| marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - 1809 - 406 pagina’s
...vous ferez perdre , quoi que ce puisse être. Les grands, à force de s'étendre, deviennent si minees qu'on voit le jour au travers : c'est une belle étude...à la vôtre de ne se pas départir des commodités ; ruais je désapprouve qu'on se fasse un tourment du soin d'être à son aise , comme je le vois souif... | |
| marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - 1809 - 406 pagina’s
...vous ferez perdre , quoi que ce puisse être. Les grands, à force de s'étendre, deviennent si minces qu'on voit le jour au travers : c'est une belle étude...ramène plus à la philosophie. Je passe bien à la votre de ne se pas départir des commodités ; mais je désapprouve qu'on se fasse un tourment du soin... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 550 pagina’s
...: « Les Grands, écrivait-elle à Mme du Deffand, à force « de s'étendre, deviennent si minces qu'on voit le jour au « travers : c'est une belle...ne sais « rien qui ramène plus à la philosophie. » Les scènes avec la duchesse de La Fertô et les aventures à Versailles sont d'un excellent comique... | |
| Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 510 pagina’s
...Du Deffand (11 s^" tembre 1747) : « Les Grands, à force de s'étendre, deviennent si minces quoo voit le jour au travers : c'est une belle étude de les contempler, je ne saisncn qui ramène plus à la philosophie. > Et dans le portrait de cette duchesse m Maine qui contenait... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 518 pagina’s
...noms! quel audis'étendre, deviennent si minces qu'on voit le jour au travers : c'est une belle élude de les contempler, je ne sais rien qui ramène plus à la philosophie, » Et dans le portrait de cette duchesse du Maine qui contenait en elle tout l'esprit et le caprice... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 440 pagina’s
...force de s'étendre , deviennent si minces, qu'on voit le jour au travers : c'est une belle éiude de les contempler; je ne sais rien qui ramène plus à la philosophie. » Voilà ce qu'observait M"e de Launay, notre La Bruyère de céans; et elle couronne ses Mémoires... | |
| Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1855 - 514 pagina’s
...à Mme Du Deffand (l7 septembre l747) : « Les Grands, à force de s'étendre, deviennent si minces qu'on voit le jour au travers : c'est une belle étude...je ne sais rien qui ramène plus à la philosophie. » Et dans le portrait de cette duchesse du Maine qui contenait en elle tout l'esprit et le caprice... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858 - 566 pagina’s
...ferez perdre, quoi que ce puisse être. Les Grands, à force de s'étendre, deviennent si minces , qu'on voit le jour au travers : c'est une belle étude...ne sais rien qui. ramène plus à la philosophie, a Voilà ce qu'observait M1Ie de Launay, notre La Bruyère de céans; et elle couronne ses Mémoires... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1870 - 542 pagina’s
...ferez perdre, quoi que ce puisse « être. Les grands, à force de s'étendre, deviennent si minces, qu'on « voit le jour au travers : c'est une belle...je ne sais rien qui ramène plus à la philosophie. » Voilà ce qu'observait mademoiselle de Launay, notre La Bruyère de céans; et elle couronne ses... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1864 - 564 pagina’s
...spirituelle Delaunay qui a écrit : «Les grands, à force de s'étendre, deviennent si minces, qu'on voij le jour au 'travers; c'est une belle étude de les...je ne sais rien qui ramène plus à la philosophie. » Et encore : « Elle (la duchesse du Maine) a fait dire à une personnne de beaucoup d'esprit que... | |
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