| Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1804 - 292 pagina’s
...brusquement les portes; je regardai à la pendule du salon, et je connus, avec douleur, que j'étais arrivée trois quarts d'heure trop tôt, ce qui ne contribua pas à me donner de l'aisance et de ïa confiance. M. Ott vit à l'autre extrémité du salon un grand tableau à l'huile, dont les figures... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1808 - 228 pagina’s
...brusquement les portes; je regardai à la pendule du salon, et je connus avec douleur, que j 'étois arrivée trois quarts d'heure trop tôt, ce qui ne...pas à me donner de l'aisance et de la confiance. M. Ottvit à l'autre extrémité du salon un grand tableau à l'huile, dont les figures sont en demi-nature... | |
| Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1825 - 424 pagina’s
...l'eût relégué là. Nous passons dans le salon , il étoit vide. Je vis dans le chàTOMK II. 'JII teau cette espèce de rumeur désagréable que. produit...superbe, et l'honneur d'être placé dans le salon, annoncoient quelque chose de beau. Nous y accourons et , à notre grande surprise , nous découvrons... | |
| François Barrière, Mathurin Lescure - 1857 - 486 pagina’s
...brusquement les portes. Je regardai à la pendule du salon , et je reconnus avec douleur que j'étais arrivée trois quarts d'heure trop tôt , ce qui ne...donner de l'aisance et de la confiance. M. Ott vit, à 13. l'autre extrémité du salon, un grand tableau à l'huile, dont les figures sont en demi-nature.... | |
| 1878 - 490 pagina’s
...brusquement les portes. Je regardai à la pendule dusalon , et je reconnus avec douleur-que j'étais arrivée trois quarts d'heure trop tôt , ce qui ne...superbe et l'honneur d'être placé dans le salon annonçaient quelque chose de beau. Nous y accourons , et , à notre grande surprise , nous découvrons... | |
| 1878 - 488 pagina’s
...brusquement les portes. Je regardai à la pendule du salon , et je reconnus avec douleur que j'étais arrivée trois quarts d'heure trop tôt, ce qui ne contribua pas à me donner.de l'aisance et de la confiance. M. Ott vit, à l'autre extrémité du salon, un grand tableau... | |
| Grafigny (Mme de, Françoise d'Issembourg d'Happoncourt) - 1879 - 578 pagina’s
...brusquement les portes ; je regardai à la pendule du salon, et je connus, avec douleur, que j'étais arrivée trois quarts d'heure trop tôt, ce qui ne...superbe, et l'honneur d'être placé dans le salon, annonçaient quelque chose de beau. Nous y courons, et à notre grande suprise, nous découvrons une... | |
| Grafigny (Mme de, Françoise d'Issembourg d'Happoncourt) - 1879 - 572 pagina’s
...brusquement les portes; je regardai à la pendule du salon, et je connus, avec douleur, que j'étais arrivée trois quarts d'heure trop tôt, ce qui ne...superbe, et l'honneur d'être placé dans le salon, annonçaient quelque chose de beau. Nous y courons, et à notre grande suprise, nous découvrons une... | |
| Gustave Desnoiresterres - 1879 - 230 pagina’s
...bizarre, qui n'édifia pas davantage son compagnon de voyage, le peintre Ott. « M. Ott, dit-elle, vit, à l'autre extrémité du salon, un grand tableau à l'huile, dont les figures sont en demi- nature. Un cadre superbe et l'honneur d'être placé dans un salon annonçaient quelque chose... | |
| Gustave Desnoiresterres - 1879 - 218 pagina’s
...bizarre, qui n'édifia pas davantage son compagnon de voyage, le peintre Ott. « M. Ott, dit-elle, vit, à l'autre extrémité du salon, un grand tableau à l'huile, dont les figures sont en demi- nature. Un cadre superbe et l'honneur d'être placé dans un salon annonçaient quelque chose... | |
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