 | Jean-Jacques Rousseau - 1793 - 352 pagina’s
...fensuel. Il femble qu'en s'élevant au-dessus du féjour des hommes, on y laisse tous l06 fentimens bas et terrestres , et qu'à mesure qu'on approche...chose de leur inaltérable pureté. On y est grave fans mélancolie , paisible fans indolence , content d'être et de penser : tous les désirs trop vifs... | |
 | Etienne François de Lantier - 1803 - 492 pagina’s
...proportionné aux objets qui rtous frappent ; je ne sais quelle volupté tranquille , qui n'a rien d'âcre ni de sensuel : il semble qu'en s'élevant au-dessus du séjour des hommes , on y laisse tous les sentimens bas et terrestres , et qu'à mesure qu'on approche des régions élherées, l'ame contracte... | |
 | 1810 - 402 pagina’s
...aux objets qui » nous frappent ; je ne sais quelle volupté tranquille •-•- qui n'a rien d'acre et de sensuel. Il semble qu'en » s'élevant au-dessus du séjour des hommes, on y laisse » tous les sentimens bas et terrestres Je doute qu'au« cune agitation violente pût tenir contre un pareil »... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1806 - 348 pagina’s
...proportionné aux objets qui nous frappent , je ne sais quelle volupté tranquille qui n'a rien d'acre et de sensuel. Il semble qu'en s'élevant audessus du séjour des hommes , on y laisse tous les ,sentimens bas et terrestres ; qu'à mesure qu'on approche des régions éthérées, l'ame contracte... | |
 | 1806 - 640 pagina’s
...proportionné aux objets » qui nous frappent ; je ne sais quelle volupté tran» quille qui n'a rien d'acre et de sensuel. Il semble » qu'en s'élevant au-dessus du séjour des hommes , » on y laisse tous les sentimens bas et terrestres » Je doute qu'aucune agitation violente pût tenir » contre un pareil... | |
 | 1810 - 390 pagina’s
...proportionné aux objets qui ,*Tious frappent ; je ne sais quelle volupté tranquille ,yqui n'a rien d'acre et de sensuel. Il semble qu'en >, s'élevant au-dessus du séjour des hommes, on y laisse » tous les sentimens bas et terrestres..... Je dputç qu'aù» cune agitation violente pût tenir contre un pareil... | |
 | François-Claude Turlot - 1810 - 460 pagina’s
...proportionné aux objets qui nous frappent , je ne sais quelle volupté tranquille qui n'a rien d'acre ni de sensuel ; il semble qu'en s'élevant au-dessus du séjour des hommes, on y laisse ions les semimeus bas et terrestres , et qu'à mesure qu'on approche des ré- , gions éthérées ,... | |
 | François Claude Turlot - 1810 - 590 pagina’s
...qui nôu$ frappent , je qe sais quelle volupté .tranquille qui n'a' rien d'âcre ni île seuMiel ; il semble qu'en .s'élevant au.dessus du séjour des hommes, on y laisse (ous les seniimens lias et terrestres , et qu'à mesure qu'on approche des régions éthérées , l'ame... | |
 | John Playfair - 1815 - 678 pagina’s
...prennent je ne sais quel caractère grand et sublime, proportionné aux objets qui nous frappent, |e ne sais quelle volupté tranquille qui n'a rien d'âcre...au-dessus du séjour des hommes on y laisse tous les srntimens bas et terrestres, et qu'à mesure qu'on approche des régions éthérécs . l'âme contracte... | |
 | John Playfair - 1815 - 714 pagina’s
...proportionné aux objets qui nous frappent , je no sais quelle volupté tranquille qui n'a rien d'acre et de sensuel. Il semble qu'en s'élevant au-dessus du séjour des hommes on y laisse tous les sentimens bas et terrestres , et qu'ù mesure qu'on approche des régions éthérées , l'âme contracte... | |
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Les méditations y prennent je ne sais quel caractère grand et sublime, proportionné aux objets qui nous frappent, je ne sais quelle volupté tranquille qui n'a rien d'âcre et de sensuel. Il semble qu'en s'élevant au-dessus du séjour des hommes,... 
