Ferréol, ou Les passions vaincues par la religion

Couverture
Mame, 1841 - 311 pages
 

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 82 - Chàteaubriant, avait déjà deux fils en 1495; sa femme était Françoise de Rieux, appartenant , comme lui, à une des plus anciennes et des plus nobles familles de la duché de Bretagne. Jean de Laval, parent de la reine Anne, du chef de sa mère, fut envoyé à la cour de France dès l'âge de quatorze ans, pour y faire son apprentissage de gentilhomme, en s'exerçant à bien dire et à bien faire...
Page 118 - Parce qu'ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs vains raisonnements, et leur cœur insensé a été rempli de ténèbres.
Page 102 - Et moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent ; et priez pour ceux qui vous persécutent et qui vous calomnient ; 45.
Page 43 - ... une force extraordinaire. En vain la pauvre Marie l'appelait en pleurant par les noms les plus doux , rien ne pouvait le calmer. Enfin sa mère , qu'on avait instruite de ce qui se passait , vint le trouver avec la bonne Marguerite , sa fille aînée. A leur vue, la fureur de Ferréol s'apaisa ; il se jeta dans les bras de sa mère en pleurant à chaudes larmes. « 0 ma mère! si vous saviez combien j'ai souffert!.... être puni sans l'avoir mérité ! répétait-il sans cesse. Mais vous , vous...
Page 270 - Les jours de l'homme sont comme l'herbe, « sa fleur est comme celle des champs; un souffle « a passé , et la fleur est tombée , et la terre qui « l'a portée ne la reconnaîtra plus. « Mais la miséricorde du Seigneur sur ceux qui « le craignent est de l'éternité à l'éternité.
Page 118 - Car les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, sont devenues visibles depuis la création du monde, par la connaissance que ses créatures nous en donnent; et ainsi ces personnes sont inexcusables : 21.
Page 119 - Puis, invoquant déjà le fait à l'appui de sa parole, le grand Apôtre s'écriait : — « Que sont devenus les sages? « que sont devenus les docteurs? que sont devenus les « beaux esprits de ce siècle? Dieu n'at-il pas affoli la sa...
Page 25 - ... où il s'était souvent attiré des punitions de la part de ses maîtres , ou de mauvais traitements de la part de ceux qu'il avait rendus victimes de ses méchancetés. Tels étaient les principaux personnages que nous retrouverons plus d'une fois dans le cours de cette histoire , et que les circonstances dont nous venons de parler avaient réunis à la ferme du père Darnay. Les fêtes devaient durer quatre jours, en l'honneur des quatre mariages ; les deux premières journées devaient se...
Page 158 - Verney , que j'aurai passé plus d'une semaine hors de ma paroisse. — Il a fallu sans doute, reprit M. Trébuchet , un puissant motif pour vous déterminer à rompre ainsi toutes vos habitudes. — Sans doute , car il s'agit de terminer ou plutôt d'empêcher un procès qui menace de diviser plusieurs membres de ma famille , et dans lequel on m'a impliqué, je ne sais trop comment. — Ah ! vous avez un procès? vous devriez me charger de cela, M.
Page 75 - Je m'en charge pendant huit jours , et plus s'il le faut, répondit Bolard. — Messieurs , dit Darnay , nous sommes ici huit chefs de famille , l'offre de notre ami Bolard me suggère une idée. Le pauvre Olivier ne pourra pas travailler d'ici plusieurs mois , que chacun de nous se charge, pendant quinze jours, de nourrir sa famille ; durant ce temps-là le père sera probablement rétabli , et nous aurons sauvé ces malheureux de la ruine et de la misère. » La proposition de D°.nay fut accueillie...

Informations bibliographiques