Ma pensée était indifférente à mes pensées : elle errait , et mes pas la suivaient. Aucun objet n'avait la préférence de mon cœur : il n'était que préparé à la tendresse et à cet amour qui dans la suite me coûta tant de peines et me fit... Revue musicale (Paris : 1827) - Pagina 422geredigeerd door - 1827Volledige weergave - Over dit boek
| 1813 - 98 pagina’s
...amour qui dans la suite me coûta tant de peines et me. fit connaître le bonheur. Mon imagi— nation immobile, pour ainsi dire, par l'absence des passions...venais, je montais , je descendais sur ces, rochers imposants ; le hasard me conduisit dans un vallon auquel je ne fis aucune attention d'abord. Ce ne... | |
| 1798 - 600 pagina’s
...préparé à la tendresse et à cet amour qui dans la suite me coûta tant de peines et me fit connaitre le bonheur. Mon imagination immobile , pour ainsi...montais , je descendais sur ces rochers imposans ; le basard me conduisit dans un vallon auquel je ne fis aucune attention d'abord. Ce ne fut que quelque... | |
| Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne (France) - 1880 - 482 pagina’s
...n'était que préparé à la tendresse et à cet amour qui, dans la » suite, me coûta tant de peine, et me fit connaître le bonheur. » Mon imagination,...» passions, était sans mouvement. « J'allais, je montais, je descendais sur ces rochers imposants : » le hasard me conduisit dans un vallon auquel... | |
| Arthur Pougin - 1888 - 204 pagina’s
...Ma pensée était indifférente à mes pensées : elle errait, et mes pas la suivaient. Aucun objet n'avait la préférence de mon cœur : il n'était...descendais, sur ces rochers imposans; le hasard me conduisit dans un vallon auquel je no fis aucune attention d'abord. Ce ne fut que quelque tems après... | |
| Arthur Pougin - 1888 - 200 pagina’s
...préparé à la tendresse et à cet amour qui dans la suite me coûta tant de peines et me fit connaitre le bonheur. Mon imagination immobile, pour ainsi dire,...descendais, sur ces rochers imposans; le hasard me conduisit dans un vallon auquel je ne fis aucune attention d'abord. Cene fut que queique tems après... | |
| 1798 - 600 pagina’s
...Ma pensée était indifférente à mes pensées : elle errait , et mes pas la suivaient. Aucun objet n'avait la préférence de mon cœur : il n'était...descendais sur ces rochers imposans ; le hasard me conduisit dans un vallon auquel je ne fis aucune attention d'abord. Ce ne fut que quelque tems après... | |
| Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne (France) - 1880 - 1030 pagina’s
...n'était que préparé à la tendresse et à cet amour qui, dans la » suite, me coûta tant de peine, et me fit connaître le bonheur. « Mon imagination,...» passions, était sans mouvement. » J'allais, je montais, je descendais sur ces rochers imposants : » le hasard me conduisit dans un vallon auquel... | |
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