Revue des deux mondes, Volume 4Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1835 |
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... révolution . Les boulevards étaient déserts . Je marchais seul , après minuit , dans toute leur longueur , regardant et écoutant avidement . Le ciel pur étendait sur le sol la blanche lueur de ses étoiles , mais les maisons étaient ...
... révolution . Les boulevards étaient déserts . Je marchais seul , après minuit , dans toute leur longueur , regardant et écoutant avidement . Le ciel pur étendait sur le sol la blanche lueur de ses étoiles , mais les maisons étaient ...
Pagina 59
... révolution même ne m'avait point fait oublier , je réfléchissais seul à l'héroïsme mo- deste et au désintéressement , si rares tous les deux . Je tâchais d'oublier le sang pur qui venait de couler , et je relisais dans l'his- toire d ...
... révolution même ne m'avait point fait oublier , je réfléchissais seul à l'héroïsme mo- deste et au désintéressement , si rares tous les deux . Je tâchais d'oublier le sang pur qui venait de couler , et je relisais dans l'his- toire d ...
Pagina 68
... révolution française ; Benjamin Constant , l'homme de l'esprit , des idées , de l'imagination , rêveur puissant au milieu de ces têtes positives . Le comte de Metternich achevait sa phi- losophie avec l'année 1790 ; ses études furent ...
... révolution française ; Benjamin Constant , l'homme de l'esprit , des idées , de l'imagination , rêveur puissant au milieu de ces têtes positives . Le comte de Metternich achevait sa phi- losophie avec l'année 1790 ; ses études furent ...
Pagina 93
... révolution d'Espagne et les cortès , la proclamation d'un régime plus libéral que celui de l'An- gleterre même ; à Naples , et par un retentissement presque magique , la constitution également proclamée . De Naples le cri de liberté se ...
... révolution d'Espagne et les cortès , la proclamation d'un régime plus libéral que celui de l'An- gleterre même ; à Naples , et par un retentissement presque magique , la constitution également proclamée . De Naples le cri de liberté se ...
Pagina 97
... révolution de juillet . Cet évènement était immense ; jamais l'Europe ne s'était trouvée dans un pareil danger , car quelles idées faisaient irruption ? N'était - ce pas l'esprit des sociétés secrètes , le républicanisme triomphant avec ...
... révolution de juillet . Cet évènement était immense ; jamais l'Europe ne s'était trouvée dans un pareil danger , car quelles idées faisaient irruption ? N'était - ce pas l'esprit des sociétés secrètes , le républicanisme triomphant avec ...
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Revue des deux mondes François Buloz,Charles Buloz,Ferdinand Brunetière,Francis Charmes,René Doumic,André Chaumeix Volledige weergave - 1831 |
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Populaire passages
Pagina 563 - A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère. Au coin de mon feu vint s'asseoir Un étranger vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Pagina 360 - S'y cramponner longtemps de leurs mains épuisées Comme au bout d'une branche on voit étinceler Une goutte de pluie où le ciel vient briller, Qu'on secoue avec l'arbre et qui tremble et qui lutte, Perle avant de tomber et fange après sa chute ! La faute en est à nous; à toi, riche!
Pagina 358 - Qui filtres du sommet des sagesses antiques, Et qu'on trouve à mi-côte alors qu'on y gravit, Clair, à l'ombre, épandu sur l'herbe qui revit, Tu me plais, doux poète au flot calme et limpide ! Quand le sentier qui monte aux cimes est rapide, Bien souvent, fatigués du soleil, nous aimons Boire au petit ruisseau tamisé par les monts! Août 183».
Pagina 562 - Du temps que j'étais écolier. Je restais un soir- à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Son visage était triste et beau : A la lueur de mon flambeau, Dans mon livre ouvert il vint lire.
Pagina 55 - m'écriai-je. Et ce que Dieu a mis de paternel dans les entrailles de tout homme s'émut et tressaillit en moi ; je le serrais contre ma poitrine, lorsque je sentis que j'appuyais sur moi la garde de mon sabre qui traversait son cœur et qui avait tué cet ange endormi. Je voulus pencher ma...
Pagina 736 - Confidents du Très-Haut, substances éternelles, Qui brûlez de ses feux, qui couvrez de vos ailes Le trône où votre maître est assis parmi vous, Parlez: du grand Newton n'étiez-vous point jaloux?
Pagina 564 - C'est une étrange vision, Et cependant, ange ou démon, J'ai vu partout cette ombre amie. Lorsque plus tard, las de souffrir. Pour renaître ou pour en finir, J'ai voulu m'exiler de France...
Pagina 567 - J'allais le rendre, et, n'y pouvant pas croire, En pleurant j'en doutais encor. Ah ! faible femme, orgueilleuse insensée, Malgré toi tu t'en souviendras ! Pourquoi, grand Dieu ! mentir à sa pensée ? Pourquoi ces pleurs, cette gorge oppressée, Ces sanglots, si tu n'aimais pas ? Oui, tu languis, tu souffres et tu pleures; Mais ta chimère est entre nous. Eh bien, adieu ! Vous compterez les heures Qui me sépareront de vous. Partez, partez, et dans ce cœur de glace Emportez l'orgueil satisfait....
Pagina 287 - Si vous croyez que je vais dire * Qui j'ose aimer, Je ne saurais, pour un empire, Vous la nommer. Nous allons chanter à la ronde, Si vous voulez, Que je l'adore, et qu'elle est blonde Comme les blés. Je fais ce que sa fantaisie Veut m'ordonner, Et je puis, s'il lui faut ma vie. La lui donner. Du mal qu'une amour ignorée Nous fait souffrir, J'en porte l'âme déchirée, Jusqu'à mourir. Mais j'aime trop pour que je die Qui j'ose aimer, Et je veux mourir pour ma mie, Sans la nommer.
Pagina 568 - Je ne suis ni l'ange gardien, Ni le mauvais destin des hommes. Ceux que j'aime, je ne sais pas De quel côté s'en vont leurs pas Sur ce peu de fange où nous sommes. Je ne suis ni dieu ni démon, Et tu m'as nommé par mon nom Quand tu m'as appelé ton frère ; Où tu vas, j'y serai toujours, Jusques au dernier de tes jours, Où j'irai m'asseoir sur ta pierre. Le ciel m'a confié ton cœur. Quand tu seras dans la douleur, Viens à moi sans inquiétude, Je te suivrai sur le chemin ; Mais je ne puis...