Oeuvres complètes de J.J. Rousseau: CorrespondanceChez T. Lejeune, 1828 |
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... j'étois né catholique , je de- meurerois catholique , sachant bien que votre Église met un frein très - salutaire aux écarts de la raison humaine , qui ne trouve ni fond ni rive quand elle veut sonder l'abîme des choses ; et je suis si ...
... j'étois né catholique , je de- meurerois catholique , sachant bien que votre Église met un frein très - salutaire aux écarts de la raison humaine , qui ne trouve ni fond ni rive quand elle veut sonder l'abîme des choses ; et je suis si ...
Pagina 29
... j'étois affligé , délaissé , malade : il me con- soła de tout ; qui me consolera de lui ? Les amis que j'avois avant de le perdre ; car mon cœur , usé par les maux , et déjà durci par les ans est fermé désormais à tout nouvel ...
... j'étois affligé , délaissé , malade : il me con- soła de tout ; qui me consolera de lui ? Les amis que j'avois avant de le perdre ; car mon cœur , usé par les maux , et déjà durci par les ans est fermé désormais à tout nouvel ...
Pagina 30
... J'étois né foible , les mauvais traite- ments m'ont fortifié : à force de vouloir m'avilir , on m'a rendu fier . Vous avez la bonté , madame , de vouloir des dé- tails sur ce qui me regarde . Que vous dirai - je ? rien n'est plus uni ...
... J'étois né foible , les mauvais traite- ments m'ont fortifié : à force de vouloir m'avilir , on m'a rendu fier . Vous avez la bonté , madame , de vouloir des dé- tails sur ce qui me regarde . Que vous dirai - je ? rien n'est plus uni ...
Pagina 36
... j'étois sur son sort . Je suis charmé , mais non surpris , de ce que vous me marquez de la part de M. Abauzit . Cet homme vénérable est trop éclairé pour ne pas voir mes in- tentions , et trop vertueux pour ne pas les approu- ver . Je ...
... j'étois sur son sort . Je suis charmé , mais non surpris , de ce que vous me marquez de la part de M. Abauzit . Cet homme vénérable est trop éclairé pour ne pas voir mes in- tentions , et trop vertueux pour ne pas les approu- ver . Je ...
Pagina 40
... j'étois bien éloigné , monsieur , de songer à rien qui eût le moindre rapport au parlement de Paris . J'ai pour cet illustre corps les mêmes senti- ments qu'avant ma disgrâce , et je rends toujours la même justice à ses membres , quoiqu ...
... j'étois bien éloigné , monsieur , de songer à rien qui eût le moindre rapport au parlement de Paris . J'ai pour cet illustre corps les mêmes senti- ments qu'avant ma disgrâce , et je rends toujours la même justice à ses membres , quoiqu ...
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