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des Pays-Bas, Secrétaire de la Société des Sciences, à Harlem,

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M. Van Mons, Membre de l'Institut Royal des Pays-Bas, Professeur à l'Université de Louvain.

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M. Verlat, Cultivateur-Propriétaire, - Wispelaer, près de Louvain.

M. Versturme, Inspecteur-général des hôpitaux anglais en France.

M. Vilmorin-Andrieux, Membre de la Société Royale d'agriculture, à Paris.

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S. Exc. M. le Baron Vincent, Ambassadeur de S.M.'Empereur d'Autriche près de S. M. T.C. à Paris.

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S. Exc. M. Von Rhede, Grand-Maréchal de la Cour de S. M. le Roi des Pays-Bas,

Haye.

à La

M. Wallner, Conservateur du Musée d'histoire naturelle, à Genève.

M. Wiegers Cultivateur-Botaniste,

à Malines. M. Wirtar-Eddy, Cultivateur- Botaniste, à New-Yorck, Etats-Unis d'Amérique.

Les noms des membres effectifs et associés, tous cultivateurs et amateurs, se trouvent imprimés dans les notices d'exposition de la société.

Le local occupé par la société est situé rue de la Caverne, n.o 187. La bibliothèque uniquement formée d'ouvrages qui traitent de l'agriculture, de l'économie rurale, de la culture particulière de la botanique, est ouverte aux membres de la Société tous les jeudi de la semaine, depuis 3 jusqu'à 8 heures du soir, et les deuxième et quatrième lundi des mois de l'année, pendant les séances.

CHAMBRE DE RHETORIQUE.

L'institution de cette Société a pour but l'étude et la culture des belles-lettres, de la déclamation et de la musique; elle est divisée en quatre classes, qui ont chacune leur président et

quelques assesseurs; elle est comprise sous le rapport des sciences et des beaux-arts, dans l'article 3 de l'arrêté de S. Exc. M. le Gouverneur de la province, en date du 22 décembre 1817, portant organisation d'une société pour la formation d'une statistique de la Flandre orientale.

La direction de la Société est confiée à un conseil d'administration formé par la réunion des membres élus dans le sein des quatre sections.

Il y a une bibliothèque attachée à l'institution.

La Société propose annuellement des prix de musique et de déclamation; de deux en deux ans, elle propose un sujet de discours.

L'art théâtral a été l'objet du concours de l'année 1817. La société de Courtrai, sous la devise: de Kruys-Broeders, y a remporté le grand prix; celle de Grammont le second, celle de Termonde le troisième prix.

Président de la Chambre.

M. Le Jeune,

Fossé aux longs Bateaux.

Secrétaire.

M. Duncan, - rue de la Caverne.

ACADÉMIE DE MUSIQUE.

Cette institution a été érigée en 1812, par la Société royale des Beaux-Arts, dans la vue de propager le goût et l'enseignement de la musique, et de former des artistes habiles fant dans la composition que dans la partie vocale et instrumentale.

Elle est sous la direction immédiate de Mr. De Volder, Directeur de la 5. classe de la Société royale. et reconnaît

pour protecteurs :

M. le Comte Dethiennes.

M. De Meulemeester-Van Aken, Banquier.
M. De Deurwaerder, fils, rue d'Assaut.
M. Van Toers, Greffier de la province.
M. J. B. Schamp, rue des Foulons.

Six élèves nés dans la province de la Flandre orientale et

présentés par

Mr. le Bourguemaître, sont enseignés gratuitement aux leçons de l'académie.

L'académie propose et distribue annuellement des prix de chant et d'exécution instrumentale.

SOCIÉTÉ DE SAINTE CÉCILE.

Cette société tient ses séances dans la grand'salle de l'ancien Hotel des Brasseurs.

Président.

M. Fr. van der Meersch, rue des Remouleurs.

Vice-président.

M. Vandenbergen,

- rempart de Chaudronniers. Secrétaire.

M. Schelstraete, quai des Récollets.
Maître de musique.

M. Ant. Devigne, marché au Beurre.

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CHAPITRE II.

ÉTABLISSEMENS DE SECOURS PUBLICS.

Commission administrative des Hospices et secours de la ville de Gand.

Le Bourguemaître de la ville, Président îé.

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De Potter, Administrateur, rue de la Catalogne. Kervyn-Volkersbeke, Administrateur, — avenue de la place d'Armes.

Triest, Directeur des Soeurs de Charité, Administrateur, - rue des Meûniers.

Le marquis Rodrigues Devora y Vega,
Savon.

-rue du

Papeleu, Administrateur, - rue de la Calandre.
J. B. Baguet, Receveur, rue St.-George.
M. P. Lammens, Secrétaire, aux Augustins.

de

Hospices.

Il y a à Gand vingt-un Hospices, qui peuvent recevoir 1700 à 1800 indidus, savoir:

L'hospice où sont traités les militaires malades, qui peut contenir une population de 600 à 650 individus. Cet hospice est passé sous l'administration militaire.

L'hospice des pauvres malades, situé à la Byloque.
L'hospice des vieillards mâles.

L'hospice des vieillards femelles. — Population 150.

L'hospice dit des garçons bleus.
L'hospice dit des filles bleues.
L'hospice dit des corsets rouges.
L'hospice du Grand-Béguinage.
L'hospice du Petit-Béguinage.
L'hospice du Portacker.

L'hospice de SS. Jean et Paul. Population 8.

Population 110.

Population 130.

Population 76.

Population 60.

Population 88.

Population 21.

Population 18.

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L'hospice de Hebbrecht.
L'hospice des Foulons.
L'hospice des Tailleurs.
L'hospice des Tisserands.
L'hospice de St.-Jacques.
L'hospice des Fous.

Population 60.

L'hospice des Folles. Population 68.

La Commission est chargée de pourvoir à l'entretien des enfans trouvés et délaissés des arrondissemens de Gand et d'Eecloo.

La ville d'Audenarde a trois hopices, savoir :

Un hospice pour les pauvres malades et les vieillards infirmes. Un hospice pour les enfans mâles orphelins, et un pour les orphelins de l'autre sexe.

La Commission est chargée de l'entretien des enfans trouvés et délaissés de l'arrondissement.

La ville de Grammont a un hospice qui sert à la fois d'hôpital pour les pauvres malades, et d'asile aux vieillards infirmes.

La ville de Ninove a un hospice pour les pauvres vieillards et les malades indigens.

La ville de Termonde a six hospices, savoir: Deux consacrés aux pauvres malades.

Deux pour les enfans orphelins.

Un hospice pour les vieillards infirmes.

Un hospice pour les aliénés.

La Commission pourvoit aussi à l'entretien des enfans trouvés et abandonnés de l'arrondissement.

La ville d'Alost a deux hospices, savoir :

Un hospice pour les pauvres malades et les vieillards infirmes. Un hospice pour les orphelins des deux sexes.

La ville de St.-Nicolas à trois hospices, savoir: Un hospice pour les pauvres malades et les vieillards infirmes. Un hospice pour les femmes en démence.

Un hospice pour les orphelins des deux sexes.

Un hospice a été récemment établi dans la ville de Renaix. Il est consacré à l'éducation des pauvres orphelins de l'âge de cinq à dix-huit ans. Le nombre des élèves est provisoirement fixé à 30.

Les communes de Velsique, 2.e arrondissement, et Beveren, 3. arrondissement, ont aussi des hospices.

Celui de Velsique reçoit les vieillards indigens, les pauvres malades, les personnes du sexe en démence. Sa popula

tion ordinaire est de 25 individus.

Dans celui de Beveren on traite les pauvres malades; il sert en même temps d'asile aux vieillards infirmes et aux pauvres orphelins.

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