| İbrahim Fehim - 1890 - 126 pagina’s
...interrompus de la hulotte ; mais, au loin, par intervalles, on entendait les roulements solennels de la chute du Niagara qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en disert, et expiraient à travers les forêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie du tableau,... | |
| Antonio Scoppa - 1812 - 610 pagina’s
...mais au loin, par intervalles, on entendait les roulemen» solennels de la cataracte de INiagara , qui , dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les foxêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie "de ce tabîeatt, ne sauraient s'exprimer... | |
| Timothy Flint - 1828 - 828 pagina’s
...la hulotte; mais au loin, par intervalles, on entendait les roulemens solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient...de désert en désert, et expiraient à travers les forets solitaires. ' La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans... | |
| 1834 - 632 pagina’s
...la hulotte ; mais au loin, par intervalles, on entendait les roulemens solemnels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient...désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. ne peuvent en donner une idée. En vain, dans nos champe culi ¡té*, l'imagination cherche à s'étendre;... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 470 pagina’s
...le passage d'un vent subit, le gémissement de la hulotte ; au loin, par intervalles, on.entendoit les sourds mugissements de la cataracte du Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1835 - 460 pagina’s
...le passage d'un vent subit, le gémissement de la hulotte ; au loin, par intervalles, on entendoit les sourds mugissements de la cataracte du Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 336 pagina’s
...les roulements solennels de la cataracte de Niagara , qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert , et expiraient à travers les...grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau , ne sauroient s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 390 pagina’s
...le passage d'un vent subit, le gémissement de la hulotte ; au loin, par intervalles, on entendoit les sourds mugissements de la cataracte du Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur,... | |
| French authors - 1839 - 512 pagina’s
...la hulotte*; mais au loin, par intervalles, on entendait les roulements solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient...désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. s'étendre ; elle rencontre de toutes parts les habitations des hommes ; mais, dans ces pays déserts,... | |
| Adolphe Mazure - 1839 - 320 pagina’s
...la hulotte; mais au loin , par intervalle , on entendait les roulements solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient..., et expiraient à travers les forêts solitaires (1)... La cataracte de Niagara est formée par la rivière de ce nom , qui sort du lac Eiié , et se... | |
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