 | Charles Fourier - 1808 - 444 pagina’s
...nombre marchands et agens commerciaux. Dans les grandes cités , comme Paris , on compte jusqu'à trois mille épiciers ; quand il en faudrait à peine trois...cents pour suffire au service habituel. La . profusion d'agens est la même dans les bourgades ; telle petite ville qui reçoit aujourd'hui dans le cours... | |
 | Louis Reybaud - 1840 - 436 pagina’s
...des marchands et des agents commerciaux. Dans les grandes cités, comme à Paris ,- on compte trois mille épiciers , quand il en faudrait à peine trois cents pour suffire au service habituel. Telle petite ville reçoit aujourd'hui cent colporteurs et cent voyageurs de commerce , qui n'en voyait... | |
 | Louis Reybaud - 1844 - 314 pagina’s
...des marchands et des agents commerciaux. Dans les grandes cités, comme à Paris , on compte trois mille épiciers , quand il en faudrait à peine trois cents pour suffire au service habituel. Telle petite ville reçoit aujourd'hui cent colporteurs et cent voyageurs de commerce, qui n'en voyait... | |
 | Charles Fourier - 1846 - 400 pagina’s
...des marchands et agents commerciaux. Dans les grandes cités, comme Paris, on compte jusqu'à trois mille épiciers, quand il en faudrait à peine trois...quoique les marchands ne s'élevassent pas au tiers du nom bre actuel. Cette multiplicité des rivaux les jette à l'envi dans les mesure s les plus folles... | |
 | Charles Fourier - 1846 - 394 pagina’s
...commerciaux. Dans les grandes cités, comme Paris, on compte jusqu'à trois mille épiciers, quand il on faudrait à peine trois cents pour suffire au service...dans les bourgades ; telle petite ville, qui reçoit aujoard'hui dans le cours d'une année cent voyageurs do commerce et cent colporteurs, n'en voyait... | |
 | Eugène Daire - 1846 - 540 pagina’s
...des nnf" rhands et (lesagents commerciaux. Dans les grandes cités, comme à Paris, on compte trois mille épiciers, quand il en faudrait à peine trois cents pour suffire au servi** aussi de grandes difficultés. Les taxes arbitraires sont trop effrayantes et trop injustes... | |
 | Charles Fourier - 1849 - 408 pagina’s
...des marchands et agents commerciaux. Dans les grandes cités, comme Paris, on compte jusqu'à trois mille épiciers, quand il en faudrait à peine trois...cent colporteurs, n'en voyait peut-être pas dix en 1 788, où l'on ne manquait pourtant ni de subsistances, ni de vêtements, à des prix très modérés,... | |
 | Louis Reybaud - 1864 - 488 pagina’s
...nombre des marchands et des agents commerciaux. Dans les grandes cités, comme à Paris, on compte trois mille épiciers, quand il en faudrait à peine trois cents pour suffire au service habituel. Telle petite ville reçoit aujourd'hui cent colporteurs et cent voyageurs de commerce qui n'en voyait... | |
 | Charles Fourier, Hubert Bourgin - 1903 - 220 pagina’s
...des marchands et agents commerciaux. Dans les grandes cités, comme Paris, on compte jusqu'à trois mille épiciers, quand il en faudrait à peine trois...n'en voyait peut-être pas dix en 1788, où l'on ne i. Cf. p. 197. manquait pourtant ni de subsistances, ni de vêtements à des prix très modérés,... | |
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Paris, on compte jusqu'à'trois mille épiciers, quand il en faudrait à peine trois cents pour suffire au service habituel. La profusion d'agents est la même dans les bourgades; telle petite ville, qui reçoit aujourd'hui dans le cours d'une... 