Journal historique et littéraire, Volume 180,Deel 3F. Cavelier, 1789 |
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Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
abfolument affemblée affez affure ainfi Août auffi auroit avoient avoit Belgrade Brabançons Bruxelles c'eft c'eſt catholique caufe ceffe chofes circonftances citoyens clergé comte confeil conféquence conferver confidération confignées conftamment conftitution déclaration derniere Deux-Ponts Dieu difcours eccléfiaftiques efprits Eglife eſt états étoient étoit évêques facré fages faifant fainte falut fans doute fe font fe trouve féance feconde fecours felon femble fens fent feroit fervice fervir feul fiecles fimple foient foit foldats fommes fous fouvent fouverain fuis fuite fuivant fujet fur-tout général hommes inftruit jufqu'à jufte juftice l'affemblée l'affemblée-nationale l'efprit l'Eglife l'empereur laiffer lettre Liege lifez loix long-tems Louvain lumiere maniere ment miniftre n'eft n'eſt nation néceffaire Obfervations paffage paffé paroît particuliere Pays-Bas perfonnes peuple philofophie plaifir plufieurs Pologne préfente premiere prince profeffeurs provinces Pruffe puiffance puiffe puifque queftion raifon refpectable refte religion Ruffes s'eft Suede teffe tems tion troupes دو دو رو وو
Populaire passages
Pagina 176 - ... qu'il fallait faire retentir la parole sainte dans toute la force de son tonnerre , et placer avec moi dans cette chaire , d'un côté la mort qui vous menace, et de l'autre mon grand Dieu qui vient vous juger.
Pagina 175 - C'est devant votre Dieu et le mien que je me sens pressé , dans ce moment , de frapper ma poitrine. Jusqu'à présent j'ai publié les justices du Très-Haut dans des temples couverts de chaume ; j'ai prêché les rigueurs de la pénitence à des infortunés qui manquaient de pain ; j'ai annoncé aux bons habitants des campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion.
Pagina 345 - On ne plaint jamais dans autrui que les maux dont on ne se croit pas exempt soi-même.
Pagina 550 - Vous pourrez la lire, la montrer, la laisser copier. Tant pis pour ceux qui ne la comprendront pas ; ce sera alors moi qui aurai eu tort de la leur donner...
Pagina 137 - Vous les haïssez : soit : mais je le répète, mettezvous en évidence; il ne tient plus qu'à vous qu'il n'y en ait bientôt plus. Le clergé catholique a cela de particulier, que tout homme qui a reçu le sousdiaconat, devient inhabile à tout autre état. Ce sont vos lois qui l'exigent ainsi.
Pagina 550 - On brave une seule mort ; on la brave plusieurs fois, quand elle peut être utile. Mais aucune puissance sous le ciel, mais aucune opinion publique ou privée n'ont le droit de me condamner à souffrir inutilement mille...
Pagina 136 - ... plus prudent et moins onéreux de répartir ce nouveau fardeau sur les peuples par la voie de l'impôt. On a cru autrefois , que le produit net d'une terre , au lieu d'être consommé inutilement par un propriétaire oisif, pouvoit être chargé d'acquitter un service public.
Pagina 133 - France ni d'aucun pays du monde. 2° Le clergé a reçu de grands biens ; les donations, les fondations ont été immenses et elles ont été faites à perpétuité. Ici, nous n'avons pas besoin de preuves. Donc le clergé est véritablement propriétaire. « Cependant, afin d'écarter toute équivoque, je remarque que la nation est propriétaire en ce sens, que tous les biens, tant des corps que des particuliers...
Pagina 313 - ... inexactitude de langage. On entend dire continuellement que le roi donne un bénéfice, comme on dit qu'il donne une pension, un commandement; l'expression est fausse, le roi ne donne point de bénéfice, il y nomme. Ce sont les propriétaires, les fondateurs qui ont donné, les bénéfices n'appartiennent pas au roi ; il ne peut point les garder ; il ne peut pas, en bonne règle, les laisser...
Pagina 313 - Ainsi les biens du clergé peuvent être assimilés aux substitutions à perpétuité. Le choix du titulaire usufruitier n'a pas toujours appartenu. au roi. On sait comment s'est opéré le changement arrivé à cet égard. Mais la nomination aux bénéfices, en changeant de main. , n'a pas pour cela changé de nature. Ce n'est jamais qu'un choix entre des personnes habiles d'ailleurs à posséder.