J. J. Rousseau, ses amis et ses ennemis, Volume 2George Streckeisen-Moultou Michel Lévy frères, 1865 |
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J. J. Rousseau, ses amis et ses ennemis, Volume 2 George Streckeisen-Moultou Volledige weergave - 1865 |
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Populaire passages
Pagina 173 - Cette mélancolie sombre, qui fait le malheur de votre vie, est prodigieusement augmentée par la maladie et par la solitude, mais je crois qu'elle vous est naturelle et que la cause en est physique. Je crois méme que vous ne devez.
Pagina 204 - Mon cher ami, quelle joie que j'ai eue de recevoir de vos chères nouvelles ; je vous assure que mon esprit ne tenait plus à rien de douleur de ne pas vous voir et de nous séparer sans pouvoir vous dire tous mes sentiments ; que mon cœur a toujours été pour vous et qu'il ne changera jamais tant que Dieu vous donnera des jours, et à moi aussi. Quelle satisfaction pour moi de nous rejoindre...
Pagina 172 - Monsieur, je vous dirai avec toute la franchise qui vous est due que j'ai vu dans tous vos procédés une extrême sensibilité, un grand fond de mélancolie et beaucoup de disposition à voir les objets du côté le plus noir, mais une disposition au moins égale à vous rendre à la justice et à la vérité quand elle vous est présentée. La sensibilité de Pamour-propre n'est étrangère à aucun auteur.
Pagina 181 - Dans tous les temps mêmes j'ai blâmé ou plutôt j'ai gémi de votre imprudence à produire votre façon de penser en tout genre sans aucun ménagement. Voilà, Monsieur, ce que j'ai toujours pensé sur vous avant vos malheurs, jugez s'ils ont dû me faire changer. Je ne vous ai point écrit jusqu'à présent parce que je n'ai pas cru que ma façon de penser vous intéressât assez pour vous en entretenir dans les cruels moments que vous...
Pagina 188 - Je suis, monsieur, celui qui a été vous voir l'autre jour. Je n'y retourne pas, quoique je m'en meure d'envie; mais vous n'aimez ni les empressés ni les empressements. « Pensez à ce que je vous ai proposé. On ne sait pas lire dans mon pays ; vous ne serez ni admiré ni persécuté.
Pagina 109 - C'est par là que je vaux, si je vaux quelque chose. Mais il ne faut pas vous prendre au mot vous-même, car vous seriez votre propre dupe, vous qui n'en avez jamais fait d'autre sciemment.
Pagina 95 - ... mon amour, mon ambition, mon orgueil, ma paresse*, etc., à l'idée que peut-être j'en serai punie, peut-être ne le serai-je pas. La source de toutes les méprises en ce genre, c'est de...
Pagina 197 - ... semaines, puisqu'à ce terme elle a quitté ce bas monde où elle vivait accablée de maladies, de misère, abandonnée des injustes humains. Voilà, je ne doute pas, sa belle âme récompensée de ses vertus et de ses souffrances. Si vous étiez moins philosophe, ou, pour parler plus clairement, moins raisonnable...
Pagina 289 - Vous savez, lui déclare-t-elle, ce que je vous ai dit et ce que je penserai et, qui mieux est. sentirai toute ma vie. Je vous admire avec enthousiasme et je vous aime comme le cœur le plus sensible et le plus vrai qui ait jamais existé.