| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1706 - 494 pagina’s
...odieux, comme étant la fource de fes ' maux qui ne peuvent jamais finit. Il du en lui même. O infenfé! Je n'ai donc connu ni les Dieux ni les hommes , ni moi-même ; non ,. je n'ai rien connu , puifqueje n'ai jamais aimé l'unique & veritable bien; tons mes pas ont étc des «Varemens ; ma... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1730 - 328 pagina’s
...odieux, comme étant la fource de fesmaux qui ne peuvent jamais finir. Il dit en lui même : O inlenfé ! je n'ai donc connu ni les Dieux, ni les hommes, ni moi-même. Non, je n'ai rien connu , puifque je n'ai jamais aimé Tunique & véritable bien ; tous mes pas ont été des égaremens :... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1755 - 630 pagina’s
...odieux, comme étant la fource de fa maux qui ne peuvent jamais finir. ll dit en lui-même : O infenfé ! je n'ai donc connu ni les Dieux, ni les Hommes, ni moi-même I. Non, je n'ai rien connu, puifque je n'ai jamais aimé l'unique & véritable bien , tous mes pas... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1756 - 490 pagina’s
...comme étant la fource de fes -maux qui ne peuvent jamais finir. Il dit en lui-même : O infenfé ! le n'ai donc- connu ni les Dieux, ni les hommes, ni moi-même ! Non, je n'ai rien connu, puifque je n'ai jamais aimé l'unique & véritable bien •, tous mes pas ont été des égaremens... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1765 - 318 pagina’s
...comme étant la fource de fes maux qui ne peuvent jamais finir. Il dit en lui-même : O infenfé ! je n'ai donc connu ni les Dieux, ni les hommes, ni moi-même. Non, je n'ai rien connu, puifque je n'ai jamais aimé l'unique & véritable bien : tous mes pas ont été des égarements ;... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 512 pagina’s
...devient odieux, comme étant la source de ses maux qui ne peuvent jamais finir. Il dit en lui-même : O insensé ! je n'ai donc connu ni les Dieux, ni les..., ma vertu n'étoit qu'un orgueil impie et aveugle î j'étois moi-même mon idole. Enfin , Télémaque aperçut les rois qui étoient condamnés pour... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1782 - 578 pagina’s
...comme étant la fource de fes maux qui ne peuvent jamais finir. Il dit en lui-même : O infenfé ! je n'ai donc connu ni les Dieux, ni les hommes, ni moi-même. Non , je n'ai rien connu > puifque je n'ai jamais aimé l'unique & véritable bien ; tous mes pas ont été des égarements... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1784 - 424 pagina’s
...comme' étant la fource de fes maux , qui ne peuvent jamais' finir.' II dit en lui-même : O infenfé ! je n'ai donc connu ni les Dieux , ni les hommes , ni moi-même. Non , ie n'ai rien connu , puifque je n'ai, jamais aimé l'unique & véritable bien. Tous mes pas ont été... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 724 pagina’s
...devient odieux, comme étant la source de ses maux qui ne peuvent jamais finir. Il dit en lui-même: ô insensé! je n'ai donc connu, ni les dieux, ni les...l'unique et véritable bien : tous mes pas ont été des égarements; ma sagesse n'étoit que folie; ma vertu n'étoit qu'un orgueil impie et aveugle : j'étois... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 418 pagina’s
...comme étant la fource de fes maux qui ne peuvent jamais finir. 1l dit en lui-même : O infenfé ! je n'ai donc connu , ni les dieux , ni les hommes , ni moi-même ! non, jen'ii rien connu , puifque je n'ai jamais aimé l'unique & véritable bien : tous mes pas ont été... | |
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