| Tibullus - 1798 - 406 pagina’s
...existence ! Il ne sait ce qu'il est , où il est , d'où il vient. Il ouvre les yeux: la lumière , la voûte céleste , la verdure de la terre , le cristal des eaux , (i) Audax Japeti geims Ignem fraude znalâ gcntibus intulit : ignem aetheriâ douio Subductum. .... | |
| Etienne Bonnot de Condillac - 1821 - 522 pagina’s
...dire qu'il ne s'occupait point encore de tout cela. Il ouvre les yeux ; aussitôt il voit la lumiere^ la voûte céleste , la verdure de la terre , le cristal des eaux , et il croit que tous ces objets sont en lui et font partie de lui-même. Mais comment ses yeux ont-ils... | |
| Etienne Bonnot de Condillac - 1821 - 516 pagina’s
...dire qu'il ne s'occupait point encore de tout cela. Il ouvre les yeux ; aussitôt il voit la lumiere, la voûte céleste , la verdure de la terre , le cristal des eaux , et il croit que tous ces objets sont en lui et font partie de lui-même. Mais comment ses yeux ont-ils... | |
| Etienne Bonnot de Condillac - 1821 - 524 pagina’s
...dire qu'il ne s'occupait point encore de tout cela. Il ouvre les yeux ; aussitôt il voit la lumière, la voûte céleste , la verdure de la terre , le cristal des eaux, et il croit que tous ces objets sont en lui et font partie de lui-même. Mais comment ses yeux ont-ils... | |
| 1821 - 480 pagina’s
...j'étois, où j'étois, d'où je venois. J'ouvris les yeux : quel surcroît de sensations! La lumière , la voûte céleste, la verdure de la terre , le cristal des eaux t tout m'occupoit ( m'animoit et me donnoit un sentiment inexprimable 'de plaisir. Je crus d'abord... | |
| 1824 - 514 pagina’s
...j'étais, où j'étais, d'où je venais. J'ouvris les yeux : quel surcroît de sensation ! la lumière , la voûte céleste , la verdure de la terre, le cristal des eaux, tout m'occupait, m'animait, et me donnait un sentiment inexprimable de plaisir. Je crus d'abord que... | |
| Etienne Bonnot de Condillac - 1827 - 514 pagina’s
...dire qu'il ne s'occupait point encore de tout cela. Il ouvre les yeux ; aussitôt il voit la lumière, la voûte céleste , la verdure de la terre , le cristal des eaux , et il croit que tous ces objets sont en lui et font partie de lui-même. Mais comment ses yeux ont-ils... | |
| Ludwig Ideler - 1831 - 630 pagina’s
...j'étois, oùj'élois, d'où je venois. J'ouvris ,,les yeux : quel surcroît de sensation ! La lumière, la voûte cé,,leste, la verdure de la terre, le cristal des eaux, tout m'occu,,poit, m'animoit et me donnoit un sentiment inexprimable de ,,plaisir. Je crus d'abord... | |
| François Noel - 1835 - 596 pagina’s
...j'êtois , où j'étois , d'où je vcnois. J'ouvris les yeux : quel surcroît de sensation! la lumière, urbe tout m'occupoit, m'animoit, et me donnoit un sentiment inexprimable de plaisir. Je crus d'abord que... | |
| François Noel - 1838 - 788 pagina’s
...j'étais, où j'étais, d'où je venais. J'ouvris les yeux : quel surcroît de sensation I la lumière, la voûte céleste, la verdure de la terre, le cristal des eaux, tout m'occupait, m'animait, et me donnait un sentiment inexprimable de plaisir. Je crus d'abord que... | |
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