbes et de gros 236 livres ! ils valent mieux que tous ceux qu'on écrit....peut-être sa pervenche, que je n'ai pas l'honneur de connqître, et tout ce qu'il y avoit entre chaque feuillet de ses in-folios. Je fis semblant d'admirer... | |
| Charles Joseph prince de Ligne - 1809 - 358 pagina’s
...dit-il, que Rousseau de Genève. — Ah oui, lui dis-je, ce grand herboriseur ! Je le vois bien. Ah ! mon Dieu ! que d'herbes et de gros livres ! ils valent mieux que tous ceux qu'on ecrit. — Rousseau sourit presque, et me fit voir peut-être sa pervenche, que je n'ai pas l'honneur... | |
| Charles Joseph prince de Ligne - 1809 - 362 pagina’s
...dît-il, que Rousseau de Genève. — •- Ah oui, lui dis-je, ce grand herboriseurl Je le vois bien. Ah ! mon Dieu ! que d'herbes et de gros livres! ils valent mieux que tous ceu* qu'on ecrit. — Rousseau sourit presque, et me fit voir peut - être sa pervenche , que je n'ai... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1825 - 472 pagina’s
...dit-il, que Rousseau de Genève. Ah oui! lui dis-je, ce grand herboriseur ; je le vois bien : ah ! mon Dieu, que d'herbes et de gros livres! ils valent...Rousseau sourit presque, et me fit voir peut-être sa chère pervenche, que je n'ai pas l'honneur de connoître, et tout ce qu'il y avoit entre chaque feuillet... | |
| Victor Conatien de Mussett - 1827 - 508 pagina’s
...avoir lieu entre le mois d'août 1770 et le mois de mars suivant. livres ! ils valent mieux que tout ce qu'on écrit. — Rousseau sourit presque, et me fit...peut-être sa pervenche, que je n'ai pas l'honneur de connaître, et tout ce qu'il y avait entre chaque feuillet de ses in-folio. Je fis semblant d'admirer... | |
| Charles Joseph prince de Ligne - 1827 - 444 pagina’s
...fit voir peut-être sa pervenche, que je n'ai pas l'honneur de connaître, et tout ce qu'il y avait entre chaque feuillet de ses in-folio. Je fis semblant d'admirer ce recueil très peu intéressant, et le plus commun du monde ; il se remit à son travail , sur lequel il avait... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 482 pagina’s
...dit-il, que Rousseau de Genève. Ah! oui, lui dis-je, ce grand herboriseur ! je le vois bien : ah! mon Dieu , que d'herbes et de gros livres ! ils valent...Rousseau sourit presque, et me fit voir peutêtre sa chère pervenche, que je n'ai pas l'honneur, de connoître, et tout ce qu'il y avoit entre chaque feuillet... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 508 pagina’s
...d'août 177o et le mois de mars suivant. 1 Ce dut être en 177o. livres ! ils valent mieux que tout ce qu'on écrit. — Rousseau sourit presque, et me fit...peut-être sa pervenche, que je n'ai pas l'honneur de connaître, et tout ce qu'il y avait entre chaque feuillet de ses in-folio. Je fis semblant d'admirer... | |
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