| Denis Diderot - 1798 - 524 pagina’s
...d'honneur. Et voilà le cri de la flatterie , de la bassesse et des cours. Mais ce n'est pas tout. Le cri de l'homme prend encore une infinité de formes.... Lorsque Ferrein dit : Mon ami tomba malade -, je letr.àiiai , il nipurut",je le disséquai; Ferrein fiit-il un homme dur? Je l'ignore. Docteur , vous... | |
| Robbé - 1804 - 240 pagina’s
...les croquant, beaucoup d'honneur-, Et voilà le cri de la flatterie , de la bassesse et des cours. Le cri de l'homme prend encore une infinité de formes...mon ami tomba. Malade, je le traitai; il mourut , je U \dissequai i Ferrein fut-il un homme dur? je l'ignore. Tire\, tire^; il n'est pas ensemble. Celui... | |
| Denis Diderot - 1818 - 772 pagina’s
...d'honneur. . . . Et voilà le cri de la flatterie , de la bassesse et des cours. Mais ce n'est pas tout. ' Le cri de l'homme prend encore une infinité de formes...; il mourut , je le disséquai ; Ferrein fut-il un homme dur? Je l'ignore. Docteur, vous arrivez bien tard. — 77 est vrai. Cette pauvre mademoiselle... | |
| Denis Diderot - 1821 - 520 pagina’s
....llunm-m .... ll voilà le cri do la flatterie , de la bassesse et des cours. Mais ce n'est pas tout. le cri de l'homme prend encore une infinité de formes...caractère. Lorsque Ferrein dit : Mon ami tomba malade , jf le traitai l il mourut , je le dixse'quai ; Ferrein l»l-il un homme dur? Je l'ignore. Docteur,... | |
| Denis Diderot - 1821 - 520 pagina’s
...d'honneur.... Et voilà le cri de la flatterie, de la bassesse et des cours. Mais ce n'est pas tout. Le cri de l'homme prend encore une infinité de formes...caractère. Lorsque Ferrein dit : Mon ami tomba malade t je le traitai; il mourut, je le disséquai;. Ferrein fut-il un homme dur? Je l'ignore. Docteur, vous... | |
| Auguste de Labouïsse-Rocheford - 1846 - 1142 pagina’s
...ouvrages. — Fort bien ; mais ce savant médecin eut un ami , et il disait, après l'avoir perdu : Mon ami tomba malade, je le traitai; il mourut, je le disséquai. — Quel sang-froid ! Cela était-il très amical 7 — Un plaisant dit à ce sujet : Si vous êtes... | |
| marquise Marie de Vichy Chamrond Du Deffand - 1859 - 584 pagina’s
...succès, « madame du DeiTand, dit Thomas, me rappelle cette naïveté d'un médecin de ma connaissance : Mon ami tomba malade, je le traitai; il mourut, je le disséquai!...* » La perte de madame de Staal rendit le concours de madame du DelTand plus que jamais nécessaire... | |
| Francisque Sarcey - 1863 - 342 pagina’s
...restitué la pituite vitrée des anciens que nous avions perdue. C'est ce même docteur qui disait : — Mon ami tomba malade, je le traitai; il mourut, je le disséquai... — Docteur, lui disait. on, vous arrivez bien tard. — Il est vrai ; cette pauvre mademoiselle Duthé... | |
| Michel Ulysse Maynard - 1867 - 512 pagina’s
...Thomas disait : « Madame du Deffand me rappelle cette naïveté d'un médecin de ma connaissance : « Mon ami tomba malade, je le traitai; il mourut, je le disséquai (2). » En voici quelques traits. « Représentez-vous une femme grande et sèche, le teint échauffé,... | |
| Gustave Le Brisoys Desnoiresterres - 1871 - 498 pagina’s
...Elle me rappelle, disait Thomas, l'auteur des Eloges, les paroles d'un médecin de ma connaissance : Mon ami tomba malade, je le traitai; il mourut, je le disséquai*. » Mais le médecin avait attendu la mort de son ami; madame du Deffand disséquait la marquise de... | |
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