Mémoires du maréchal de Grouchy, Volume 4E. Dentu, 1874 |
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18 juin 1er corps 3º corps aide de camp arriver attaquer bataille de Ligny bataille de Waterloo brigade Bruxelles Bulow canon canonnade champ de bataille Charleroi cher général cheval colonne commandant Compiègne comte d'Erlon corps d'armée corps de cavalerie corps du général corps prussien d'infanterie demain dépêche direction diriger division Teste dix heures Dyle ennemis envoyé eût Exelmans Fleurus forêt de Soignes garde gauche Gembloux général Exelmans général Gérard général Pajol général Vandamme Gourgaud GROUCHY AU GÉNÉRAL heures du matin heures du soir heures et demie j'ai journée l'aile l'armée prussienne l'artillerie l'Empereur l'ennemi l'ordre Laon lettre Limale Majesté major général marche maréchal Blücher maréchal de Grouchy maréchal Grouchy maréchal Ney ment mille hommes Monsieur le maréchal mouvement Namur Napoléon nuit officier ordres porter prince Prus Prussiens quartier général Quatre-Bras Rethel retraite route de Namur Saint-Amand Saint-Lambert Sart-à-Walhain sept heures Soissons Sombref Thielmann Thiers tion troupes village Wavres Wellington
Populaire passages
Pagina 110 - Majesté me charge de vous dire que vous devez manœuvrer sur-le-champ, de manière à envelopper la droite de l'ennemi et tomber à bras raccourcis sur ses derrières; cette armée est perdue si vous agissez vigoureusement, le sort de la France est entre vos mains.
Pagina 33 - J'ai adopté comme principe général, pendant cette campagne, de diviser mon armée en deux ailes et une réserve. Votre aile sera composée des quatre divisions du...
Pagina 412 - Sur ce que Napoléon II est devenu empereur des Français par le fait de l'abdication de Napoléon I", et par la force des constitutions de l'empire ;
Pagina 78 - Wivorde, j'arriverai facilement à Bruxelles avant tout ce qui sera arrêté à la Chyse, si tant il ya que les Prussiens y fassent une halte. « Daignez, Sire, me transmettre vos ordres ; je puis les recevoir avant de commencer mon mouvement de demain.
Pagina 204 - L'ennemi , qui s'apercut de cette étonnante confusion , fit déboucher des colonnes de cavalerie ; le désordre augmenta , la confusion de la nuit empêcha de rallier les troupes et de leur montrer leur erreur. Ainsi une bataille terminée , une journée finie . de fausses mesures réparées , de plus grands succès assurés pour le lendemain, tout fut perdu par un moment de terreur panique.
Pagina 225 - L'armée anglaise combattit avec une valeur qu'il est impossible de surpasser. Les charges répétées de la vieille Garde échouèrent devant l'intrépidité des régiments écossais, et chacune des charges de la cavalerie française fut repoussée par la cavalerie anglaise. Mais la supériorité de l'ennemi était trop grande; Napoléon envoyait continuellement en avant des masses énormes, et quelque fermeté que les troupes anglaises missent pour se maintenir dans leur position, il était impossible...
Pagina 85 - ... ramasser leurs traînards. Instruisez-moi immédiatement de vos dispositions et de votre marche, ainsi que des nouvelles que vous avez sur les ennemis, et ne négligez pas de lier vos communications avec nous. L'Empereur désire avoir très-souvent de vos nouvelles.
Pagina 216 - ... avec la plus grande cordialité. Le mouvement du général Bulow sur les flancs de l'ennemi a été décisif; et si je ne m'étais pas trouvé moimême en position de faire l'attaque qui a décidé de l'affaire, il aurait forcé les Français à se retirer, si leurs attaques n'avaient pas réussi, et les aurait au moins empêchés d'en tirer aucun fruit , si elles avaient eu du succès. J'envoie avec cette dépêche deux aigles que nos.
Pagina 355 - L'Empereur me charge de vous prévenir qu'en ce moment Sa Majesté va faire attaquer l'armée anglaise, qui a pris position à Waterloo, près de la forêt de Soignes ; ainsi Sa Majesté désire que vous dirigiez vos mouvements sur...
Pagina 211 - L'ennemi ne fit aucun mouvement pour poursuivre le maréchal Blûcher ; au contraire , une patrouille, que j'envoyai dans la matinée à Sombref, trouva tout tranquille, et les vedettes de l'ennemi se retirèrent à l'approche de la patrouille. L'ennemi ne fit non plus aucune tentative pour inquiéter notre arrière-garde , quoique notre retraite s'opérât en plein jour; il se contenta de faire suivre, par un gros corps de cavalerie, tiré de son aile droite , la cavalerie sous les ordres du comte...