| Jules Antoine Taschereau - 1848 - 550 pagina’s
...Tu me pardonneras cette épîlre ; mais nou; r abesoin de nous sentir les coudes. Tu me pardonnera« que je dis du Père; c'est à toi seul que je le dii. T« connais mon respect et mon affection pour lui; mais il m'est impossible de ne pas regarder... | |
| Arthur de La Guéronnière - 1856 - 430 pagina’s
...pardonnneras cette épître, mais nous avons » besoin de nous sentir les coudes. Tu me pardonneras » ce que je dis du père ; c'est à toi seul que je le dis. n Tu connais mon respect et mon affection pour lui ; » mais il m'est impassible de ne pas regarder... | |
| 1858 - 504 pagina’s
...me pardonneras cette épttre, mais nous avons besoin de nous sentir les coudes. Tu me pardonneras ce que je dis du père ; c'est à toi seul que je le dis. Tu connais mon respect pour lui ; nuis il m'est impossible de ne pas regarder dans l'avenir. • Fr. Dans les entretien«... | |
| Nouvelle biographie - 1858 - 558 pagina’s
...me pardonneras cette ùpitrc, mais nous avons besoin de nous sentir les coudes. Tu me pardonneras ce que je dis du père; c'est à toi seul que je le dis. Tu connais mon respect pour lui ; mais il m'est impossible de ne pas regarder dans l'avenir. » Fr. D'OKLKANS. Dans les entretiens... | |
| Hoefer (M., Jean Chrétien Ferdinand) - 1858 - 508 pagina’s
...coudes. Tu me pardonneras ce que je dis du pcrc; c'est à toi seul queje le dis. Tu connais mon respect pour lui ; mais il m'est impossible de ne pas regarder dans l'avenir. » Fr. ' Dans les entretiens que le duc de Joitivillc eut avec son père, son opposition se manifesta... | |
| Laurent de l'Ardèche - 1861 - 590 pagina’s
...me pardonneras cette épitre, mais nous avons besoin de nous sentir les coudes. Tu mo pardonneras ce que je dis du père, c'est à toi seul que je le dis....pas regarder dans l'avenir, et il m'effraye un peu. .. « Sur ce, mille amitiés à Vie. et tout à toi. « F. o'O. » Le prince de Joinvil le avait raison... | |
| Dupin (M., André-Marie-Jean-Jacques) - 1861 - 704 pagina’s
...Tu me pardonneras cette épître; nous avons besoin de nous sentir les coudes. Tu me pardonneras ce que je dis du père, c'est à toi seul que je le dis;...impossible de ne pas regarder dans l'avenir, et il m'effraie un peu. » Complément de fannée 1847. Au milieu de celte agitalion fébrile qui commençait... | |
| Louis Antoine Garnier-Pagès - 1861 - 888 pagina’s
...pardonneras cette épltre, mais nous avons » besoin de nous sentir les coudes. Tu me pardonneras » ce que je dis du père ; c'est à toi seul que je le...» mais il m'est impossible de ne pas regarder dans M l'avenir, et il m'effraye un peu. » L'Opposition n'a rien dit de plus explicite, de plus net; et... | |
| Louis Antoine Garnier-Pagès - 1861 - 444 pagina’s
...pardonneras cette épître, mais nous avons » besoin de nous sentir les coudes. Tu me pardonneras » ce que je dis du père ; c'est à toi seul que je le dis. » Tu connais mon respect et mon airection pour lui; » mais il m'est impossible de ne pas regarder dans » l'avenir, et il m'effraye... | |
| Odilon Barrot - 1875 - 658 pagina’s
...épître : nous avons besoin de nous serrer les coudes; tu me pardonneras ce que je dis du père : tu connais mon respect et mon affection pour lui....m'est impossible de ne pas regarder dans l'avenir : il m'effraye un peu. Le duc d'Aumale partageait les vues du prince de Joinville et éprouvait les... | |
| |