Dictionnaire des sciences philosophiques, Volume 5L. Hachette, 1851 |
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absolue Aristote attribue c'est-à-dire cause choses Cicéron connaissance conscience conséquent considéré corps criterium d'Aristote Descartes déterminée développement dialectique Dieu Diogène Laërce disciples divine doctrine dogmes écrits effet éléments esprit éternelle existence facultés fond force forme général Grèce hommes hypostase idées infini jugement Kant l'âme l'auteur l'autre l'école l'esprit humain l'essence l'être l'existence l'expérience l'histoire l'homme l'idée l'infini l'intelligence l'un l'unité l'univers Leibnitz liberté livre logique lois lui-même madame Guyon mathématiques matière ment métaphysique méthode monde morale nature nécessaire nombre notion objet ouvrages pensée perfection Phéniciens phénomènes philo philosophie Philostrate physique Platon Plotin Plutarque pneumatologie politique Posidonius premier principe Proclus proposition propriété Protagoras psychologie pure Pyrrhon Pythagore pythagoriciens qu'une question quiétisme raison Ramus rapport réalité réel Reid religion reste rien Rousseau Royer-Collard sabéisme scepticisme Schelling science sens sensation sentiment serait seul siècle Sophiste sorte spéculative Spinoza substance sujet système théologie théorie tion traité universelle vérité vertu vrai Zoroastre
Populaire passages
Pagina 235 - De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement...
Pagina 236 - ... d'où l'on voit avec combien d'injustice nous respectons l'antiquité dans ses philosophes; car, comme la vieillesse est l'âge le plus distant de l'enfance , qui ne voit que la vieillesse dans cet homme universel ne doit pas être cherchée dans les temps proches de sa naissance, mais dans ceux qui en sont les plus éloignés?
Pagina 252 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Pagina 220 - ... newlonienne de la gravitation, qui a permis de calculer avec une si minutieuse exactitude le.s mouvements des corps célestes; qui a rendu compte jusqu'ici de toutes leurs irrégularités apparentes; qui en a fait prévoir plusieurs avant que l'observation ne les eût démêlées , et qui a indiqué à l'observateur les régions du ciel où il devait chercher des astres inaperçus.
Pagina 458 - ... quoi qu'il nous en paraisse, nous n'avons aucune idée du vrai, tous nos sentiments étant alors des illusions, — qui sait si cette autre moitié de la vie où...
Pagina 2 - Zoroastre, était avant le ciel, avant l'eau, avant la terre, avant les troupeaux, avant les arbres, avant le feu, fils d'Ormuzd, avant l'homme pur, avant les dews, avant les kharfesters (les animaux utiles ou innocents), avant tout le monde existant, avant tous les biens, avant tous les purs germes donnés d'Ormuzd.
Pagina 457 - Zenon crut qu'il lui fermerait la bouche, s'il découvrait un caractère, une règle qui fît distinguer les représentations illusoires de celles qui sont véridiques. Ce caractère, cette règle, il l'appela çav-weïta >wca/ajCT»d).
Pagina 131 - ... est l'intelligence du premier et souverain Dieu , ou, si vous l'aimez mieux , sa volonté bienfaisante envers tous les êtres, et qui, la première, a donné à l'ensemble des choses divines et à chacune en particulier l'ordre le plus admirable et le plus parfait. La seconde providence est celle des seconds dieux, qui parcourent le ciel, qui règlent toutes les choses humaines, et maintiennent tout ce qui est nécessaire pour la conservation et la perpétuité des différentes espèces d'êtres....
Pagina 420 - Descartes à l'Europe, ne repoussera pas le flambeau allumé par ce grand homme. Sans la philosophie, il n'ya ni littérature, ni science véritable. Si de pernicieuses doctrines se sont élevées sous son nom, c'est à elle, non à l'ignorance qu'il appartient de les combattre, à elle seule qu'il est réservé de les détruire.
Pagina 461 - ... les sceptiques n'ont pas pris garde à une chose , c'est qu'elle ne conclut pas pour eux. A quoi vientelle aboutir en effet? A ce seul point, qu'on ne peut prouver l'évidence. Mais qui le conteste? N'est-ce pas là une des maximes éternelles du sens commun? Et n'est-ce pas en même temps le premier principe de toute saine logique? Le père du dogmatisme le plus vaste et le plus absolu de l'antiquité...