Collection des meilleurs dissertations: notices et traités particuliers relatifs à l'histoire de France, composée, en grande partie, de pièces rares, ou qui n'ont jamais été pub. séparément; pour servir à compléter toutes les collections de mémoires sur cette matière, Volume 5G.-A. Dentu, 1838 |
Overige edities - Alles bekijken
Collection des meilleurs dissertations: notices et traités ..., Volume 5 Constant Leber Volledige weergave - 1838 |
Veelvoorkomende woorden en zinsdelen
2º LIV affranchis anciens assemblées autorité avaient Barbares bénéfices Boulainvilliers Bouquet Bourguignons c'était capitulaires charge Charlemagne Charles-le-Chauve charte Childebert Childebert Ier Chilpéric cité citoyens Clotaire Clovis colons composition comte différentes dignité donner ducs empereurs enfans esclaves établi évêques exempts fidélité fiefs fisc fiscalins formules de Marculfe Gaules Gaulois Germains Gontran gouvernement Greg Grégoire de Tours guerre historiens hommes libres Hugues Capet impôts ingénu ingenui ingenuus juges justice l'abbé du Bos l'affranchi l'assemblée l'autorité l'Eglise l'empereur l'empire l'Etat l'évêque leudes liberté loi salique lois maire du palais maître Marculfe ment milice militaire monarchie monumens n'était nation nobili nobles noblesse nombre obligés officiers ordonnances ordres parens parle particuliers patron payer peuple pouvait préfet du prétoire première race prince priviléges provinces puissance quod ripuaire rois Romains roturiers royaume saint Remi seconde race seigneurs serfs serment service servitude seulement soldats souverain sujets terres Théodebert Thierri tion tribut trouve vassaux Visigoths
Populaire passages
Pagina 459 - si grands vassaux n'obéirent plus, et ils se servirent « même de leurs arrière-vassaux pour ne plus obéir. « Les fiefs firent de si grands progrès, que dans la « plus grande partie de la France, presque toutes les « terres devinrent fiefs ou dépendances de fiefs : de « là cette maxime autorisée par la plupart des
Pagina 312 - la prise des places emportaient avec elles la « servitude des habitans. Et comme, outre les guerres « que les différentes nations conquérantes firent entre « elles, il y eut cela de particulier chez les Francs, « que les divers partages de la monarchie firent naître « sans cesse des guerres civiles entre les frères ou
Pagina 181 - in sud gente cuique, sed apud finitimas quoque civitates id nomen, ea gloria, est si numero ac virtute comitatus emineat; expetuntur enim legationibus et muneribus ornantur, et
Pagina 268 - invasions, ils prenaient l'or, l'argent, les meubles, « les vêtemens, les hommes, les femmes, les garçons « dont l'armée pouvait se charger. Le tout se rappor(( tait en commun, et l'armée le partageait. Le corps « entier de l'histoire prouve qu'après le premier éta« blissement, c'est-à-dire après les premiers ravages, « ils reçurent à composition les habitans, et leur
Pagina 42 - il est bon d'établir en quoi celle-ci diffère de l'autre. L'autorité du despote est toujours illégitime, et cette illégitimité vient de ce qu'elle n'a pu être consentie par les peuples. « Personne ne peut se dépouiller « de sa liberté jusqu'à se soumettre à une puissance « arbitraire, qui le traite absolument à sa fantai
Pagina 328 - gement; or, comme les hommes de corps faisaient « partie des fiefs, il est évident que celui qui affran« chissait son homme de corps, éteignait et abrégeait « par cet affranchissement une partie de son fief; et « ainsi ce serf affranchi était dévolu au seigneur su« périeur dans le même état qu'il était avant l'affran
Pagina 287 - et de Charles-le-Chauve nous apprennent que tous les hommes libres, à proportion de l'étendue de leurs terres, étaient obligés d'aller à la guerre à leurs dépens, ou de contribuer à l'entretien d'un soldat, de faire la garde, de fournir des chevaux et des voitures aux envoyés du roi, et de les défrayer à
Pagina 261 - mœurs et des usages communs à tous les Germains. « Les Suiones, dit-il plus bas, honorent les richesses ; c'est ce qui les a fait tomber sous la domination d'un seul. Les armes n'y sont point, comme chez les autres peuples germaniques, entre les mains de tout le monde ; le roi les tient en dépôt sous la garde
Pagina 312 - nations conquérantes firent entre « elles, il y eut cela de particulier chez les Francs, « que les divers partages de la monarchie firent naître « sans cesse des guerres civiles entre les frères ou
Pagina 469 - De l'état des personnes en France sous la première et la seconde race de nos rois. Par l'abbé DE