J'ai une fort belle forêt ; j'y allai un jour, ou, pour mieux dire, un soir, pour tirer un lapin. C'était l'heure de l'affût. Quantité de lapereaux paraissaient, disparaissaient, se grattaient le nez, faisaient mille bonds, mille tours, mais toujours... Mémoires, ou, Souvenirs et anecdotes - Pagina 38door Louis-Philippe de Ségur - 1859Volledige weergave - Over dit boek
| Charles Joseph de Ligne - 1809 - 468 pagina’s
...grattoient le nez, faisoient mille bonds , mille tours , mais toujours si vite que je n'avois pas le tems de lâcher mon coup. Un ancien , d'un poil un peu plus gris , d'une alJate plus posée, parut tout d'un cdup au bord de son terrier. Après avoir fait sa toilette tout... | |
| 526 pagina’s
...l'heure de l'afFût. Quantité de lapereaux paraissaient , disparaissaient , se grattaient le nez , faisaient mille bonds , mille tours , mais toujours...je le tenais au bout de mon fusil : Tire donc , me dit - il , qu'attends-tu?... Oh ! je vous avoue que jo lus saisi d'étonnement... Je n'avais jamais... | |
| Charles Joseph prince de Ligne - 1827 - 444 pagina’s
...C'était l'heure de l'affût. Quantité de lapereaux passaient,disparaissaient,se grattaient le nez, faisaient mille bonds, mille tours, mais toujours...temps de lâcher mon coup. Un ancien, d'un poil un peu gris, d'une allure plus posée, parut tout d'un coup au bord de son terrier. Après avoir fait sa toilette... | |
| François Noel - 1835 - 596 pagina’s
..., se grattoient le nez , faisoicnt mille bonds , mille tours, mais toujours si vite, que je u'avois ançois Noel tenois au bout de mou fnsi] ; Tire donc , me ditil , qu'attcnds-tu? Oh! je vous avoue que je fus saisi... | |
| François Noel - 1838 - 788 pagina’s
...à l'heure de l'affût. Quantité de lapereaux paraissaient, disparaissaient, se grattaient le nez, faisaient mille bonds, mille tours, mais toujours...tenais au bout de mon fusil : « Tire donc, me dit-il, qu'attends-tu ? » Oh ! je vous avoue que je fus saisi d'étonnement !... Je n'avais jamais tiré qu'à... | |
| François Noel - 1840 - 652 pagina’s
...disparaissaient , se grattaient le nez , faisaient mille bonds , mille tours , mais toujours si vile, que je n'avais pas le temps de lâcher mon coup. Un...lapin), voyant que je le tenais au bout de mon fusil : i Tire donc, me dit-il, qu'altends-tu? » Oh ! je vous avoue queje fus saisi d élonnement!... Je... | |
| F T - 1848 - 410 pagina’s
...à l'heure de l'affût. Quantité de lapereaux paraissaient, disparaissaient, se grattaient le nez, faisaient mille bonds, mille tours, mais toujours...c'est de là qu'on dit : " Propre comme un lapin"), voyantque je le tenais au bout de mon fusil : "Tire donc," me dit-il, "qu'attends-tu?" Oh! je vous... | |
| Saucié - 1850 - 272 pagina’s
...à l'heure de l'affût. Quantité de lapereaux paraissaient, disparaissaient, se grattaient le nez, faisaient mille bonds, mille tours*, mais toujours...un peu plus gris, d'une allure plus posée, parut tout-à-coup au bord de son terrier. Après avoir fait sa toilette tout à son aise (car c'est de là... | |
| François Noel - 1851 - 792 pagina’s
...à l'heure de l'affût. Quantité de lapereaux paraissaient , disparaissaient, se grattaient le nez, faisaient mille bonds, mille tours, mais toujours...le temps de lâcher mon coup. Un ancien, d'un poil unpeu plus gris, d'une allure plus posée, parut tout d'un coup au bord de son terrier. Après avoir... | |
| François Joseph Michel Noël, Auguste Baron - 1852 - 660 pagina’s
...l'heure de l'affût. Quantité de lapereaux paraissaient , disparaissaient , se gratlaicnt le nez , faisaient mille bonds , mille tours , mais toujours...tout d'un coup au bord de son terrier. Après avoir f;u't sa toilette tout à son aise (car c'est de là qu'on dit : Propre comme un lapin), voyant que... | |
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