Revue des deux mondes, Volume 4Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1835 |
Vanuit het boek
Resultaten 1-5 van 100
Pagina 8
... peine et détour- naient tout propos trop direct et prêt à toucher le point saignant de leur cœur . On ne les voyait jamais cherchant à se faire remar- quer dans les salons par une tragique attitude ; et si quelque jeune femme , au ...
... peine et détour- naient tout propos trop direct et prêt à toucher le point saignant de leur cœur . On ne les voyait jamais cherchant à se faire remar- quer dans les salons par une tragique attitude ; et si quelque jeune femme , au ...
Pagina 13
... peine , parce qu'il vivait à l'armée éternellement . Je crus éprouver l'effroi de Moïse berger , voyant Dieu dans le buis- son . Bonaparte m'avait soulevé libre , et quand ses bras me re- descendirent doucement sur le pont , ils y ...
... peine , parce qu'il vivait à l'armée éternellement . Je crus éprouver l'effroi de Moïse berger , voyant Dieu dans le buis- son . Bonaparte m'avait soulevé libre , et quand ses bras me re- descendirent doucement sur le pont , ils y ...
Pagina 22
... peine à le suivre , et le poste n'avait pas le temps de prendre les armes , qu'il était déjà descendu de cheval et montait l'escalier . Cette fois j'entendis ses talons résonner en même temps que le tambour . J'eus le temps à peine de ...
... peine à le suivre , et le poste n'avait pas le temps de prendre les armes , qu'il était déjà descendu de cheval et montait l'escalier . Cette fois j'entendis ses talons résonner en même temps que le tambour . J'eus le temps à peine de ...
Pagina 32
... peine que je ne m'y fusse attendu , si l'on m'eût annoncé ce voyage avant la scène de Fontainebleau . Je res- pirai en m'éloignant de ce vieux château et de sa forêt , et à ce soulagement involontaire je sentis que mon séidisme était ...
... peine que je ne m'y fusse attendu , si l'on m'eût annoncé ce voyage avant la scène de Fontainebleau . Je res- pirai en m'éloignant de ce vieux château et de sa forêt , et à ce soulagement involontaire je sentis que mon séidisme était ...
Pagina 39
... peine vu à Malte , une fois . - Voilà le vrai ! cria - t - il . Voilà le cruel , mon ami ! Mes deux filles diront un jour comme cela . Elle diront : Nous ne connaissons pas notre père ! Sarah et Mary diront cela ! et cependant je les ...
... peine vu à Malte , une fois . - Voilà le vrai ! cria - t - il . Voilà le cruel , mon ami ! Mes deux filles diront un jour comme cela . Elle diront : Nous ne connaissons pas notre père ! Sarah et Mary diront cela ! et cependant je les ...
Overige edities - Alles bekijken
Revue des deux mondes François Buloz,Charles Buloz,Ferdinand Brunetière,Francis Charmes,René Doumic,André Chaumeix Volledige weergave - 1831 |
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
anglais assez avaient Bayle beau belle breton Broglie c'était cabinet chambre chants chose CLAVAROCHE cœur comte de Bubna coup crapaud Dessauer devant Dieu dire dit-il don Juan doute enfans Espagne eût évènemens faisait femme Ferdinand Ferdinand VII FORTUNIO génie gloire gouvernement grace Grèce grenouilles guerre Guizot Hieronimo homme idées j'ai JACQUELINE Jahoua jamais jeune jour l'Angleterre l'Autriche l'empereur l'Espagne l'Europe l'histoire l'homme Laffitte laisser LANDRY livre long-temps lougre main MAÎTRE ANDRÉ ment Metternich ministre monde mort n'avait n'était Napoléon Normands Paimpol Palerme parler paroles passé pauvre pays pensée peuple philosophie pieds Pindare pluie poésie poète politique Pologne porte pouvait pragmatique sanction première prince Prusse puissance qu'un question raison regard reste révolution révolution de juillet rien Russie s'était s'il sais semble sentiment serait seul Sicile siècle soir sorte système Talleyrand terre tête Thiers Thomas Young tion tomber traité trouve Uhland vérité voilà voix vrai yeux Young
Populaire passages
Pagina 563 - A l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère. Au coin de mon feu vint s'asseoir Un étranger vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Pagina 360 - S'y cramponner longtemps de leurs mains épuisées Comme au bout d'une branche on voit étinceler Une goutte de pluie où le ciel vient briller, Qu'on secoue avec l'arbre et qui tremble et qui lutte, Perle avant de tomber et fange après sa chute ! La faute en est à nous; à toi, riche!
Pagina 358 - Qui filtres du sommet des sagesses antiques, Et qu'on trouve à mi-côte alors qu'on y gravit, Clair, à l'ombre, épandu sur l'herbe qui revit, Tu me plais, doux poète au flot calme et limpide ! Quand le sentier qui monte aux cimes est rapide, Bien souvent, fatigués du soleil, nous aimons Boire au petit ruisseau tamisé par les monts! Août 183».
Pagina 562 - Du temps que j'étais écolier. Je restais un soir- à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Son visage était triste et beau : A la lueur de mon flambeau, Dans mon livre ouvert il vint lire.
Pagina 55 - m'écriai-je. Et ce que Dieu a mis de paternel dans les entrailles de tout homme s'émut et tressaillit en moi ; je le serrais contre ma poitrine, lorsque je sentis que j'appuyais sur moi la garde de mon sabre qui traversait son cœur et qui avait tué cet ange endormi. Je voulus pencher ma...
Pagina 736 - Confidents du Très-Haut, substances éternelles, Qui brûlez de ses feux, qui couvrez de vos ailes Le trône où votre maître est assis parmi vous, Parlez: du grand Newton n'étiez-vous point jaloux?
Pagina 564 - C'est une étrange vision, Et cependant, ange ou démon, J'ai vu partout cette ombre amie. Lorsque plus tard, las de souffrir. Pour renaître ou pour en finir, J'ai voulu m'exiler de France...
Pagina 567 - J'allais le rendre, et, n'y pouvant pas croire, En pleurant j'en doutais encor. Ah ! faible femme, orgueilleuse insensée, Malgré toi tu t'en souviendras ! Pourquoi, grand Dieu ! mentir à sa pensée ? Pourquoi ces pleurs, cette gorge oppressée, Ces sanglots, si tu n'aimais pas ? Oui, tu languis, tu souffres et tu pleures; Mais ta chimère est entre nous. Eh bien, adieu ! Vous compterez les heures Qui me sépareront de vous. Partez, partez, et dans ce cœur de glace Emportez l'orgueil satisfait....
Pagina 287 - Si vous croyez que je vais dire * Qui j'ose aimer, Je ne saurais, pour un empire, Vous la nommer. Nous allons chanter à la ronde, Si vous voulez, Que je l'adore, et qu'elle est blonde Comme les blés. Je fais ce que sa fantaisie Veut m'ordonner, Et je puis, s'il lui faut ma vie. La lui donner. Du mal qu'une amour ignorée Nous fait souffrir, J'en porte l'âme déchirée, Jusqu'à mourir. Mais j'aime trop pour que je die Qui j'ose aimer, Et je veux mourir pour ma mie, Sans la nommer.
Pagina 568 - Je ne suis ni l'ange gardien, Ni le mauvais destin des hommes. Ceux que j'aime, je ne sais pas De quel côté s'en vont leurs pas Sur ce peu de fange où nous sommes. Je ne suis ni dieu ni démon, Et tu m'as nommé par mon nom Quand tu m'as appelé ton frère ; Où tu vas, j'y serai toujours, Jusques au dernier de tes jours, Où j'irai m'asseoir sur ta pierre. Le ciel m'a confié ton cœur. Quand tu seras dans la douleur, Viens à moi sans inquiétude, Je te suivrai sur le chemin ; Mais je ne puis...