Oeuvres completes de J. J. Rousseau: 1: Les Confessionschez Alexandre Houssiaux, 1853 - 756 pagina's |
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... étoit pres- que mon seul amusement : à Bossey , le travail me fit aimer les jeux qui lui servoient de relâ- che . La campagne étoit pour moi si nouvelle , que je ne pouvois me lasser d'en jouir . Je pris pour elle un goût si vif , qu'il ...
... étoit pres- que mon seul amusement : à Bossey , le travail me fit aimer les jeux qui lui servoient de relâ- che . La campagne étoit pour moi si nouvelle , que je ne pouvois me lasser d'en jouir . Je pris pour elle un goût si vif , qu'il ...
Pagina 6
... étoit fait , je lui aidois à faire le sien , et dans nos amusemens , mon goût plus actif lui servoit toujours de guide . Enfin nos deux caractères s'accordoient si bien et l'amitié qui nous unissoit étoit si vraie , que , dans plus de ...
... étoit fait , je lui aidois à faire le sien , et dans nos amusemens , mon goût plus actif lui servoit toujours de guide . Enfin nos deux caractères s'accordoient si bien et l'amitié qui nous unissoit étoit si vraie , que , dans plus de ...
Pagina 12
... étoit une dévote un peu piétiste , qui aimoit mieux chanter les psaumes que veil- ler à notre éducation . On nous ... étoit ce que les petits coquins demandoient . que moi . Je me fâchai , je voulus me battre ; je battis , je fus battu ...
... étoit une dévote un peu piétiste , qui aimoit mieux chanter les psaumes que veil- ler à notre éducation . On nous ... étoit ce que les petits coquins demandoient . que moi . Je me fâchai , je voulus me battre ; je battis , je fus battu ...
Pagina 13
1: Les Confessions. Mon père étoit fort aimé , et son fils se sentoit de cette bienveillance . Pendant le peu de sé- jour que je faisois près de lui , c'étoit à qui me fêteroit . Une madame de Vulson surtout me faisoit mille caresses ...
1: Les Confessions. Mon père étoit fort aimé , et son fils se sentoit de cette bienveillance . Pendant le peu de sé- jour que je faisois près de lui , c'étoit à qui me fêteroit . Une madame de Vulson surtout me faisoit mille caresses ...
Pagina 16
... étoit pas venue , et dont je n'ai pu depuis lors bien me guérir . La convoitise et l'impuissance mènent toujours là . Voilà pourquoi tous les laquais sont fripons , et pourquoi tous les ap- prentis doivent l'être : mais dans un état ...
... étoit pas venue , et dont je n'ai pu depuis lors bien me guérir . La convoitise et l'impuissance mènent toujours là . Voilà pourquoi tous les laquais sont fripons , et pourquoi tous les ap- prentis doivent l'être : mais dans un état ...
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âme Annecy assez auroit avoient avois avoit Bernex besoin bientôt c'étoit charme chose cœur Confessions connoissance connoître Corancez d'en d'être Devin du village devoir Diderot dire disoit donner donnoit écrit enfans enfin Ermenonville état étoient étoit eût faisoit falloit femme fille force Francueil fût Genève gens goût Grimm homme j'ai j'allois j'aurois j'avois j'en j'étois j'eus jamais jours l'auteur laisser laissoit Larnage lettre livres long-temps m'avoit m'en m'eût madame d'Épinay madame d'Houdetot madame de Luxembourg madame de Warens madame Dupin mademoiselle maman manuscrit Margency ment mieux moi-même monde monsieur musique n'ai n'en n'y avoit ouvrage parler paroissoit passer passion peine penser personne Peyrou plaisir pouvoit premier prendre presque qu'à qu'un quelquefois raison reste rien Rousseau Saint-Lambert sais savoir sembloit sentimens sentiment sentois seroit seul soins sorte souvent sûr talens Thérèse tion tout-à-fait trouver trouvois venoit vérité Vernes Voilà vois vouloit voyois yeux