 | Victor Donatien de Musset (called Musset-Pathay), Victor-Donatien Musset-Pathay - 1821 - 564 pagina’s
...journal des Savants > par la certitude de mal remplir les fonctions dont il aurait fallu se charger. // savait que tout son talent venait du vif intérêt...qu'il ny avait que l'amour du grand, du vrai, du beau, gui pût animer son génie. Il ne pouvait écrire par métier, et ne sut jamais écrire que par passion.... | |
 | Victor-Donatien Musset-Pathay - 1827 - 496 pagina’s
...pour achalander son théâtre de Ferney. Comme ses démarches coïncidèrent avec la condamnation d' Emile, nous en parlerons plus tard. Dégoûté des...«faire un ouvrage unique, par une véracité sans «exemple. » Il sentait, par sa propre expérience, « qu'il n'ya point d'intérieur humain , si pur... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pagina’s
...tout mon talent venait du vif intérêt que je prenais aux matières que j'avais à traiter, et qu il n'y avait que l'amour du grand, du vrai , du beau , qui pût animer mon génie. Et que m'auraient importé les sujets de la plupart des livres que j'aurais à extraire,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 508 pagina’s
...pour achalander son théâtre de Ferney. Comme ses démarches coïncidèrent avec la condamnation S Emile, nous en parlerons plus tard. Dégoûté des...« faire un ouvrage unique, par une véracité sans « exemple. » Il sentait, par sa propre expérience, « qu'il n'ya point d'intérieur humain, si pur... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 382 pagina’s
...savais que tout mon talent ne venait que d'une certaine chaleur d'âme sur les matières que j'avais à traiter, et qu'il n'y avait que l'amour du grand, du vrai, du beau, qui pût animer mon génie. Et que m'auraient importé les sujets de la plupart des livres que j'aurais àextraire,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1846 - 586 pagina’s
...savais que tout mon talent ne venait que d'une certaine chaleur d'âme sur les matières que j'avais à traiter, et qu'il n'y avait que l'amour du grand, du vrai, du beau, qui pût animer mon génie. Et que m'auraient importé les sujets de la plupart des livres que j'aurais à extraire,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1876 - 708 pagina’s
...savais que tout mon talent ne venait que d'une certaine chaleur d'âme sur les matières que j'avais à traiter, et qu'il n'y avait que l'amour du grand, du vrai, du beau, qui pût animer mon génie. Et que m'auraient importé les sujets de la plupart des livres que j'aurais à extraire,... | |
 | Frédéric Paulhan - 1901 - 200 pagina’s
...Savants, que tout mon talent ne venait que d'une certaine chaleur d'âme sur les matières que j'avais à traiter, et qu'il n'y avait que l'amour du grand, du vrai, du beau qui pût animer mon génie. Et que m'auraient importé les sujets de la plupart des livres que j'aurais à extraire,... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 486 pagina’s
...savais que tout mon talent ne venait que d'une ceitaine chaleur d'ame sur les matières que j'avais à traiter, et qu'il n'y avait que l'amour du grand , du Vrai , du beau , qui pût animer mon génie. Et que m'auraient importé les sujets de la plupart des livres que j'aurais à extraire,... | |
| |
Je savais que tout mon talent ne venait que d'une certaine chaleur d'âme sur les matières que j'avais à traiter, et qu'il n'y avait que l'amour du grand, du vrai, du beau, qui pût animer mon génie. Et que m'auraient importé les sujets... 