| Louis Philippe (Frankreich, König) - 1831 - 176 pagina’s
...« l'emphase. Je parlai de M. de Thiars : le duc « d'Orléans répondit qu'il était trop léger; alors « je me mis à rire et je lui dis : Eh bien!...moi. — « Pourquoi pas? reprit-il sérieusement. Je dis alors « franchement ma pensée. M. le duc d'Orléans « parut charmé, et me dit : Voilà qui... | |
| 1878 - 488 pagina’s
...qu'il rendrait ses enfants pédants ; je proposai le chevalier de Durfort : il dit qu'il leur donnerait de l'exagération et de l'emphase ; je parlai de M....de Thiars : M. le duc de Chartres répondit qu'il était trop léger, et qu'il ne s'en occuperait pas du tout. Alors je me mis à rire, et je lui dis... | |
| Honoré Bonhomme - 1885 - 154 pagina’s
...de Genlis désigna trois ou quatre personnes, qui soulevèrent des objections de la part du prince. «Alors je me mis à rire, et je lui dis : « Eh «...? » reprit-il sérieusement... Je proteste que je n'a vois cru faire qu'une plaisanterie, et que, dans nos conversations précédentes, rien n'avait... | |
| Amédée Gasquet - 1896 - 328 pagina’s
...de Chartres répondit qu'il était trop léger et qu'il ne s'en occuperait pas du tout. Alors jeme mis à rire et je lui dis : « Eh bien ! moi ! —...pas?», reprit-il sérieusement. Je proteste que je n'avais envie de faire qu'une plaisanterie, et que, dans nos conversations précédentes, rien n'avait... | |
| Henri Druon - 1897 - 524 pagina’s
...était pédant, le second exagéré et emphatique, le troisième trop léger. « Alors, dit-elle, « je me mis à rire, et je lui dis : Eh bien, moi! —...pas? « reprit-il sérieusement. — Je proteste que j'avais cru ne faire « qu'une plaisanterie, et que, dans nos conversations précéden« tes, rien... | |
| Louis Chabaud - 1901 - 380 pagina’s
...et sans titre suffisant. Elle proposa plusieurs noms, qui tous furent écartés. «Alors, dit-elle, je me mis à rire et je lui dis : — Eh bien, moi ! — Pourquoi pas, me dit-il? Je protestai que je n'avais cru faire qu'une plaisanterie ; mais l'air et le ton de M. le... | |
| G. Lenotre - 1907 - 340 pagina’s
...et de l'emphase. Je parlai de M. de Thiars : le duc d'Orléans répondit qu'il était trop léger; alors je me mis à rire et je lui dis : Eh bien ! moi? — Pourquoi pas? reprit-il sérieusement. Je dis alors franchement ma pensée. M. le duc d'Orléans parut charmé et me dit : — Voilà qui est... | |
| G. Lenotre - 1910 - 340 pagina’s
...et de l'emphase. Je parlai de M. de Thiars : le duc d'Orléans répondit qu'il était trop léger; alors je me mis à rire et je lui dis : Eh bien ! moi f — Pourquoi pas? reprit-il sérieusement. Je dis alors franchement ma pensée. M. le duc d'Orléans... | |
| Joseph Turquan, Lucy Emily Madeline Ellis - 1923 - 406 pagina’s
...qn^il rendrait ses enfants |>édants; je proposai le chevalier de-Durfort : il dit qu'il leur donnerait de l'exagération et de l'emphase ; je parlai de M....de Thiars : M. le duc de Chartres répondit qu'il était trop léger et qu'il ne s'en oecuperait pas du tout : alors je me mis à rire et je lui dis... | |
| 1895 - 1200 pagina’s
...premier était pédant, le second exagéré et emphatique, le troisième trop léger. '< Alors, dit-elle, je me mis à rire, et je lui dis : Eh bien, moi! —...Pourquoi pas? reprit-il sérieusement. Je proteste que j'avais cru ne faire qu'une plaisanterie, et que, dans nos conversations précédentes, rien n'avait... | |
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