Guerre de la Prusse et de l'Italie contre l'Autriche et la Confédération germanique en 1866: Relation historique et critique, Volume 1

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J. Chantrens, 1868 - 474 pages
 

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Fréquemment cités

Page 69 - Les états confédérés s'engagent de même à ne se faire la guerre sous aucun prétexte , et à ne point poursuivre leurs différends par la force des armes , mais à les soumettre à la diète. Celle-ci essaiera , moyennant une commission , la voie de la médiation : si elle ne réussit pas et qu'une sentence juridique devienne nécessaire, il y sera pourvu par un jugement austrégal (instanz) bien organisé', auquel les parties litigantes se soumettront sans appel.
Page 243 - C'est pourquoi SM le Roi, gardien jaloux des droits de son peuple et défenseur de l'intégrité du territoire national, croit de son devoir de déclarer la guerre à l'empire d'Autriche. « En conséquence, d'ordre de mon...
Page 36 - L'Autriche et la Prusse, après s'être entendues avec leurs alliés, enverront dans le Holstein, aussi promptement qu'il sera possible, des commissaires qui exigeront de la lieutenance, nu nom de la confédération, la suspension des hostilités, la retraite des troupes derrière l'Eider, et la réduction de l'armée à un tiers de l'effectif actuel, en les menaçant d'une exécution commune en cas de refus D'un autre côté, les deux gouvernements inviteront le cabinet danois à n'entretenir dans...
Page 17 - ... d'agir d'un autre côté. De tous les voisins de la Prusse l'empire de Russie mérite le plus d'attention, comme le plus dangereux : il est puissant, et il est voisin; ceux qui à l'avenir gouverneront la Prusse, seront également dans la nécessité de cultiver l'amitié de ces barbares. Le...
Page 242 - L'Empire d'Autriche a plus que nulle autre puissance contribué à tenir l'Italie divisée et opprimée; il a été la cause principale des incalculables dommages matériels et moraux soufferts par elle depuis des siècles. Aujourd'hui encore, où vingt-deux millions d'Italiens se sont constitués en une nation, l'Autriche, seule parmi les grands...
Page 240 - II ya déjà sept ans que l'Autriche attaquant mes Etats, parce que j'avais soutenu la. cause commune de la patrie dans les conseils de l'Europe , je repris l'épée pour défendre mon trône , la liberté de mes peuples, l'honneur du nom italien et pour combattre pour le droit de la nation. La victoire se déctara en faveur du bon droit.
Page 243 - Vénétie, que les hostilités commenceront après trois jours à partir de la date de la présente, à moins que Votre Altesse Impériale n'accepte pas ce délai, auquel cas je la prie de vouloir bien m'en donner avis.
Page 143 - Roi au 17 juin 1658. ne saurait pas lire en vaudrait bien un autre. Si j'étais d'âge à commander soit un régiment, soit un corps d'armée, je prierais Dieu de ne pas m'envoyer trop de soldats lettrés ou topographes.
Page 243 - États du monde civilisé, se refuse à nous reconnaître, continuant à tenir dans l'asservissement une de nos plus nobles provinces, qu'elle a transformée en un vaste camp retranché ; elle menace de là notre existence, et rend impossible notre développement politique au dedans et à l'extérieur. Ce fut en vain que, pendant ces dernières années, les tentatives et les conseils de puissances amies essayèrent de porter remède à cet intolérable état de choses. Il était donc inévitable...
Page 216 - D'où provient, au fond, la réputation de l'armée autrichienne? Des Français, uniquement des Français. Dès que ceux-ci ont battu un ennemi quelconque, ils ont l'habitude de l'élever jusqu'au ciel...

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