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Latouche, sont d'une exécution très-soignée et imitent parfaitement la bonneterie des fabriques de Tunis (117).

37 M. Roux, rue Neuve-des-Petits-Champs, au coin de celle Richelieu.

M. Roux a présenté des bas en cachemire, fils de soie et coton, de la plus grande finesse et d'une très-bonne fabrication (116).

58 M. OUDOUART-DETREY, rue du Petit-Bourbon.

Les bas de fil de soie et de coton présentés par M. Oudouart - Detrey sont parfaitement confectionnés (115). 59 Mme. Ve. DArche-Pannier, rue du Bac, n. 13.

Mme. Ve. Darche-Pannier a présenté à l'exposition des bas de coton et des bas de duvet de cachemire, d'une trèsbonne fabrication et d'une finesse remarquable (114).

CHAPITRE X.

CHAPELLERIE.

Chapeaux de feutre.

60 M. GUICHARDIERE, rue Saint-Jacques, n. 178. M. Guichardière a présenté des chapeaux faits par un nouveau procédé, à l'instar de celui qui est employé en Italie. Ce fabricant a rendu d'importans services à la chapellerie par ses découvertes et par les perfectionnemens qu'il y a introduits (121).

Chapeaux d'osier, de paille et de soie.

61 M. DE BERNARDIÈRE, (Achille) boulevard SaintMartin, n. 8.

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Déjà mentionné par les fleurs en baleine, cet ingénieux fabricant est parvenu à fendre en feuilles très - minces non-seulement la baleine, mais encore l'osier; il en fait des chapeaux très-solides et d'une grande légèreté (123). 62 Mmes. MANCEAU, rue Sainte-Avoie, n. 57.

A l'exposition de 1819, Mmes. Manceau ont présenté les produits d'une industrie nouvelle : des chapeaux de tresse de soie imitant la paille d'Italie. Elles ont perfectionné depuis leur fabrication et y ont donné plus d'extension. Les chapeaux, les gilets, les bourses et autres objets faits en tresse de soie, qui ont été mis sous les yeux du jury, ont paru dignes de fixer l'attention (127).

CHAPITRE XI.

CUIRS.

Tannerie et Corroierie.

63 M. DUVAL-DUVAL, rue de l'Oursine, n. 53.

M. Duval-Duval a présenté de fort beaux cuirs de Russie, fabriqués au moyen des mêmes procédés dont se servent les russes (132).

64 M. QUENNEHEM, rue des Audriettes, n. 1.

Des cuirs de Russie et des cuirs façon de Chine, ont été présentés par M. Quennehem. Ces produits ont été

remarqués par leur bonne qualité; ce fabricant n'emploie que des matières indigènes (135).

Maroquins.

65 MM. FAULER père et fils, à Choisy-le-Roi.

Les maroquins présentés par ces fabricans sont d'une qualité parfaite et méritent de fixer l'attention. Le jury croit devoir rappeler que c'est à M. Fauler père que l'on doit l'importation des procédés anglais pour la fabrication des maroquins (136).

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M. MATTLER, rue Censier, n. 13.

Ce fabricant a présenté des maroquins qui ne laissent rien à désirer. Ses produits rivalisent avec ceux de M. Fauler (137).

M. SCHMUCK, rue Censier, n. 21.

Des maroquins, fort bien fabriqués et d'une excellente. qualité, ont été présentés par M. Schmuck (138).

Cuirs vernis.

M. DIDIER, rue de Montmorency, n. 26.

La souplesse et la beauté des cuirs vernis de M. Didier, déjà reconnues aux dernières expositions, semblent avoir encore acquis un nouveau degré de perfection. Il a présenté cette année de nombreuses applications de ses vernis sur les cuirs, le feutre et le papier (139).

M. LAUZIN, rue Saint-Martin, n. 125.

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Ces deux fabricans, par la qualité de leurs cuirs vernis, se rapprochent tellement de M. Didier, qu'il est souvent

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impossible de distinguer les produits de leurs fabriques. (141, 140).

Peausserie et Mégisserie.

71 MM. Gosse et DURAND, rue Marie-Stuart, n. 8.

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Grand et bel établissement pour la préparation des peaux de loutre-marine, aujourd'hui d'un usage presque général pour les bonnets et les casquettes (142).

Chaussure et Emploi des Cuirs.

M. DUFORT, rue J.-J.-Rousseau, n. 18.

Avec des déchets provenant des ateliers où l'on travaille le cuir, M. Dufort est parvenu à fabriquer des soupentes de voitures, des courroies et des souliers, qui, par la modicité de leur prix, peuvent servir à l'usage des troupes et du peuple (143).

M. DUPORT, rue Saint-Honoré, n. 248.

Des patins, nommés soques-articules, ont été présentés par M. Duport : les parties qui correspondent aux articulations du pied sont brisées et assemblées au moyen d'une charnière. Cette disposition facilite la marche, et rend ces soques d'un usage plus commode que les patins ordinaires (146).

CHAPITRE XII.

FONTE, ACIER, TÔLE ET FER-BLANC.

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74 M. MENTZER, rue Saint-Victor, n. 44.

M. Mentzer a présenté des mortiers en fonte de fer, tournés et polis, dont l'usage est très-avantageux dans les laboratoires des chimistes et des pharmaciens.

Il avait obtenu, en 1819, une mention honorable, et il › n'a pas cessé de mériter une distinction particulière.

Ce fabricant a joint à ces premiers produits de son industrie, des colonnes de balance en fer fondu, et d'autres objets qui ont été remarqués pour leur bonne exécution (153).

75 M. DUMAS, à l'hôtel des Quinze-Vingts, rue de ¡Charenton.

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Ce fabricant, qui s'était borné d'abord à faire des roulettes de fonte de fer, est parvenu, au moyen de nouveaux procédés, à rendre la fonte douce et plus ductile. Ses produits en médaillons, ornemens et bijoux, rivalisent avec les objets du même genre que nous fournissait la Prusse (151).

Acier.

M. BRÉANT, à l'hôtel des Monnaies.

Le jury pense que ce savant mérite d'être recommandé particulièrement à l'attention du jury central, pour l'importance de ses travaux et les grands sacrifices qu'il a faits,

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