Découvertes archéologiques faîtes à Nîmes et dans le Gard pendant l'année 1873. Premier et second semestres

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Populaire passages

Pagina 40 - Et il a eu raison de supposer que Sulivia est une déesse et Idennica (1) Apud Orell., 2051. son epitheton celtique. Pour nous, nous ne craignons pas de l'affirmer ; et, comme on a pu le voir par notre traduction, nous croyons pouvoir identifier Idenna, le nom de lieu qui a donné l'épitheton Idennica, avec Aisènes, Eyssènes, formes anciennes du nom de la commune de Seynes et du ruisseau qui y prend sa source et va se jeter dans l'Alzon, après un parcours de 20 kilomètres. III. — Autel votif...
Pagina 134 - ; ensuite, une brillante série d'inscriptions à dates consulaires, du recueil des Inscriptions du Rhin, nous la fait suivre depuis l'an 931 jusqu'en 983 ( de J.-C. 178 à 230), et nous la trouvons encore successivement rappelée sur les médailles de Septime Sévère, de Gallien, de Victorin et de Carausius. Elle subsistait donc bien certainement au temps de Dion, et ce n'est pas sans une grande surprise qu'on remarque son absence sur la liste qu'il a dressée des légions existantes à son époque....
Pagina 12 - Abescantus, altération de la véritable forme Abascantus. Ce surnom servile était assez commun , parce que la superstition des parents aimait à le donner à leurs enfants, croyant ainsi les mettre à l'abri du mauvais sort, du mauvais œil, de lajettatura. Il est emprunté, comme toujours, à la langue grecque, àëda-xavcoç, « inensorcelable », si le mot était français.
Pagina 14 - Q(uinto) Fabio, Fruticis l(iberto), Attico, exs testamento. « A Quintus Fabius Atticus, affranchi de Quintus Fabius Frutex, en exécution de son testament ». Déjà en 1862, notre confrère M. Ollive-Meinadier avait relevé et communiqué à l'Académie (1) . de l'Acad.
Pagina 9 - Le Trésor de Numismatique (l'Art monétaire, p. 60, pi. xxx, n» 3) a publié le matapan de Laurent Tiepolo, l'un des successeurs de Jacques. Il ne diffère de celui que nous venons de décrire que par la première lettre de la légende : LA-TEVPL au lieu de IA-TEVPL. Le dogat de Jacques Tiepolo est l'un des plus longs et des plus dramatiques. La lutte des Vénitiens contre leur implacable ennemi Jean Vatatsès, empereur grec de Nicée, y occupe une place importante. C'est Jacques Tiepolo qui ,...
Pagina 133 - XXII PRIMIGENIAE. La nécessité de la correction étant donc démontrée, on voit la légion, cantonnée dans la Germanie supérieure, à Mayence, prêter, le premier jour de l'année 822 (de J.-C. 69), serment à Galba ; ensuite une partie, envoyée en Italie par Vitellius, vaincre à Bédriac les Othoniens, et se faire battre à Crémone par les Flaviens ; et l'autre partie, restée en Germanie sous le commandement de Vocula, passer honteusement, en 823 (de J.-C. 70), après avoir déjà reconnu...
Pagina 134 - Valéria de Bretagne, mais qui « déjà, lorsqu'il écrivait, n'était plus connue sous ce nom ». Il ressort des termes mêmes des explications de Dion, aussi bien que du rapprochement de son énumération avec le tableau légionnaire de celle des deux colonnettes de Rome où ce tableau est complet, qu'il s'agit de la XXIIe...
Pagina 107 - Kustendjé, sur l'emplacement même de Tomes, où le pauvre Ovide s'ennuya si longtemps et composa ses Tristes et ses Pontiques (1), nous révèle le nom, jusqu'alors ignoré, d'un consul subrogé, Galeone Tettieno Petroniano (2). Du gentilice Galeo,-onis (3) provient évidemment le nom de l'ouvrier ou de l'esclave Galeonius^).
Pagina 135 - Alexandre (Orelli, 181 et 5127) , mais non pour avoir fait partie de l'armée avec laquelle cet empereur se proposait, en 235 , . d'entrer en Germanie. Elle l'avait déjà alors depuis plusieurs années. Quant à ceux de Pia Fidelis , ils lui sont donnés par un certain nombre d'inscriptions, dont la plus ancienne est du temps d'Hadrien, et la plus récente de celui d'Alexandre Sévère , après qui on les lui trouve encore sur les médailles do Gallien, où elle est dite Pia « pour la VIe fois...
Pagina 107 - ... commun, pour lui-même d'abord, puis pour toute sa familia, et en particulier pour une esclave née dans sa maison et nommée Hyacinthis. Florence n'est pas loin d'Arezzo, qui était, à cette époque, le centre des plus fameuses figlines de l'Italie. On peut donc supposer avec vraisemblance que M. Tuccius Trophimus est le fils du Lucius Tuccius de Florence, et qu'il exploitait une figline à Florence ou à Arezzo. Dans ce cas, l'amphore qui porte sa marque de fabrique serait arrivée à Uzès...

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