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dans l'Eglife de Rome. Enfin le Pape prioit l'Evêque d'Arles de communiquer fa lettre à tous les Evêques de France.

Ce fut quelque temps après ces lettres reçûës, que Leontius cet Ambaffadeur de l'Empereur dont j'ai parlé, arriva à la Cour de Theodebalde Roy d'Auftrafie, & que les Ambaffadeurs de France fe difpoferent à partir pour Conftantinople. Les memoires que le Clergé d'Italie leur adreffa comme ils eftoient fur le point de partir,leur expliquoient tout ce qui s'eftoit paffé dans l'affaire des trois Chapitres depuis que le Pape avoit efté forcé par Juftinien d'aller à Conftantinople, toutes les diverfes démarches de ce Pontife, toutes les violences qu'on lui avoit faites auffibien qu'à Dacius Evêque de Milan, & comment ce Prélat avoit declaré que fi les Evêques Grecs foufcrivoient à certains Edits de l'Empereur qui donnoient atteinte au Concile de Calcédoine, ils pouvoient s'affûre r

que

les Evêques de France, de Bourgogne, d'Espagne, des Provinces de Ligurie, d'Emilie & de Venife fe fépareroient de leur Communion, De plus le Clergé d'Italie dans cette Lettre prioit les Ambaffadeurs de préyenir là-deffus tous les Evêques de France, aufquels ils fçavoient bien qu'on envoyoit de Conftantinople de fauffes relations, de faire enforte qu'ils écriviffent au Pape & à l'Evêque de Milan pour les confoler & les fortifier dans la réfolution où ils eftoient de ne point fouffrir qu'on fit aucune innovation, Enfin ils conju roient les Ambaffadeurs de fe fervir du credit que leur donneroit leur caractere à la Cour de l'Empereur, pour y foûtenir la caufe de Dieu; & d'y procurer fur tout le retous de l'Evêque de Milan extrémement neceffaire à fon Eglife après une ab

fence de plufieurs années.

Paix entre

Le détail de ce qui fe paffa dans cette négociation à Conftantinople n'eft Empereur point venu jufqu'à nous. Un Histo- Procop. 1. rien contemporain qui eftoit à la Cour 4. de bello de Juftinien nous dit feulement en Goth, c. 240 general, que les Ambaffadeurs y con- Cap.26 clurent les affaires pour lefquelles ils eftoient venus; c'eft-à-dire qu'ils fi rent la paix avec l'Empereur ; & que les François demeurerent en poffeffion de ce qu'ils avoient en Italie, ainfi qu'on le voit par la fuite de l'Hiftoire. Il eft encore certain que ce fut vers le temps que les Ambafladeurs arriverent à Conftantinople, qu'on commença à traiter le Pape tout d'une autre maniere qu'on n'avoit fait jufqu'alors; que Theodore Evêque de Cefarée le Chef de toute la Faction Eutychienne lui demanda pardon; & qu'enfin l'Empereur caffa les Edits qu'il avoit faits pour la condamnation des trois Chapitres, remettant, comme il le devoit, la décifion de cette affaire au jugement d'un Concile General. De forte que ce n'eft pas fans une grande vraifemblance que nous regarderons cette converfion fubite de la Cour & de l'Eglife de Conftantinople, comme un effet des inftances que les Ambaffadeurs François y firent en faveur du Pape.

Quoi qu'il en foit, la paix entre l'Empire & la France ne fut pas de longue durée. La feule fituation des Villes que les François avoient en Italie devoit fournir mille occafions

de rupture, tandis que l'Empereur & les Öftrogots y feroient en guerre. Les troupes des deux partis ne pouvoient marcher les unes contre les autres fans paffer fous les murailles des Villes Françoifes, à moins qu'elles ne priffent de grands détours ; & ce fut en effet ce qui commença à broüiller les François avec les Imperiaux,

An. 5520

l'Empereur

en Italie.

L'Empereur eftoit ennuyé de la enoy Narfez guerre d'Italie, où dès que Totila fe fut mis à la tefte de fa Nation, & en eut rétabli les affaires, ce n'eftoit plus qu'une viciffitude de bons & de mauvais fuccès, qui ne decidoient rien. Depuis que Belifaire en eut efté rappellé une feconde fois, & que le General Germain qu'on lui avoit donné pour fucceffeur fut mort,il n'y avoit plus perfonne en qui les Troupes euffent affez de confiance, & qui euft fur elles autant d'autorité qu'il en falloit pour les maintenir dans la difcipline & dans une parfaite obéïffance. L'Empereur réfolut donc d'y envoyer le fameux Narfez, un des plus fages, des plus vaillans, des plus habiles & des plus honneftes hommes de fon temps, aimé & eftimé du Soldat, & feul capable de remplacer, pour ne pas dire de furpaffer Belifaire. Il lui donna la plus belle & la plus nombreuse armée qu'il euft encore envoyée en Italie, & avec cela beaucoup d'argent pour la fubfiftance des Troupes, & pour faire revenir de l'armée de Totila quantité de deferteurs, qui s'y eftoient jettez faute de paye.

Narfez ayant fait paffer fon armée de Salone en Italie par le Golphe, & l'ayant fait repofer quelque temps vers Aquilée, réfolut de la conduire droit à Ravenne, où il y avoit Garnifon Imperiale; & de porter delà la guerre dans cette partie de l'Italie qui fe retrecit entre les deux Mers. J'ai déja dit que l'Empereur eftoit maître des places fituées fur le bord du Golphe de Venife; que les Gots occupoient celles qui font à la même hauteur du cofté des Terres, & que les François s'eftoient emparez de celles qui eftoient entre-deux. Ainfi Narfez ne pouvoit venir à Ravenne que par deux chemins, fçavoir par le bord de la Mer, ou bien prenant à

droite par le païs que les François occupoient.

Celui-ci eftoit fans comparaison le plus aifé. Car quoique les Romains euffent toûjours marché fur leurs Terres en coftoyant la Mer, il leur euft fallu paffer grand nombre de Rivieres à leur embouchûre, & entr'autres le Pô ; à quoi il y avoit beaucoup de difficultez & de temps à perdre,furtout à faire des Ponts.Narfez fe détermina en effet au premier, & envoya demander aux François permif- Ibid. fion de paffer avec fon armée fur leurs Terres en vertu de l'alliance qu'on venoit tout recemment de renouveller à Conftantinople.

Les François qui apprehendoient plus les progrez des Imperiaux en Italie que les avantages des Oftrogots, s'eftoient campez fur la Riviere d'Adige affez près de Véronc. Les Députez de Narfez les y trouverent bien réfolus à difputer le paffage à l'Armée Imperiale en cas qu'elle prift fon chemin de ce cofté-là. Toutefois le General Hamming qui les commandoit, répondit affez civilement aux Envoyez, que fi l'armée de Narfez n'eftoit compofée que des Troupes de l'Empereur, il lui donneroit volontiers paffage; mais qu'il avoit avec lui quantité de barbares qui ravageoient tous les païs par où ils paffoient, & entr'autres un Corps nombreux de Lombards, Nation ennemie des François; qu'ils ne pouvoient fe réfoudre à les voir chez eux;& qu'ainfi on prioit le General Romain de prendre un autre chemin. Comme les Envoyez de Narfez faifoient inftance, & qu'ils uferent même de quelques menaces, Hamming le prit auffi d'un ton plus haut, & leur dit qu'on attendroit leur armée de pied ferme; qu'on eftoit preft à la bien recevoir; & que pour lui, tandis qu'il auroit une bras pour lancer un javelot, il mon

Ibid

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treroit aux Romains qu'il fçavoit s'en fervir.

Narfez s'apComme Narfez déliberoit fur cetproche de To- te réponse & fur le parti qu'il avoit à prendre, on lui reprefenta que quand les François lui accorderoient le paf fage, ou qu'il le forceroit, il lui feroit impoffible de pouffer jufqu'à Ravenne; parce que Totila ayant prévû fon deffein, & apprehendé que les François ne fe laiffaffent gagner, avoit envoyé un de ses Capitaines nommé Teïas à Verone, avec ordre de fe retrancher de ce cofté-là ; qu'il y eftoit déja arrivé; qu'il rompoit & embaraffoit tous les chemins qui conduifoient au Pô; qu'il faudroit avant toutes chofes faire le fiege de Verone, & enfuite forcer Teias dans fes retranchemens; que c'eftoit une affaire fort hazardeufe, & qui mettroit l'armée hors d'eftat de rien entreprendre de plus, le refte de la campagne. Tout cela eftoit vrai de forte que Narfez prit la réfolution d'aller par le bord de la mer.

Fiscop.c.28.

:

S'eftant donc affùré que la plus grande partie des forces de Totila eftoit du cofté de Verone, il commanda qu'on fift partir en toute diligence un grand nombre de chaloupes de l'armée navale avec quelques vaif feaux, Il marcha lui-même avec beau

coup de promptitude; fe fervit des chaloupes pour faire fes ponts, & des vaiffeaux pour tranfporter une partie des troupes; & de cette maniere en très-peu de temps l'armée arrivą

à Ravenne.

Totila furpris de cette diligence s'avança jufqu'à Rome; s'y fit joindre par toutes les troupes de Teïas, excepté deux mille chevaux qui n'avoient pû arriver affez toft, aufquels il envoya ordre de fuivre le plus promptement qu'ils pourroient. Il Apprit en chemin que Narfez avoit forcé le Pont de Rimini, où le Gou

verneur de la Place, qui eftoit forti pour lui en difputer le paffage, avoit efté tué. Il partit peu de temps après de Rome à la tefte de fon armée pour s'avancer du cofté de l'ennemi ; il traverfa toute la Tofcane, & vint camper dans les montagnes de l'Appen nin, où Narfez arriva auffi peu do temps après.

Ce General avant que d'engager l'exhorte & davantage les chofes, envoya un de faire la paix avec l'Empefes Officiers à Totila pour l'ex- reur. Totila la horter à faire fa paix avec l'Empe- refuse. reur, & lui reprefenter qu'il n'eftoit pas en eftat de foûtenir toutes les for ces qui alloient fondre fur lui. A quoi Totila ayant répondu fierement qu'il falloit qu'une bataille décidât de l'Empire d'Italie; choififfez donc le jour, reprit l'Officier felon l'ordre qu'il en avoit de Narfez. Dans huit jours au pluftard, répondit fur la champ Totila, & dès le jour suivant il marcha droit au camp des Romains, efperant les furprendre ; mais il les trouva fur leurs gardes.

On efcarmoucha le refte de la journée. Narfez pendant la nuit fit occuper une hauteur qui commandoit le champ de bataille, & Totila fit en vain tous fes efforts le lendemain pour la reprendre. Il rangea tout de nouveau fon armée en bataille devant fon camp, continuant à efcarmoucher fans trop s'engager, quelque femblant qu'il fit de vouloir combattre ; parce qu'il attendoit les deux mille chevaux, qui n'avoient pû le joindre quand il partit de Rome.

La matinée s'eftant paffée en ces efcarmouches, il envoya dire à Narfez qu'il eftoit preft d'écouter les propolitions qu'on lui avoit voulu faire peu de jours auparavant. Narfez lui répondit qu'il n'eftoit plus queftion de paix, quand deux armées eftoient rangées en bataille pour finir la guerre par la victoire, Sur ces entrefaites les

Cap. 35

Totila eft bat18 tué.

An.552.

dent.

Cap-33.

deux mille chevaux que Totila attendoit, arriverent au Camp.

Il y fit rentrer fes troupes, comme s'il euft voulu s'y retrancher; les fit repaiftre, & leur ayant auffi-toft fait reprendre leurs armes, les remit tout de nouveau en bataille. Narfez à qui tous ces ftratagêmes n'impofoient point, fit auffi manger fes foldats, mais fans permettre qu'ils quittaffent ni leurs armes, ni leurs rangs. Enfin Totila fe détermina au combat fatal, où il perit, tué felon quelques-uns dans le combat même, & felon d'autres dans la déroute de fon armée, qui fut taillée en pieces.

Rome pluAvec ce Prince tomba l'Empire des feurs autres Oftrogots, qui ne firent plus depuis willes fe renque quelques vains efforts pour fe relever. Rome & plufieurs autres Villes se rendirent au vainqueur. Valerien un des Lieutenans de Narfez mit le fiege devant Verone: la garnifon confternée commençoit à capituler, lorfque les François ne voulant pas avoir les Romains fi près d'eux, envoyerent dire à ce Capitaine, que s'il entreprenoit de faire des conqueftes de ce côté-là, il auroit affaire au Roy de France qui avoit des prétentions fur Verone; ce qui l'empêcha de paffer outre. Car Narfez apprehendoit toûjours que les François ne vinffent le troubler dans fa victoire.

Teius eft lu

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Cap.34.

Cette démarche des François enRoy des Offic- couragea les Gots, dont les débris ayant paffé le Pô, & s'eftant raffemblez auprès de Pavie, élûrent Teïas pour leur Roy, qui trouva dans cette Ville quantité d'argent que Totila y avoit amaflé, & offrit de grandes fommes aux Commandans François pour les engager à fe declarer entièrement pour lui. Ils lui répondirent qu'ils n'avoient point d'ordre fur cela, & qu'il envoyaft à la Cour pour le leur faire donner. Il le fit au plûpoft; mais quelques inftances que fif

fent les Ambaffadeurs, ils ne purent rien obtenir; le jeune Roy d'Auftrafie Theodebalde Prince d'une complexion foible, ne voulant s'engager qu'à la derniere extrémité dans une guerre contre l'Empereur.

Neanmoins l'élection de Teïas dont les Oftrogots eftimoient infiniment la valeur, & l'efperance qu'ils conçûrent du fecours de France arresterent la rapidité des conqueftes de Narfez. Plufieurs Gouverneurs des Places qui fongeoient à fe rendre, & entre autres celui de Tarente qui avoit déja capitulé, apprenant que Teïas avoit envoyé des Ambaffadeurs à la Cour de France, tinrent ferme contre les menaces & les follicitations des Romains. Ce nouveau Roy de fon costé ayant ramaffé le plus de troupes qu'il lui fut poffible, & marché par des chemins écartez avec une prodigieufe diligence, parut dans la campagne de Rome, lorfqu'on l'y attendoit la moins. Narfez qui eftoit à Rome pour donner ordre aux affaires & au rétabliffement de cette Capitale, en fut extrémement furpris; & ayant rappellé la plufpart des détachemens qu'il avoit faits pour aller fe faifir de diverfes places, il marcha lui-même vers l'ennemi.

Ils fe camperent tous deux affcz près du Mont Vefuve, & fi proche l'un de l'autre, que les Soldats d'un camp tuoient à coups de fléches les Soldats de l'autre camp. Il n'y avoit entre-deux qu'un petit ruiffeau appellé le Dragon, fort étroit & peu profond; mais dont les bords eftoient i hauts & fi cfcarpez, qu'ils fervoient aux deux camps de retranchemens inacceffibles. Ils demeurerent ainfi deux mois entiers en deux mois entiers en prefence, les Gots ayant aifément des vivres par la Mer, fur le bord de laquelle ils avoient encore en cet endroit quelques Places à eux. Mais la trahifon

Draca.

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de celui qui commandoit leur flote,& qui la livra toute entiere à Narfez, les déconcerta abfolument. Les Romains maiftres de la Mer, leur couperent les vivres, & les réduifirent à l'extrémité. Les Oftrogots s'éloignerent un peu de la Mer, & fe retirerent fur une montagne voifine, où Narfez ne jugea pas à propos de les fuivre, prévoyant bien que la même raifon qui les avoit obligez de décamper du bord de la Mer, ne leur permettroit pas de demeurer long-temps en ce lieu-là.

En effet la difette de vivres les obligea bien-toft à le quitter; mais ne fçachant de quel cofté tourner ils prirent le parti que le défespoir leur infpira, qui fut d'aller fondre fur le camp des Romains, plustoft dans l'efperance de mourir en de mourir en gens de cœur, que de vaincre. Ils le firent & fi fubitement, que Narfez malgré fa prévoyance ordinaire fe trouva furpris; & ce fut-là une de ces occafions où la valeur du Soldat fauva la réputation du General. Chacun combatit d'abord au lieu où il fe trouva par hazard, & prit & deffendit fon pofte avec toute la vigueur poffible fans attendre d'ordre. Les Oftrogots combattoient tous à pied, la Cavalerie ayant quitté fes chevaux, & les Cavaliers ayant efté diftribuez parmi les Fantaffins. Narfez fit auffi mettre toute fa Cavalerie à pied, & rangea fes Troupes fur plufieurs lignes dans la même difpofition, que Teïas avoit rangé les fiennes.

Il n'y eût jamais de combat plus opiniaftré. Teïas à la tefte d'un petit bataillon compofé des plus déterminez de fon armée parut au premier rang, & y fit des prodiges de valeur. Il avoit pris exprès des armes qui le faifoient reconnoiftre de l'armée ennemie & de la fienne pour ce qu'il eftoit; & ce fut auffi contre lui que les Romains fi

rent les plus grands efforts, perfuadez que fa mort feroit la fin du combat. Il fit & foutint des charges terribles. Il fut obligé fouvent de changer de bouclier, ceux dont il fe fervoit eftant en moins de rien percez & couverts de fléches. Il fut affailli plufieurs fois par les plus hardis des ennemis qui vinrent fondre fur lui l'épée à la main; mais pas un de ceux qui l'approcherent, ne retourna. Le combat avoit commencé dès le grand matin, & Teïas avoit combattu de la forte pendant plufieurs heures; lorfque ne pouvant plus remuer fon bouclier chargé de douze javelots qu'il y avoit reçûs, il appella fon Ecuyer pour lui en apporter un autre ; & au moment qu'il le prenoit, il fut frappé d'une fléche dans la poitrine, & il expira fur le champ. On lui coupa la tefte, & Narfez l'ayant fait mettre au bout d'une pique, la fit voir aux deux armées. Les Gots n'en furent que plus animez, la nuit feule termina le combat, ou pluftoft l'interrompit; car il recommença le lendemain dès la pointe du jour, & dura encore jufqu'à la nuit fuivante; parce qu'on ne recula ni de part ni d'autre.

Alors ce qui reftoit des plus confiderables des Oftrogots, fe voyant eux & leurs Soldats épuifez de forces, & laffez de lutter plus long-temps contre leur mauvaise fortune, envoyerent dire à Narfez qu'ils eftoient tous déterminez à perir pluftoft que de fe rendre prifonniers aux Romains;mais qu'ils le prioient de leur permettre de fe retirer où ils voudroient avec ce qu'ils pourroient emporter de leurs biens, après avoir rendu les Villes à leurs vainqueurs.

Narfez ne voulut pas pouffer à Narfez traite bout de fi braves gens, & confiderant avec les Of qu'il avoit par leur retraite tout ce gots. qu'il prétendoit, il leur accorda leur demande, à condition qu'ils forti

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