| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 444 pagina’s
...instruction beaucoup plus étendue et plus extraordinaire que celle que j'ai eue. C'est qu'un goût dominant ne permet pas que rien de ce qui lui est étranger...de tout, mais je n'ai su parfaitement que ce qui se rapportoit aux beaux-arts, à la littérature, à l'étude du cœur humain, parce que telles étoient... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 362 pagina’s
...de jours, Chamousset ne vécnt que quarante-six ans, il est mort en 1773.—( Note de l'Editevr.) 8* permet pas que rien de ce qui lui est étranger se...de tout, mais je n'ai su parfaitement que ce qui se rapportoit aux beaux-arts, à la littérature, à l'étude du cœur humain, parce que telles étoient... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 442 pagina’s
...beaucoup plus étendue et plus extraordinaire •que celle que j'ai eue. C'est qu'un goût dominant ne permet pas que rien de ce qui lui est étranger...réflexions journalières qui forment notre genre d'instrucÙQn. Je n'ai été étrangère à rien, j'ai pu parler passablement de tout, mais je n'ai... | |
| Frédéric Eugène Godefroy - 1863 - 774 pagina’s
...mériter dans l'histoire de notre littérature. • Je n'ai été étrangère à rien, nous dit-elle, j'ai pu parler passablement de tout, mais je n'ai...aux beaux-arts, à la littérature, à l'étude du cœur humain, parce que telles étaient mes passions, et que je n'ai véritablement réfléchi qu'à... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1874 - 448 pagina’s
...et qu'elle représentait ou composait de petites comédies. « Enfin, nous avoue-t-elle ingénument, je n'ai été étrangère à rien, j'ai pu parler...de tout; mais je n'ai su parfaitement que ce qui se rapporte aux beaux-arts, à la littérature et à l'élude du cœur humain. » Je ne m'arrête pas... | |
| 1878 - 488 pagina’s
...les ritournelles les plus ornées, remplies de cadence, de roulades, etc. (Note de l'auteur.) minant ne permet pas que rien de ce qui lui est étranger...aux beaux-arts, à la littérature , à l'étude du cœur humain, parce que telles étaient mes passions et que je n'ai véritablement réfléchi qu'à... | |
| Frédéric Godefroy - 1879 - 794 pagina’s
...mériter dans l'histoire de notre littérature. « Je n'ai été étrangère à rien, nous dit-elle, j'»i pu parler passablement de tout, mais je n'ai su parfaitement que ce qui se rapportait aux beaux-arts, & la littérature, à l'élude du cœur humain, parce que telles étaient mes passions, et que je n'ai... | |
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