Jamais la pierre-ponce de l'usage et le grattoir barbare du puriste n'en ont effacé le signe élémentaire d'un radical. Il conserve le mot de la manière dont le mot s'est fait, parce que la fantaisie d'un faquin de savant ou d'un écervelé de typographe... Histoire littéraire philologique et bibliographique des patois - Pagina xxxivdoor Claude Charles Pierquin de Gembloux, Pierquin de Gembloux - 1841 - 339 pagina’sVolledige weergave - Over dit boek
| 1855 - 488 pagina’s
...quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné que La Fontaine connaissait et imitait. Le patois, c'est la langue vivante et nue; le beau langage, c'est la coquette parée et étouffant le naturel. Le bonhomme La Fontaine fourmille d'expressions, de tournures... | |
| Louis Du Bois, Julien Travers - 1856 - 512 pagina’s
...évertuée à détruire son identité pré« cleuse dans une variante stupide. Il n'est pas transl« toire comme une mode. Il est immortel comme une * tradition. Le patois , c'est la langue native , la langue « vivante et nue. Le beau langage , c'est le simulacre , « le mannequin. » Voilà... | |
| Louis Du Bois, Julien Travers - 1856 - 494 pagina’s
...évertuée à détruire son identité pré« clense dans une variante stupide. Il n'est pas transl« toire comme une mode. Il est immortel comme une « tradition. Le patois , c'est la langue native , la langue « vivante et nue. Le beau langage , c'est le simulacre , > le mannequin. » Voilà... | |
| 1866 - 572 pagina’s
...la manière dont le mot s'est fait, parce que la fantaisie d'un faquin de savant ou d'un écervelé de typographe ne s'est jamais évertuée à détruire...immortel comme une tradition. Le patois, c'est la langue native, la langue vivante et nue. Le beau langage, c'est le simulacre, le mannequin. » Voilà de ces... | |
| Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen - 1866 - 590 pagina’s
...la manière dont le mot s'est fait, parce que la fantaisie d'un faquin de savant ou d'un écervelé de typographe ne s'est jamais évertuée à détruire...immortel comme une tradition. Le patois, c'est la langue native, la langue vivante et nue. Le beau langage, c'est le simulacre, le mannequin. » Voilà de ces... | |
| France. Comité des travaux historiques et scientifiques - 1866 - 1064 pagina’s
...la manière dont le mot s'est fait, parce que la fantaisie d'un faquin de savant ou d'un écervelé de typographe ne s'est jamais évertuée à détruire...immortel comme une tradition. Le patois, c'est la langue naLve, la langue vivante et nue. Le beau langage, c'est le simulacre, le mannequin. » Voilà de ces... | |
| Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen - 1866 - 1096 pagina’s
...la manière dont le mot s'est fait, parce que la fantaisie d'un faquin de savant ou d'un écervelé de typographe ne s'est jamais évertuée à détruire son identité précieuse dans une variante Btupide. Il n'est pas transitoire comme une mode. Il est immortel comme une tradition. Le patois, c'est... | |
| Catherine Mavrikakis - 1996 - 182 pagina’s
...la manière dont le mot s'est fait, parce que la fantaisie d'un faquin de savant ou d'un écervelé de typographe ne s'est jamais évertuée à détruire...immortel comme une tradition. Le patois, c'est la langue nature, la langue vivante et nue. Le beau langage, c'est le simulacre, c'est le mannequin. »' La fin... | |
| |