Collection des meilleurs dissertations: notices et traités particuliers relatifs à l'histoire de France, composée, en grande partie, de pièces rares, ou qui n'ont jamais été pub. séparément; pour servir à compléter toutes les collections de mémoires sur cette matière, Volume 5

Voorkant
G.-A. Dentu, 1838
 

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Populaire passages

Pagina 459 - si grands vassaux n'obéirent plus, et ils se servirent « même de leurs arrière-vassaux pour ne plus obéir. « Les fiefs firent de si grands progrès, que dans la « plus grande partie de la France, presque toutes les « terres devinrent fiefs ou dépendances de fiefs : de « là cette maxime autorisée par la plupart des
Pagina 312 - la prise des places emportaient avec elles la « servitude des habitans. Et comme, outre les guerres « que les différentes nations conquérantes firent entre « elles, il y eut cela de particulier chez les Francs, « que les divers partages de la monarchie firent naître « sans cesse des guerres civiles entre les frères ou
Pagina 181 - in sud gente cuique, sed apud finitimas quoque civitates id nomen, ea gloria, est si numero ac virtute comitatus emineat; expetuntur enim legationibus et muneribus ornantur, et
Pagina 268 - invasions, ils prenaient l'or, l'argent, les meubles, « les vêtemens, les hommes, les femmes, les garçons « dont l'armée pouvait se charger. Le tout se rappor(( tait en commun, et l'armée le partageait. Le corps « entier de l'histoire prouve qu'après le premier éta« blissement, c'est-à-dire après les premiers ravages, « ils reçurent à composition les habitans, et leur
Pagina 42 - il est bon d'établir en quoi celle-ci diffère de l'autre. L'autorité du despote est toujours illégitime, et cette illégitimité vient de ce qu'elle n'a pu être consentie par les peuples. « Personne ne peut se dépouiller « de sa liberté jusqu'à se soumettre à une puissance « arbitraire, qui le traite absolument à sa fantai
Pagina 328 - gement; or, comme les hommes de corps faisaient « partie des fiefs, il est évident que celui qui affran« chissait son homme de corps, éteignait et abrégeait « par cet affranchissement une partie de son fief; et « ainsi ce serf affranchi était dévolu au seigneur su« périeur dans le même état qu'il était avant l'affran
Pagina 287 - et de Charles-le-Chauve nous apprennent que tous les hommes libres, à proportion de l'étendue de leurs terres, étaient obligés d'aller à la guerre à leurs dépens, ou de contribuer à l'entretien d'un soldat, de faire la garde, de fournir des chevaux et des voitures aux envoyés du roi, et de les défrayer à
Pagina 261 - mœurs et des usages communs à tous les Germains. « Les Suiones, dit-il plus bas, honorent les richesses ; c'est ce qui les a fait tomber sous la domination d'un seul. Les armes n'y sont point, comme chez les autres peuples germaniques, entre les mains de tout le monde ; le roi les tient en dépôt sous la garde
Pagina 312 - nations conquérantes firent entre « elles, il y eut cela de particulier chez les Francs, « que les divers partages de la monarchie firent naître « sans cesse des guerres civiles entre les frères ou
Pagina 469 - De l'état des personnes en France sous la première et la seconde race de nos rois. Par l'abbé DE

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