Chefs-d'oeuvre oratoires de Fléchier, Bourdaloue: Petit carême de MassillonFurne, 1853 - 478 pagina's |
Overige edities - Alles bekijken
Chefs-d'OEuvre Oratoires de Fléchier, Bourdaloue: Petit Carême de Massillon ... Esprit Fléchier Geen voorbeeld beschikbaar - 2018 |
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
âme avez charité chers auditeurs choses chré chrétiens ciel cœur consolation crime désordre devant Dieu devoirs digne dire divin doit donner enfants ennemis espérances esprit état éternel êtes Évangile faiblesse fidèle Fléchier fortune frères gloire glorieux grandeur heureux hommes humaines IBID Israël jamais Jésus-Christ jours juge juste justice l'adulation l'Église l'Évangile l'homme l'oraison l'orgueil laisse lui-même majesté malheur Massillon MATTH ment mérite miracle miséricorde mœurs monde mône mort mourir nation Nolite nous-mêmes ô mon Dieu pables pardon parle paroles passe passions pauvres péché pécheurs pénitence pensée pères peuples pharisiens piété plaisirs presque prière princes prodige prospérités providence publics puissance qu'un raison regarde règle règne religion reste reux rien rois rois de Juda royaume s'il sage sagesse saint Ambroise saint Augustin saint Paul salut sang Saül secret Seigneur sentiments Septfonds sera seul siècle Sire souvent souverain sujets terre Tour-d'Auvergne triste trône trouve vanité vérité vertu vice victoires voilà yeux zèle
Populaire passages
Pagina 11 - Arthénice, où se rendaient tant de personnes de qualité et de mérite qui composaient une cour choisie, nombreuse sans confusion, modeste sans contrainte, savante sans orgueil, polie sans affectation.
Pagina 35 - Ils furent quelque temps saisis, muets, immobiles. Un effort de douleur rompant enfin ce long et morne silence, d'une voix entrecoupée de sanglots que formaient dans...
Pagina 57 - Turenne meurt : tout se confond, la fortune chancelle, la victoire se lasse, la paix s'éloigne, les bonnes intentions des alliés se ralentissent, le courage des troupes est abattu par la douleur et ranimé par la vengeance; tout le camp demeure immobile.
Pagina 456 - Retranchez ces quatre sortes de pécheurs de cette assemblée sainte, car ils en seront retranchés au grand jour. Paraissez, maintenant, justes; où êtes-vous?
Pagina 56 - Déjà frémissait dans son camp l'ennemi confus et déconcerté. Déjà prenait l'essor pour se sauver dans les montagnes cet aigle, dont le vol hardi avait d'abord effrayé nos provinces.
Pagina 34 - Je ne puis , messieurs, vous donner d'abord une plus haute idée du triste sujet dont je viens vous entretenir, qu'en recueillant ces termes nobles et expressifs dont l'Écriture sainte se sert pour louer la vie et pour déplorer la mort du sage et vaillant Machabée " : cet homme , qui portait la gloire de sa nation jusqu'aux extrémités de la terre ; qui couvrait son camp du bouclier , et...
Pagina 455 - Et c'est pour cela que je m'arrête à vous , mes Frères , qui êtes ici assemblés. Je ne parle plus du reste des hommes; je vous regarde comme si vous étiez seuls sur la terre; et voici la pensée qui m'occupe et qui m'épouvante. Je suppose que c'est ici votre dernière heure et la fin de l'univers...
Pagina 365 - Le royaume devint ensuite l'héritage de leurs successeurs, mais ils le dûrent originairement AU CONSENTEMENT LIBRE DES SUJETS. Leur naissance seule les mit ensuite en possession du trône, mais ce furent les SUFFRAGES PUBLICS qui attachèrent d'abord ce droit et cette prérogative à leur naissance. En un mot, comme la première source de leur autorité vient de nous , les rois n'en doivent faire usage que pour nous.
Pagina 57 - Chacun choisit l'endroit qui lui paraît le plus éclatant dans une si belle vie. Tous entreprennent son éloge; et chacun, s'interrompant lui-même par ses soupirs et par ses larmes , admire le passé , regrette le présent, et tremble pour l'avenir. Ainsi tout le royaume pleure la mort de son défenseur; et la perte d'un homme seul est une calamité publique.
Pagina 55 - Les prospérités militaires laissent dans l'âme je ne sais quel plaisir touchant, qui la remplit et l'occupe tout entière. On s'attribue une supériorité de puissance et de force ; I Combat et Ënubeim. on se couronne de ses propres mains; on se dresse un triomphe secret à soi-même; on regarde comme son propre bien ces lauriers qu'on cueille avec peine, et qu'on arrose souvent de son sang : et lors même qu'on rend à Dieu de solennelles actions de grâces, et qu'on pend aux voûtes sacrées...