Oeuvres completes de J. J. Rousseau: 1: Les Confessionschez Alexandre Houssiaux, 1853 - 756 pagina's |
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Pagina viii
... j'étois heureux ; je voyois maman , et j'étois heureux ; je parcourois les bois , les ... p . 294 . ÉDITION DE GENÈVE . plus même qu'une maî- tresse ; et c'étoit pour cela qu'elle n'étoit pas une maitresse . En- fin ... j'avois goûté ...
... j'étois heureux ; je voyois maman , et j'étois heureux ; je parcourois les bois , les ... p . 294 . ÉDITION DE GENÈVE . plus même qu'une maî- tresse ; et c'étoit pour cela qu'elle n'étoit pas une maitresse . En- fin ... j'avois goûté ...
Pagina 4
... j'étois toujours avec ma tante , à la voir broder , à l'entendre chanter , assis ou debout à côté d'elle ; et j'étois content . Son enjoue- ment , sa douceur , sa figure agréable , m'ont laissé de si fortes impressions , que je vois en ...
... j'étois toujours avec ma tante , à la voir broder , à l'entendre chanter , assis ou debout à côté d'elle ; et j'étois content . Son enjoue- ment , sa douceur , sa figure agréable , m'ont laissé de si fortes impressions , que je vois en ...
Pagina 13
... J'étois tourmenté , mais j'aimois ce tourment . Les applaudissemens , les encouragemens , les ris m'échauffoient , m'a- nimoient . J'avois des emportemens , des sail- lies ; j'étois transporté d'amour dans un cercle . Tête - à - tête j ...
... J'étois tourmenté , mais j'aimois ce tourment . Les applaudissemens , les encouragemens , les ris m'échauffoient , m'a- nimoient . J'avois des emportemens , des sail- lies ; j'étois transporté d'amour dans un cercle . Tête - à - tête j ...
Pagina 14
... J'étois familier avec la première sans avoir de familiarités ; au contraire j'étois aussi tremblant qu'agité devant la seconde , même au fort des plus grandes familiarités . Je crois que si j'avois resté trop long - temps avec elle je n ...
... J'étois familier avec la première sans avoir de familiarités ; au contraire j'étois aussi tremblant qu'agité devant la seconde , même au fort des plus grandes familiarités . Je crois que si j'avois resté trop long - temps avec elle je n ...
Pagina 15
... J'étois hardi chez mon père , libre chez M. Lamber- cier , discret chez mon oncle , je devins craintif chez mon maître , et dès lors je fus un enfant perdu . Accoutumé à une égalité parfaite avec mes supérieurs dans la manière de vivre ...
... J'étois hardi chez mon père , libre chez M. Lamber- cier , discret chez mon oncle , je devins craintif chez mon maître , et dès lors je fus un enfant perdu . Accoutumé à une égalité parfaite avec mes supérieurs dans la manière de vivre ...
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âme Annecy assez auroit avoient avois avoit Bernex besoin bientôt c'étoit charme chose cœur Confessions connoissance connoître Corancez d'en d'être Devin du village devoir Diderot dire disoit donner donnoit écrit enfans enfin Ermenonville état étoient étoit eût faisoit falloit femme fille force Francueil fût Genève gens goût Grimm homme j'ai j'allois j'aurois j'avois j'en j'étois j'eus jamais jours l'auteur laisser laissoit Larnage lettre livres long-temps m'avoit m'en m'eût madame d'Épinay madame d'Houdetot madame de Luxembourg madame de Warens madame Dupin mademoiselle maman manuscrit Margency ment mieux moi-même monde monsieur musique n'ai n'en n'y avoit ouvrage parler paroissoit passer passion peine penser personne Peyrou plaisir pouvoit premier prendre presque qu'à qu'un quelquefois raison reste rien Rousseau Saint-Lambert sais savoir sembloit sentimens sentiment sentois seroit seul soins sorte souvent sûr talens Thérèse tion tout-à-fait trouver trouvois venoit vérité Vernes Voilà vois vouloit voyois yeux