Un mélange étonnant de la nature sauvage et de la nature cultivée montrait partout la main des hommes, où l'on eût cru qu'ils n'avaient jamais pénétré: à côté d'une caverne on trouvait des maisons; on voyait des pampres secs où l'on n'eût... Julie, ou La nouvelle Héloïse - Pagina 105door Jean-Jacques Rousseau - 1819Volledige weergave - Over dit boek
| Petit-Radel (M., Phillipe) - 1815 - 414 pagina’s
...un mélange étonnant , dit JJ Rousseau , de la nature sauvage et de la nature cultivée , y montre partout la main des hommes où l'on eût cru qu'ils n'avaient jamais pénétré. A côté d'une caverne on trouve des maisons ; on voit des pampres où l'on n'eût cherché que des... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 678 pagina’s
...cru qu'ils n'avoient jamais pénétré : à côté d'une caverne on trouvoit des maisons ; on voyoit des pampres secs où l'on n'eût cherché que des ronces , des vignes dans des terres éboulées, d'excellents fruits sur des rochers, et des champs dans des précipices. Ce n'étoit... | |
| Ch. Max. de BELLECOUR - 1819 - 524 pagina’s
...quelquefois, en sortant d'un gouffre, "une agréable prairie réjouissait tout à coup mes regards. Un mélange étonnant de la nature- sauvage et de la...l'on eût cru qu'ils n'avaient jamais pénétré. A côté d'une caverne, on trouvait des maisons ; on voyait des pampres secs, où l'on n'eût cherché... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 680 pagina’s
...cru qu'ils n'avoient jamais pénétré : à côté d'une caverne on trouvoit des maisons ; on voyoit des pampres secs où l'on n'eût cherché que des ronces, des vignes dans des terres éboulées, d'excellens fruits sur des rochers , et des champs dans des précipices. Ce n'étoit... | |
| 1821 - 480 pagina’s
...Quelquefois en sortant d'un gouffre une agréable prairie téjouissoit tout à coup mes regards. Un mélange étonnant de la nature sauvage et de la nature...partout la main des hommes où l'on eût cru qu'ils n'avoient jamais pénétré ; à côté d'une caverne ou trouvoit des maisons, on voyoit des pampres... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1823 - 634 pagina’s
...Quelquefois, en sortant d'un gouffre, une agréable prairie réjouissait tout-à-coup mes regards. JJn mélange étonnant de la nature sauvage et de la nature...n'eût cherché que des ronces, des vignes dans des terres éboidées, d'excellents fruits sur des rochers, et des champs dans des précipices. Ce n'était... | |
| Louis Levade - 1824 - 468 pagina’s
...d'un goullre, une agréable prairie réjouissait tout-à-coup mes regards, ^u méninge étonnant tic la nature sauvage et de la nature cultivée , montrait...où l'on eût cru qu'ils n'avaient jamais pénétré : a côté d'une caverne on trouvait des maisons ; on voyait des pampres où l'on n'eut cherché que... | |
| Louis Levade - 1824 - 472 pagina’s
...1» nature sauvage et «le la nature cultivée, montrait par-tuut la niiiiu îles domines, où Ion eût cru qu'ils n'avaient jamais pénétré : à côté...caverne on trouvait des maisons ; on voyait des pampres- où l'on n'eut cherche que des ronces; des vignes dans des terres éboulées, d'excellens fruits sur... | |
| G. Plisson - 1826 - 238 pagina’s
...de la nature sauvage et de la nature c 2 cultivée montrait partout la main des hommes, ou l'on eut cru qu'ils n'avaient jamais pénétré ; à côté...d'une caverne on trouvait des maisons ; on voyait des pampressecs où l'on n'eût cherché que des ronces, des vignes dans des terres éboulées, d'excellens... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1826 - 598 pagina’s
...cru qu'ils n'avoient jamais pénétré : à côté d'une caverne on trou voit des maisons ; on voyoit des pampres secs où l'on n'eût cherché que des ronces, des vignes dans des terres éboulées, d'excellents fruits sur des rochers, et des champs dans des précipices. Ce n'étoit... | |
| |