| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 418 pagina’s
...et M. le duc de Chartres se plaça vis-à-vis de madame de Blot , qui en fut un peu embarrassée ; elle n'aimoit pas du tout à soutenir devant lui ses...jamais révéler ce que venoit d'avouer là madame de*Blot , parce que si Rousseau en avoit connoissance , il viendroit enlever madame de Blot, et qu'ainsi... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 420 pagina’s
...soutenir devant lui ses thèses sentimentales, sachant bien qu'il ne les écoutoit attentivement que pour1 s'en moquer; cependant comme elle se sentoit en verve...déclaration, M. le duc de Chartres s'écria qu'il nous de1naudoit à tous notre parole de ne jamais r^> vêler ce que venoit d'avouer là madame de Blot,... | |
| Edmond de Goncourt, Jules de Goncourt - 1862 - 532 pagina’s
...de Chartres; et s'animant à mesure qu'elle parlait , elle finit par s'écrier « qu'il n'existait pas une femme véritablement sensible qui n'eût besoin...d'une vertu supérieure pour ne pas consacrer sa vie à Rousseau, si elle pouvait avoir la certitude d'en être aimée passionnément (1). » Ce cri d'une... | |
| REVUE - 1863 - 1028 pagina’s
...et prudente Mmc de Blot s'écriant, après une lecture de la Nouvelle Héloïse, « qu'il n'existait pas une femme véritablement sensible qui n'eût besoin...d'une vertu supérieure pour ne pas consacrer sa vie à Rousseau, si elle pouvait avoir la certitude d'en être aimée passionnément. » Il ya là sans... | |
| 1863 - 1024 pagina’s
...et prudente M"" de Blot s'écriant, après une lecture de la Nouvelle Héloïse, « qu'il n'existait pas une femme véritablement sensible qui n'eût besoin...d'une vertu supérieure pour ne pas consacrer sa vie à Rousseau, si elle pouvait avoir la certitude d'en être aimée passionnément. » II ya là sans... | |
| Edmond Henri Adolphe Scherer - 1876 - 444 pagina’s
...II n'existe pas une femme véritablement sensible, s'écrie la plus vertueuse des beautés d'alors, qui n'eût besoin d'une vertu supérieure pour ne pas consacrer sa vie à Rousseau, si elle pouvait avoir la certitude d'en être aimée passionnément ! » Tout cela ressemble... | |
| Octave Gréard - 1887 - 400 pagina’s
...écrire ». Et les prudes du salon de Mme de Genlis déclarent elles-mêmes en effet « qu'il n'existait pas une femme véritablement sensible qui n'eût besoin...d'une vertu supérieure pour ne pas consacrer sa vie à Rousseau, si elle pouvait avoir la certitude d'en être aimée passionnément ». Les imaginations... | |
| Octave Gréard - 1889 - 436 pagina’s
...écrire ». Et les prudes du salon de Mme de Genlis déclarent elles-mêmes en effet « qu'il n'existait pas une femme véritablement sensible qui n'eût besoin...d'une vertu supérieure pour ne pas consacrer sa vie à Rousseau, si elle pouvait avoir la certitude d'en être aimée passionnément » . Les imaginations... | |
| André Le Breton - 1898 - 416 pagina’s
...on fil cercle, et elle, s'animant à mesure qu'elle parlait, finit par s'écrier « qu'il n'existait pas une femme véritablement sensible qui n'eût besoin...d'une vertu supérieure pour ne pas consacrer sa vie à Rousseau, si elle pouvait avoir la certitude d'en être aimée passionnément ». Il n'a donc point... | |
| William Wistar Comfort - 1909 - 184 pagina’s
...Il n'existe pas une femme véritablement sensible, s'écrie la plus vertueuse des beautés d'alors, qui n'eût besoin d'une vertu supérieure pour ne pas consacrer sa vie à Rousseau, si 25 elle pouvait avoir la certitude d'en être aimée passionnément ! » Tout cela... | |
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