Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour, à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied d'un arbre vint s'asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin;... MacMillan's Magazine - Pagina 390geredigeerd door - 1872Volledige weergave - Over dit boek
 | 1835
...lendemain , Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans , Je marchais un jour, à pas lents , Dans un bois , sur une bruyère. Au pied...détournant à demi , Me montra du doigt la colline. A l'âge où l'on croit à l'Amour, y • J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première... | |
 | Alfred de Musset - 1841 - 436 pagina’s
...s'asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin ; Il tenait un luth d'une main , De l'autre un bouquet...détournant à demi , Me montra du doigt la colline. A l'âge où l'on croit à l'Amour, J'étais seul dans ma chambre un jour , Pleurant ma première misère... | |
 | Alfred de Musset - 1849 - 419 pagina’s
...s'asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin; ll tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine....détournant à demi , Me montra du doigt la colline. A l'âge où l'on croit à l'amour, l'étais seul dans ma chambre un jour , Pleurant ma première misère.... | |
 | Alfred de Musset - 1852 - 298 pagina’s
...Je lui demandai mon chemin ; II tenait un luth d'une main, l)e l'autre un bouquet d'églaiiline. II me fit un salut d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline. A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère.... | |
 | A. Roche - 1853
...frère. Je lui demandai mon chemin ; ll tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. ll me fit un salut d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline. Un an après, il était nuit; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père . Au chevet... | |
 | Alfred de Musset - 1859 - 370 pagina’s
...jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour, à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied...détournant à demi, Me montra du doigt la colline. A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère.... | |
 | L. Pylodet - 1866 - 188 pagina’s
...jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire. Comme j'allais avoir quinze ans, Je marchais un jour, à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied...détournant à demi, Me montra du doigt la colline. Un an après, il était nuit ; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père. Au chevet... | |
 | Alfred de Musset - 1866
...frère. Je lui demandai mon chemin; Il tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantinc. Il me fit un salut d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline. ' A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première... | |
 | Alfred de Musset - 1867 - 356 pagina’s
...ressemblait comme un frère. Je lui demandai mon chemin ; Il tenait un luth d'une main, d'églant'mc. H me fit un salut d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline. A l'âge où l'on croit à l'amoar, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère.... | |
 | Alfred de Musset - 1867
...11. Je lui demandai mou chemin ; II tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églautine II me fit un salut d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline. A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre nu jour, Pleurant ma première misère.... | |
| |