 | Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 446 pagina’s
...entiere. Tant que les hommes furent mes freres , je me faifois des projets de félicité terreflre; ces projets étant toujours relatifs au tout , je...pouvois être heureux que de la félicité publique , & jamais l'idée d'un bonheur particulier n'a touché mon cœur que quand j'ai vu mes freres ne chercher... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 594 pagina’s
...entiere. Tant que les hommes furent mes freres je me faifois des projets de félicité terreftre ; ces projets étant toujours relatifs au tout, je ne...pouvois être heureux que de la félicité publique, & jamais l'idée d'un bonheur particulier n'a touché mon cœur que quand fat vu mes freres ne chercher... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 444 pagina’s
...moi-même. Je fens des extafes, des raviflemens inexprimables à me fondre pour ainfi dire dans le fyftême des êtres , à m'identifier avec la nature entière. Tant que les hommes furent mes frères , je me' fiiifois des projets de félicité terreftre; ces projets étant toujours relatifs au tout , je ne... | |
 | Rousseau - 1782 - 448 pagina’s
...moi-même. Je fens des extafes des raviflemens inexprimables à me fondre pour ainfi dire dans le fyftême des êtres , à m'identifier avec la nature entière. Tant que les hommes furent mes frères , je ma faifois des projets de félicité terreftre; ces projets étant toujours relatifs au tout , je ne... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 522 pagina’s
...moi-même» Je fens des extafes , des raviffemens inexprimables à me fondre pour ainfï dire dans lelfyftcme des êtres, à m'identifier avec la nature entière. Tant que les hommes furent mes frères j je me faifois des projets de félicité terreftre ; ces projets étant toujours relatifs au tout»... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1783 - 420 pagina’s
...entiere. Tant que les hommes furent mes freres , je me faifois des projets de félicité terreftre : ces projets étant toujours relatifs au tout , je...pouvois être heureux que de la félicité publique ; & jamais l'idée d'un bonheur particulier n'a touché mon cœur , que quand j'ai vu mes freres ne... | |
 | Jean-Jacques Rousseau, René Just Haüy - 1802 - 354 pagina’s
...moimême. Je seus des extases , des ravissemens inexprimables à me fondre pour ainsi dire dans le systême des êtres, à m'identifier avec, la nature entière. Tant que les hommes furent mes frères, je me faisais des projets de félicité terrestre ; ces projets étant toujours relatifs au tout, je ne pouvais... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 548 pagina’s
...jamais plus délicieu^ sement que quand je m'oublie moi-même. Je sens des extases , des ravissements inexprimables à me fondre, pour ainsi dire, dans...entière. Tant que les hommes furent mes frères , je me faisais des projets de félicité terrestre ; ces projets étant toujours relatifs au tout, je ne pouvais... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 424 pagina’s
...jamais plus délicieusement que quand je m'oublie moi-même. Je sens des extases, des ravissements inexprimables à me fondre, pour ainsi dire, dans...ces projets étant toujours relatifs au tout, je ne pou vois être heureux que de la félicité publique, et jamais l'idée d'un bonheur particulier n'a... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1060 pagina’s
...sens des extases, des ravissemens inexprimables à me fondre , pour ainsi dire, dans Le système ries êtres , à m'identifier avec la nature entière. Tant que les hommes furent mes frères, je me faisais des projets de félicité terrestre; ces projets étant toujours relatifs au tout, je ne pouvais... | |
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Je ne médite, je ne rêve jamais plus délicieusement que quand je m'oublie moi-même. Je sens des extases, des ravissements inexprimables à me fondre pour ainsi dire dans le système des êtres, à m'identifier avec la nature entière. 
