Les chefs-d'oeuvre lyriques de Alfred de MussetA. Perche, 1907 - 127 pagina's |
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... vieux classiques , ravissent les jeunes gens et valent au poète le suffrage qu'il souhaite le plus , celui des femmes ! Ces poèmes , extravagants presque toujours , voluptueux souvent , tendres quelquefois , sont l'image exacte de la ...
... vieux classiques , ravissent les jeunes gens et valent au poète le suffrage qu'il souhaite le plus , celui des femmes ! Ces poèmes , extravagants presque toujours , voluptueux souvent , tendres quelquefois , sont l'image exacte de la ...
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... vieux et froid à vingt ans , Laissant les guêpes mordre aux fleurs de mon printemps , Laissant la lèvre pâle et fétide des vices Effeuiller leur corolle et pomper leurs calices , Méprisant mes amours et les montrant au doigt , Comme un ...
... vieux et froid à vingt ans , Laissant les guêpes mordre aux fleurs de mon printemps , Laissant la lèvre pâle et fétide des vices Effeuiller leur corolle et pomper leurs calices , Méprisant mes amours et les montrant au doigt , Comme un ...
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... vieux avant l'âge , écrasé par le poids de ses chagrins , brisé par son supplice . Un écrivain d'élite , injustement oublié aujourd'hui , Barbey d'Aurevilly , a tracé , d'un mot pitto- resque , l'image du Musset d'alors : C'est un lilas ...
... vieux avant l'âge , écrasé par le poids de ses chagrins , brisé par son supplice . Un écrivain d'élite , injustement oublié aujourd'hui , Barbey d'Aurevilly , a tracé , d'un mot pitto- resque , l'image du Musset d'alors : C'est un lilas ...
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... vieux doge , Lui compter de ses nuits Les longs ennuis . Comptons plutôt , ma belle , Sur ta bouche rebelle Tant de baisers donnés .. Ou pardonnés . Comptons plutôt tes charmes , Comptons les douces larmes Qu'à nos yeux a coûté La ...
... vieux doge , Lui compter de ses nuits Les longs ennuis . Comptons plutôt , ma belle , Sur ta bouche rebelle Tant de baisers donnés .. Ou pardonnés . Comptons plutôt tes charmes , Comptons les douces larmes Qu'à nos yeux a coûté La ...
Pagina 4
... vieux cadran de fer Qui sonne L'heure aux damnés d'enfer ? Sur ton front qui voyage , Ce soir ont - ils compté Quel âge A leur éternité ? Est - ce un ver qui te ronge , Quand ton disque noirci S'allonge En croissant rétréci ? Qui t ...
... vieux cadran de fer Qui sonne L'heure aux damnés d'enfer ? Sur ton front qui voyage , Ce soir ont - ils compté Quel âge A leur éternité ? Est - ce un ver qui te ronge , Quand ton disque noirci S'allonge En croissant rétréci ? Qui t ...
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Les chefs-d'oeuvre lyriques de Alfred de Musset Alfred de Musset,Auguste Dorchain Volledige weergave - 1907 |
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
adieu aime Alfred de Musset amant âme amour AUGUSTE DORCHAIN baiser beau beauté belle bercer blanc bonheur bras brisé Byron Chanson Chanson de Fortunio chanter Charles Nodier charmant chère ciel cieux cœur Comédie-Française d'aimer d'Alfred d'espérance Dieu divin douleur doux écoute enfant Épicure es-tu Est-ce éternel Étoile du Soir femme fleur front génie George Sand gloire hasard Hélas immortelle insensés j'ai j'aime j'étais jamais jeune jeunesse joie jour l'âme l'amour l'ange de ténèbres l'aurore laisse Lamartine Landerirette larmes lèvres Lord Byron lune m'en main maîtresse Mimi Pinson misère monde mort mourir nuit ombre pâle passé pauvre pensée Phœbé pied pitié pleurs poésie Praxitèle prends ton luth qu'un Rappelle-toi regard reste rêve Rhin allemand rien rose Sainte-Beuve sais sanglots sentir seul soir soleil sombre songe Sonnet souffrance souffrir sourire souvenir T'aimera t'en terre Titien tombe tombeau tremblant triste tristesse vent veux Victor Hugo vieille vieux voix yeux
Populaire passages
Pagina 51 - SI vous croyez que je vais dire Qui j'ose aimer, Je ne saurais pour un empire Vous la nommer. Nous allons chanter à la ronde, Si vous voulez, Que je l'adore, et qu'elle est blonde Comme les blés. Je fais ce que sa fantaisie Veut m'ordonner, Et je puis, s'il lui faut ma vie, La lui donner. Du mal qu'une amour ignorée Nous fait souffrir, J'en porte l'âme déchirée Jusqu'à mourir. Mais j'aime trop pour que je die Qui j'ose aimer, Et je veux mourir pour ma mie, Sans la nommer.
Pagina 23 - Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s'abattre sur les eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur père avec des cris de joie a» En secouant leurs becs sur leurs goitres hideux.
Pagina 35 - L'ivresse du malheur emporte sa raison. Tel, lorsque abandonné d'une infidèle amante, Pour la première fois j'ai connu la douleur, Transpercé tout à coup 'd'une flèche sanglante, Seul, je me suis assis dans la nuit de mon cœur.
Pagina 74 - J'écoutais cependant cette simple harmonie, Et comme le bon sens fait parler le génie, J'admirais quel amour pour l'âpre vérité Eut cet homme si fier en sa naïveté. Quel grand et vrai savoir des choses de ce monde, Quelle mâle...
Pagina 16 - Combien peuvent sur nous, pour guérir toute peine, Ces deux signes jumeaux de paix et de bonheur, ^Jeunesse de visage et jeunesse de cœur*. La lune, se levant dans un ciel sans nuage, D'un long réseau d'argent tout à coup l'inonda.
Pagina 83 - Nous l'avons eu, votre Rhin allemand. Si vous oubliez votre histoire, Vos jeunes filles, sûrement, Ont mieux gardé notre mémoire; Elles nous ont versé votre petit vin blanc.
Pagina 7 - PALE étoile du soir, messagère lointaine, Dont le front sort brillant des voiles du couchant, De ton palais d'azur, au sein du firmament, Que regardes-tu dans la plaine ? La tempête s'éloigne, et les vents sont calmés.
Pagina 79 - Dante, pourquoi dis-tu qu'il n'est pire misère Qu'un souvenir heureux dans les jours de douleur? Quel chagrin t'a dicté cette parole amère, Cette offense au malheur?
Pagina 78 - Ah! laissez-les couler, elles me sont bien chères, Ces larmes que soulève un cœur encor blessé! Ne les essuyez pas, laissez sur mes paupières Ce voile du passé ' ! Je ne viens point jeter un regret inutile Dans l'écho de ces bois témoins de mon bonheur.
Pagina 61 - L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert.