Journal historique et littéraire, Volume 180,Deel 3

Voorkant
F. Cavelier, 1789
 

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Populaire passages

Pagina 176 - ... qu'il fallait faire retentir la parole sainte dans toute la force de son tonnerre , et placer avec moi dans cette chaire , d'un côté la mort qui vous menace, et de l'autre mon grand Dieu qui vient vous juger.
Pagina 175 - C'est devant votre Dieu et le mien que je me sens pressé , dans ce moment , de frapper ma poitrine. Jusqu'à présent j'ai publié les justices du Très-Haut dans des temples couverts de chaume ; j'ai prêché les rigueurs de la pénitence à des infortunés qui manquaient de pain ; j'ai annoncé aux bons habitants des campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion.
Pagina 345 - On ne plaint jamais dans autrui que les maux dont on ne se croit pas exempt soi-même.
Pagina 550 - Vous pourrez la lire, la montrer, la laisser copier. Tant pis pour ceux qui ne la comprendront pas ; ce sera alors moi qui aurai eu tort de la leur donner...
Pagina 137 - Vous les haïssez : soit : mais je le répète, mettezvous en évidence; il ne tient plus qu'à vous qu'il n'y en ait bientôt plus. Le clergé catholique a cela de particulier, que tout homme qui a reçu le sousdiaconat, devient inhabile à tout autre état. Ce sont vos lois qui l'exigent ainsi.
Pagina 550 - On brave une seule mort ; on la brave plusieurs fois, quand elle peut être utile. Mais aucune puissance sous le ciel, mais aucune opinion publique ou privée n'ont le droit de me condamner à souffrir inutilement mille...
Pagina 136 - ... plus prudent et moins onéreux de répartir ce nouveau fardeau sur les peuples par la voie de l'impôt. On a cru autrefois , que le produit net d'une terre , au lieu d'être consommé inutilement par un propriétaire oisif, pouvoit être chargé d'acquitter un service public.
Pagina 133 - France ni d'aucun pays du monde. 2° Le clergé a reçu de grands biens ; les donations, les fondations ont été immenses et elles ont été faites à perpétuité. Ici, nous n'avons pas besoin de preuves. Donc le clergé est véritablement propriétaire. « Cependant, afin d'écarter toute équivoque, je remarque que la nation est propriétaire en ce sens, que tous les biens, tant des corps que des particuliers...
Pagina 313 - ... inexactitude de langage. On entend dire continuellement que le roi donne un bénéfice, comme on dit qu'il donne une pension, un commandement; l'expression est fausse, le roi ne donne point de bénéfice, il y nomme. Ce sont les propriétaires, les fondateurs qui ont donné, les bénéfices n'appartiennent pas au roi ; il ne peut point les garder ; il ne peut pas, en bonne règle, les laisser...
Pagina 313 - Ainsi les biens du clergé peuvent être assimilés aux substitutions à perpétuité. Le choix du titulaire usufruitier n'a pas toujours appartenu. au roi. On sait comment s'est opéré le changement arrivé à cet égard. Mais la nomination aux bénéfices, en changeant de main. , n'a pas pour cela changé de nature. Ce n'est jamais qu'un choix entre des personnes habiles d'ailleurs à posséder.

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