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" Il m'a paru qu'il ne supportait pas que l'on eût, sur aucun point, une opinion différente de la sienne ; pour peu qu'on le contredise... "
Mémoires inédits de Madame la comtesse de Genlis: sur le dix-huitième siècle ... - Pagina 330
door Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825
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Nouveaux romans, Volume 7

Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1804 - 292 pagina’s
...conséquent (avec tin esprit tel que le sien) parfaitement aimable. ÎF m'a paru qu'il ne supportait pas que l'on eût, sur aucun point, une opinion différente de la sienne ; pour peu qu'on le contredise, son ton prend de l'aigreur et devient tranchant; il a certainement beaucoup perdu de l'usage...
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Les souvenirs de Felicie L***.

Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1808 - 228 pagina’s
...conséquent (avec un esprit tel que le sien) parfaitement aimable. Il m'a paru qu'il ne supportoit pas que l'on eût, sur aucun point, une opinion différente de la sienne ; pour peu qu'on le contredise, son ton prend de l'aigreur et devient tranchant; il a certainement beaucoup perdu de l'usage...
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Voltaire et la société au xviii siècle: Retour et mort de Voltaire

Gustave Desnoiresterres - 1876 - 612 pagina’s
...aimable. Il me parut qu'il ne supportoitpas que l'on eût, sur aucun point, une opinion différente dela sienne; pour peu qu'on le contredît, son ton prenoit...on n'alloit le voir que pour l'enivrer de louanges; tout ce qui l'entouroit étoit à ses pieds; il n'entendoit parler que de l'admiration qu'il inspiroit,...
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Voltaire et la société au XVIIIe siècle: Retour et mort de Voltaire

Gustave Desnoiresterres - 1876 - 554 pagina’s
...conséquent, avec un esprit tel que le sien, parfaitement aimable. Il me parut qu'il ne supportoitpas que l'on eût, sur aucun point, une opinion différente de la sienne; pour peu qu'on le contredit, son ton prenoit de l'aigreur et devenoit tranchant. Il avoit certainement beaucoup perdu...
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Voltaire et la société au xviii siècle: Retour et mort de Voltaire

Gustave Le Brisoys Desnoiresterres - 1876 - 556 pagina’s
...appréciation est au moins bien légère. « II me parut, dit madame de Genlis, qu'il ne supportoit pas que l'on eût, sur aucun point, une opinion différente de la sienne. » Est-ce un soupçon ou une appréciation motivée? Dans ce dernier cas, la belle dame eût bien fait,...
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Bibliotheque des mémoires relatifs a l'histoire de France, Volume 15

1878 - 488 pagina’s
...conséquent , avec un esprit tel que le sien, parfaitement aimable. Il me parut qu'il ne supportait pas que l'on eût , sur aucun point , une opinion...la sienne ; pour peu qu'on le contredît, son ton prenait de l'aigreur et devenait tranchant. Il avait certainement beaucoup perdu de l'usage du monde...
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Œuvres complètes, Volume 1

François Marie Arouet de Voltaire - 1883 - 694 pagina’s
...conséquent (avec un esprit tel que le sien) parfaitement aimable. Il m'a paru qu'il ne supportait pas que l'on eût, sur aucun point, une opinion différente de la sienne ; pour peu qu'on le contredise, son ton prend de l'aigreur et devient tranchant; il a certainement beaucoup perdu de l'usage...
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OEuvres complètes de Voltaire: Études et documents biographiques. 1883

Voltaire - 1883 - 630 pagina’s
...conséquent (avec un esprit tel que le sien) parfaitement aimable. Il m'a paru qu'il ne supportait pas que l'on eût, sur aucun point, une opinion différente de la sienne ; pour peu qu'on le contredise, son ton prend de l'aigreur et devient tranchant; il a certainement beaucoup perdu de l'usage...
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Revue des deux mondes, Volume 7

François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1912 - 976 pagina’s
...l'habitude de parler excessivement haut quoiqu'il ne fût pas sourd... Il me parut qu'il ne supportait pas que l'on eût sur aucun point une opinion différente de la sienne : pour peu qu'on le contredit, son ton prenait de l'aigreur et devenait tranchant. Il avait certainement beaucoup perdu...
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La Semaine littéraire, Volume 21

1913 - 648 pagina’s
...conséquent, avec un esprit tel que le sien, P*r' faitement aimable. Il me parut qu'il ne supportait pas que'1 eût sur aucun point une opinion différente de la sienne ; pour PeU qu'on le contredît, son ton prenait de l'aigreur et devenait *••* chant. » (A suivre.) J. DE MESTRAL GOMBREMONTImprimerie...
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