Revue des deux mondes, Volume 4Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1835 |
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... s'est effacé de ma mémoire , et je le répéterai presque mot pour mot CHAPITRE II . Malte . -- Je ne suis rien , dit - il d'abord , et c'est , à présent , un bon- heur pour moi que de penser cela ; mais si j'étais quelque chose , je ...
... s'est effacé de ma mémoire , et je le répéterai presque mot pour mot CHAPITRE II . Malte . -- Je ne suis rien , dit - il d'abord , et c'est , à présent , un bon- heur pour moi que de penser cela ; mais si j'étais quelque chose , je ...
Pagina 16
... s'est glissé dans toute profession , et qu'il n'y a si petit homme qu'il n'ait gonflé . Le nombre est incalculable des grenouilles qui crèvent . — Je désire bien vivement que mon fils n'en soit pas . - Je suis bien aise qu'il m'ait tenu ...
... s'est glissé dans toute profession , et qu'il n'y a si petit homme qu'il n'ait gonflé . Le nombre est incalculable des grenouilles qui crèvent . — Je désire bien vivement que mon fils n'en soit pas . - Je suis bien aise qu'il m'ait tenu ...
Pagina 37
sous leur écume et mon dos s'est un peu voûté déjà sous leur hu- midité . J'ai passé si peu de temps en Angleterre , que je ne la con- nais que par la carte . La patrie est un être idéal que je n'ai fait qu'entrevoir , mais que je sers ...
sous leur écume et mon dos s'est un peu voûté déjà sous leur hu- midité . J'ai passé si peu de temps en Angleterre , que je ne la con- nais que par la carte . La patrie est un être idéal que je n'ai fait qu'entrevoir , mais que je sers ...
Pagina 39
... s'est jamais assise sur mes genoux que lors- qu'elle avait deux ans , et je n'ai tenu Mary dans mes bras que lorsque ses yeux n'étaient pas ouverts encore . Oui , il est juste que vous ayez été indifférent pour votre père et qu'elles le ...
... s'est jamais assise sur mes genoux que lors- qu'elle avait deux ans , et je n'ai tenu Mary dans mes bras que lorsque ses yeux n'étaient pas ouverts encore . Oui , il est juste que vous ayez été indifférent pour votre père et qu'elles le ...
Pagina 65
... s'est fait , nous n'avons rien à dire ; mais vous verrez .... Ensuite il s'assoupit et dormit une demi - heure environ . Après ce temps , une femme vint à la porte timidement , et fit signe que le chirurgien était là ; je sortis sur la ...
... s'est fait , nous n'avons rien à dire ; mais vous verrez .... Ensuite il s'assoupit et dormit une demi - heure environ . Après ce temps , une femme vint à la porte timidement , et fit signe que le chirurgien était là ; je sortis sur la ...
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Revue des deux mondes François Buloz,Charles Buloz,Ferdinand Brunetière,Francis Charmes,René Doumic,André Chaumeix Volledige weergave - 1831 |
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
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Populaire passages
Pagina 563 - A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère. Au coin de mon feu vint s'asseoir Un étranger vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Pagina 360 - S'y cramponner longtemps de leurs mains épuisées Comme au bout d'une branche on voit étinceler Une goutte de pluie où le ciel vient briller, Qu'on secoue avec l'arbre et qui tremble et qui lutte, Perle avant de tomber et fange après sa chute ! La faute en est à nous; à toi, riche!
Pagina 358 - Qui filtres du sommet des sagesses antiques, Et qu'on trouve à mi-côte alors qu'on y gravit, Clair, à l'ombre, épandu sur l'herbe qui revit, Tu me plais, doux poète au flot calme et limpide ! Quand le sentier qui monte aux cimes est rapide, Bien souvent, fatigués du soleil, nous aimons Boire au petit ruisseau tamisé par les monts! Août 183».
Pagina 562 - Du temps que j'étais écolier. Je restais un soir- à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Son visage était triste et beau : A la lueur de mon flambeau, Dans mon livre ouvert il vint lire.
Pagina 55 - m'écriai-je. Et ce que Dieu a mis de paternel dans les entrailles de tout homme s'émut et tressaillit en moi ; je le serrais contre ma poitrine, lorsque je sentis que j'appuyais sur moi la garde de mon sabre qui traversait son cœur et qui avait tué cet ange endormi. Je voulus pencher ma...
Pagina 736 - Confidents du Très-Haut, substances éternelles, Qui brûlez de ses feux, qui couvrez de vos ailes Le trône où votre maître est assis parmi vous, Parlez: du grand Newton n'étiez-vous point jaloux?
Pagina 564 - C'est une étrange vision, Et cependant, ange ou démon, J'ai vu partout cette ombre amie. Lorsque plus tard, las de souffrir. Pour renaître ou pour en finir, J'ai voulu m'exiler de France...
Pagina 567 - J'allais le rendre, et, n'y pouvant pas croire, En pleurant j'en doutais encor. Ah ! faible femme, orgueilleuse insensée, Malgré toi tu t'en souviendras ! Pourquoi, grand Dieu ! mentir à sa pensée ? Pourquoi ces pleurs, cette gorge oppressée, Ces sanglots, si tu n'aimais pas ? Oui, tu languis, tu souffres et tu pleures; Mais ta chimère est entre nous. Eh bien, adieu ! Vous compterez les heures Qui me sépareront de vous. Partez, partez, et dans ce cœur de glace Emportez l'orgueil satisfait....
Pagina 287 - Si vous croyez que je vais dire * Qui j'ose aimer, Je ne saurais, pour un empire, Vous la nommer. Nous allons chanter à la ronde, Si vous voulez, Que je l'adore, et qu'elle est blonde Comme les blés. Je fais ce que sa fantaisie Veut m'ordonner, Et je puis, s'il lui faut ma vie. La lui donner. Du mal qu'une amour ignorée Nous fait souffrir, J'en porte l'âme déchirée, Jusqu'à mourir. Mais j'aime trop pour que je die Qui j'ose aimer, Et je veux mourir pour ma mie, Sans la nommer.
Pagina 568 - Je ne suis ni l'ange gardien, Ni le mauvais destin des hommes. Ceux que j'aime, je ne sais pas De quel côté s'en vont leurs pas Sur ce peu de fange où nous sommes. Je ne suis ni dieu ni démon, Et tu m'as nommé par mon nom Quand tu m'as appelé ton frère ; Où tu vas, j'y serai toujours, Jusques au dernier de tes jours, Où j'irai m'asseoir sur ta pierre. Le ciel m'a confié ton cœur. Quand tu seras dans la douleur, Viens à moi sans inquiétude, Je te suivrai sur le chemin ; Mais je ne puis...