Recueil de poésies à l'usage de la jeunesse américaineH. Holt, 1882 - 186 pagina's |
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... seul , sans but , au hasard ; D'un sourire , d'un mot , d'un soupir , d'un regard , Faire un travail exquis , plein de crainte et de charme , Faire une perle d'une larme : Du poète ici - bas voilà la passion , Voilà son bien , sa vie et ...
... seul , sans but , au hasard ; D'un sourire , d'un mot , d'un soupir , d'un regard , Faire un travail exquis , plein de crainte et de charme , Faire une perle d'une larme : Du poète ici - bas voilà la passion , Voilà son bien , sa vie et ...
Pagina 9
... le plus léger mal de tête , Au poids de l'or je suis traité ; J'entretiens seul la faculté , Adieu , santé ! Hier , trois docteurs m'ont visité . . . Adieu , santé ! Ma fortune est faitę , 9 ΙΟ VANITÉ Des grandeURS D'ICI - BAS . Mais je.
... le plus léger mal de tête , Au poids de l'or je suis traité ; J'entretiens seul la faculté , Adieu , santé ! Hier , trois docteurs m'ont visité . . . Adieu , santé ! Ma fortune est faitę , 9 ΙΟ VANITÉ Des grandeURS D'ICI - BAS . Mais je.
Pagina 11
... veille ; Retraite où j'habite avec moi , Seul , sans désirs et sans emploi , Libre de crainte et d'espérance ; Enfin après trois jours d'absence , Je viens , j'accours , je t'aperçoi ! 12 L'OISEAU À LA FENÊTRE . O mon lit !
... veille ; Retraite où j'habite avec moi , Seul , sans désirs et sans emploi , Libre de crainte et d'espérance ; Enfin après trois jours d'absence , Je viens , j'accours , je t'aperçoi ! 12 L'OISEAU À LA FENÊTRE . O mon lit !
Pagina 30
... seul amour et prit ta vie entière ; Soixante ans tu courus une triple carrière Sans reposer ton cœur sur un cœur attendri . Pauvre Buonarotti ! ton seul bonheur au monde Fut d'imprimer au marbre une grandeur pro- fonde , Et , puissant ...
... seul amour et prit ta vie entière ; Soixante ans tu courus une triple carrière Sans reposer ton cœur sur un cœur attendri . Pauvre Buonarotti ! ton seul bonheur au monde Fut d'imprimer au marbre une grandeur pro- fonde , Et , puissant ...
Pagina 33
... seul que de biens ! A son large festin que d'amis se récrient ! Ce riche est bien heureux , ses enfants lui sou- rient ! Rien que dans leurs jouets que de pain pour les miens ! " 34 POUR LES PAUVRES . Et puis à votre fête Le Pain de l ...
... seul que de biens ! A son large festin que d'amis se récrient ! Ce riche est bien heureux , ses enfants lui sou- rient ! Rien que dans leurs jouets que de pain pour les miens ! " 34 POUR LES PAUVRES . Et puis à votre fête Le Pain de l ...
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Adieu adieu mélancolique adorée ALEXANDRE Soumet ALPHONSE DE LAMARTINE âme amour ange AUGUSTA COUPEY beau trépas BÉRANGER bercé berceau blanchit la voile bois brille bruit CHANSON chant Chapeau bas charmant Châtelaine Vendéenne ciel cieux cœur cris perdus Dieu donne un beau Dormez Douce doux encens étoile faim faisons-lui la charité fête fils me fermera fleurs flocon d'or frère front Gloire au marquis hélas heureux HIRONDELLES j'ai j'aime jeune joie JOSEPH AUTRAN joyeux l'ange l'aurore l'enfant l'étoile Du marin l'oiseau l'onde LOUISE COLET lueur blanchit main d'un fils maison sans enfants maman MARIE STUART marquis de Carabas matin mort nuit oiseaux pain parlez-vous passé passereau patrie Pauvre soldat PETIT BOUTON petite maison PETITS ORPHELINS PICCIOLA pleurs prière printemps pure Rayon d'espoir Rayon serein rêve rivage rois Rose Salut seul sœur soir soleil sombre souffle sourire t'aime terre tombeau tremblant triste vallon VICTOR HUGO viens avec moi vieux vois
Populaire passages
Pagina 28 - Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille. En achevant ces mots épouvantables, Son Ombre vers mon lit a paru se baisser. Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser. Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Pagina 170 - O lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Pagina 172 - Qui pendent sur tes eaux! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Pagina 159 - Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Pagina 83 - Qu'un stoïque aux yeux secs vole embrasser la mort: Moi je pleure et j'espère. Au noir souffle du nord Je plie et relève ma tête. S'il est des jours amers, il en est de si doux!
Pagina 171 - O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! " Assez de malheureux ici-bas vous implorent : Coulez, coulez pour eux ; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux.
Pagina 94 - Car, au nom des dieux, je vous prie, Quel fruit de ce labeur pouvez-vous recueillir? Autant qu'un patriarche il vous faudrait vieillir. A quoi bon charger votre vie Des soins d'un avenir qui n'est pas fait pour vous? Ne songez désormais qu'à vos erreurs passées: Quittez le long espoir et les vastes pensées; Tout cela ne convient qu'à nous.
Pagina 84 - S'éveillait, écoutant ces plaintes, cette voix, Ces vœux d'une jeune captive ; Et secouant le joug de mes jours languissants, Aux douces lois des vers je pliais les accents De sa bouche aimable et naïve. Ces chants, de ma prison témoins harmonieux, Feront à quelque amant des loisirs studieux Chercher quelle fut cette belle...
Pagina 84 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine, Au banquet de la vie, à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Pagina 10 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer.