... affliction ou maladie ; il ne manquait point alors de les consoler et de les exhorter à souffrir avec patience des maux qui étaient comme un partage que Dieu leur avait assigné. Il avertissait les enfants d'assister souvent à l'église au service... Dictionnaire des sciences philosophiques - Pagina 730door Adolphe Franck - 1852Volledige weergave - Over dit boek
| Benedictus de Spinoza - 1830 - 756 pagina’s
...fût contre la bienséance. Il étoit d'ailleurs fort affable et d'un commerce aisé »J-), parloit souvent à son Hôtesse, particulièrement dans le temps de ses couches, et à ceux du logis lors qu'il leur survenoit quelqu' affliction, ou maladie*): il ne manquoit point alors de les consoler... | |
| Benedictus de Spinoza - 1842 - 600 pagina’s
...de se retirer aussitôt pour ne rien faire qui fût contre la bienséance. Il était d'ailleurs fort affable et d'un commerce aisé, parlait souvent à...consoler et de les exhorter à souffrir avec patience des maux qui étaient comme un partage que Dieu leur avait assigné. Il avertissait les enfants d'assister... | |
| Adolphe Franck - 1852 - 540 pagina’s
...les déplaisirs qui lui survenaient ; il n'en paraissait rien au dehors. Il était, d'ailleurs, fort affable et d'un commerce aisé; parlait souvent à...consoler et de les exhorter à souffrir avec patience des maux qui étaient comme un partage que Dieu leur avait assigné. Il avertissait les enfants d'assister... | |
| Adolphe Franck - 1852 - 522 pagina’s
...les déplaisirs qui lui survenaient ; il n'en paraissait rien au dehors. Il était, d'ailleurs, fort affable et d'un commerce aisé; parlait souvent à...consoler et de les exhorter à souffrir avec patience aes maux qui étaient comme un partage que Dieu leur avait assigne. Il avertissait les enfants d'assister... | |
| Adolphe Franck - 1852 - 518 pagina’s
...les déplaisirs qui lui survenaient; il n'en paraissait rien au dehors. Il était, d'ailleurs, fort affable et d'un commerce aisé; parlait souvent à...logis lorsqu'il leur survenait quelque affliction eu maladie ; il ne manquait point alors de les consoler et de les exhorter à souffrir avec patience... | |
| Adolphe Franck - 1852 - 520 pagina’s
...les déplaisirs qui lui survenaient; il n'en paraissait rien au dehors. Il était, d'ailleurs, fort affable et d'un commerce aisé; parlait souvent à...logis lorsqu'il leur survenait quelque affliction eu maladie ; il ne manquait point alors de les consoler et de les exhorter à souffrir avec patience... | |
| 1859 - 652 pagina’s
...les déplaisirs qui lui survenaient ; il n'en paraissait rien au dehors. Il était d'ailleurs fort affable et d'un commerce aisé, parlait souvent à...consoler et de les exhorter à souffrir avec patience des maux qui étaient comme un partage que Dieu leur avait assigné. Il avertissait les enfants d'assister... | |
| 1859 - 678 pagina’s
...les déplaisirs qui lui survenaient ; il n'en paraissait rien au dehors. Il était d'ailleurs fort affable et d'un commerce aisé, parlait souvent à...consoler et de les exhorter à souffrir avec patience des maux qui étaient comme un partage que Dieu leur avait assigné. Il avertissait les enfants d'assister... | |
| Emile Saisset - 1859 - 534 pagina’s
...les déplaisirs qui lui survenaient ; il n'en paraissait rien au dehors. Il était d'ailleurs fort affable et d'un commerce aisé, parlait souvent à...consoler et de les exhorter à souffrir avec patience des maux qui étaient comme un partage que Dieu leur avait assigné. Il avertissait les enfants d'assister... | |
| Emile Saisset - 1859 - 536 pagina’s
...les déplaisirs qui lui survenaient ; il n'en paraissait rien au dehors. Il était d'ailleurs fort affable et d'un commerce aisé, parlait souvent à son hôtesse, particulièrement dans le temps de sescouches, et à ceux du logis, lorsqu'il leur survenait quelque affliction ou maladie ; il ne manquait... | |
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