| Auguste Jean Baptiste Bouvet de Cressé - 1824 - 588 pagina’s
...courtisans veulent que je me retire à Blois, et que je n'attende pas que l'armée ennemie approche de Paris, ce qui lui serait possible si la mienne était battue. Je ne consentirai jamais à laisser approcher ainsi l'ennemi de ma capitale. Je sais que des armées... | |
| Maximilian Samson Friedrich Schöll - 1832 - 424 pagina’s
...courtisans veulent que je me retire à Blois et que je n'attende pas que l'armée ennemie approche de Paris, ce qui lui serait possible si la mienne était battue. Mais je ne consentirai jamais à laisser approcher ainsi l'ennemi de ma capitale. Je sais que des armées... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1859 - 696 pagina’s
...pas que l'armée ennemie • s'approche de Paris; ce qui lui seroit possible » si la mienne étoit battue. Pour moi, je sais » que des armées aussi considérables ne sont ja> mais assez défaites pour que la plus grande » partie de la mienne ne pût se retirer sur la •... | |
| Théophile Lavallée - 1839 - 560 pagina’s
...peut leur être contraire : s'il arrivait ce malheur à l'armée que vous commandez , écrivez-le-moi. Je sais que des armées aussi considérables ne sont...jamais assez défaites pour que la plus grande partie ne puisse se rallier sur la Somme ; je compte aller à Péronne ou à SaiulQuentin, y ramasser tout... | |
| Albert Laponneraye - 1842 - 506 pagina’s
...les courtisans veulent que je me retire à Bkm, et que je n'attende pas que l'armée ennemie approche de Paris , ce qui lui serait possible si la mienne était battue. Mais je ne consentirai jamais a laisser approcher ainsi l'ennemi de ma Capitale. Je sais que des armées... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1845 - 674 pagina’s
...courtisans veulent que je me retire à Blois et » que je n'attende pas que l'armée ennemie approche de Paris, ce » qui lui serait possible si la mienne était battue. Mais je ne con» sentirai jamais à laisser approcher ainsi l'ennemi de ma capi» taie. Je sais que... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1845 - 660 pagina’s
...courtisans veulent que je me retire à Bloiset • que je n'attende pas que l'armée ennemie approche de Paris , ce • qui lui serait possible si la mienne était battue. Mais je neconsen• tirai jamais à laisser approcher ainsi l'ennemi de ma capitale. » Je sais que... | |
| Louis Pierre Anquetil - 1845 - 632 pagina’s
...courtisans veulent queje me retire à Blois , et que je n'attende pas que l'armée ennemie approche de Paris ; ce qui lui serait possible si la mienne était battue. Mais je ne consentirai jamais à laisser approcher ainsi l'ennemi de ma capitale. Je sais que des armées... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1852 - 488 pagina’s
...courtisans veillent que je me retire à Blois, et que je n'attende pas que l'armée ennemie approche de Paris, ce qui lui serait possible si la mienne était battue". Mais je ne consentirai jamais à laisser approchef ainsi l'ennemi de ma capitale. Jffsais que des armées... | |
| Louis Pierre Anquetil - 1851 - 664 pagina’s
...courtisans veulent que je me retire à Blois et que je « n'attende pas que l'armée ennemie approche de Paris, ce qui lui serait ,• possible si la mienne était battue. Mais je ne consentirai jamais à laisser « approcher ainsi l'ennemi de ma capitale. Je sais que des... | |
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