Œuvres complètes de Alfred de Musset ...: Poésies nouvelles, 1833-1852L. Conard, 1923 |
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... amant . Ses longs cheveux épars la couvrent tout entière . La croix de son collier repose dans sa main , Comme pour témoigner qu'elle a fait sa prière , Et qu'elle va la faire en s'éveillant demain . Elle dort , regardez - quel front ...
... amant . Ses longs cheveux épars la couvrent tout entière . La croix de son collier repose dans sa main , Comme pour témoigner qu'elle a fait sa prière , Et qu'elle va la faire en s'éveillant demain . Elle dort , regardez - quel front ...
Pagina 17
... filles , Et cachez un amant sous le lit de l'époux ! Vos amours sont dorés , vivants et poétiques ; Vous en parlez , du moins , vous n'êtes pas publiques . Vous n'avez jamais vu le spectre de la Faim Soulever 2 ROLLA . 17.
... filles , Et cachez un amant sous le lit de l'époux ! Vos amours sont dorés , vivants et poétiques ; Vous en parlez , du moins , vous n'êtes pas publiques . Vous n'avez jamais vu le spectre de la Faim Soulever 2 ROLLA . 17.
Pagina 28
... amant . Elle s'est élancée au sein des nuits profondes . Mais une autre l'aimait elle - même ; Se sont mis en voyage autour du firmament . - et les mondes Jacque était immobile , et regardait Marie . Je ne sais ce qu'avait cette femme ...
... amant . Elle s'est élancée au sein des nuits profondes . Mais une autre l'aimait elle - même ; Se sont mis en voyage autour du firmament . - et les mondes Jacque était immobile , et regardait Marie . Je ne sais ce qu'avait cette femme ...
Pagina 64
... amant sur l'échelle de soie ? Jetterons - nous au vent l'écume du coursier ? Dirons - nous quelle main , dans les lampes sans nombre De la maison céleste , allume nuit et jour L'huile sainte de vie et d'éternel amour ? Crierons - nous à ...
... amant sur l'échelle de soie ? Jetterons - nous au vent l'écume du coursier ? Dirons - nous quelle main , dans les lampes sans nombre De la maison céleste , allume nuit et jour L'huile sainte de vie et d'éternel amour ? Crierons - nous à ...
Pagina 69
... amant de Sand . La rupture définitive ( mars ) ne produisit pas le même effet que la première : « Au lieu d'écouter son cha- grin et de s'y abandonner , le malade consentit à s'en distraire . Le monde le regrettait , ses amis le ...
... amant de Sand . La rupture définitive ( mars ) ne produisit pas le même effet que la première : « Au lieu d'écouter son cha- grin et de s'y abandonner , le malade consentit à s'en distraire . Le monde le regrettait , ses amis le ...
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Œuvres complètes de Alfred de Musset ...: Poésies nouvelles, 1833-1852 Alfred de Musset Volledige weergave - 1923 |
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Populaire passages
Pagina 66 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Pagina 124 - J'aime, et je veux sentir sur ma joue amaigrie Ruisseler une source impossible à tarir. J'aime, et je veux chanter la joie et la paresse, Ma folle expérience et mes soucis d'un jour, Et je. veux raconter et répéter sans cesse Qu'après avoir juré de vivre sans maîtresse, J'ai fait serment de vivre et de mourir d'amour. Dépouille devant tous l'orgueil qui te dévore, Cœur gonflé d'amertume et qui t'es cru fermé. Aime, et tu renaîtras ; fais-toi fleur pour éclore. Après avoir souffert,...
Pagina 259 - Que deux êtres mortels échangèrent sur terre, Ce fut au pied d'un arbre effeuillé par les vents, Sur un roc en poussière. Ils prirent à témoin de leur joie éphémère Un ciel toujours voilé qui change à tout moment Et des astres sans nom que leur propre lumière Dévore incessamment.
Pagina 20 - Cloîtres silencieux, voûtes des monastères, C'est vous, sombres caveaux, vous qui savez aimer! Ce sont vos froides nefs, vos pavés et vos pierres, Que jamais lèvre en feu n'a baisés sans pâmer.
Pagina 166 - Pourquoi donc, ô Maître suprême, As-tu créé le mal si grand, Que la raison, la vertu même, S'épouvantent en le voyant...
Pagina 155 - Pour vivre et pour sentir, l'homme a besoin des pleurs ; La joie a pour symbole une plante brisée, Humide encor de pluie et couverte de fleurs. Ne te disais-tu pas guéri de ta folie ? N'es-tu pas jeune, heureux, partout le bien-venu, Et ces plaisirs légers qui font aimer la vie, Si tu n'avais pleuré, quel cas en ferais-tu ? Lorsque au déclin du jour, assis sur la bruyère...
Pagina 255 - Ah ! laissez-les couler, elles me sont bien chères, Ces larmes que soulève un cœur encor blessé ! Ne les essuyez pas, laissez sur mes paupières Ce voile du passé ! Je ne viens point jeter un regret inutile Dans l'écho de ces bois témoins de mon bonheur.
Pagina 161 - S'il existe là-haut, ce doit être un désert. Vous les voulez trop purs, les heureux que vous faites, Et quand leur joie arrive, ils en ont trop souffert.
Pagina 99 - Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux, des débris d'amour. Tout ce passé me criait à l'oreille Ses éternels serments d'un jour. Je contemplais ces reliques sacrées, Qui me faisaient trembler la main : Larmes du cœur par le cœur dévorées, Et que les yeux qui les avaient pleurées Ne reconnaîtront plus demain 1 J'enveloppais dans un morceau de bure Ces ruines des jours heureux.
Pagina 163 - Enfin sort des brouillards un rhéteur allemand (*) Qui, du philosophisme achevant la ruine, Déclare le ciel vide, et conclut au néant. Voilà donc les débris de l'humaine science! Et, depuis cinq mille ans qu'on a toujours douté, Après tant de fatigue et de persévérance, C'est là le dernier mot qui nous en est resté!