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Le corps était comme formé d'anneaux imbriqués, parfaitement visibles à l'œil nu; il était terminé par un petit renflement, espèce de vésicule qui renfermait une matière d'apparence albumineuse. Tous ceux que j'ai pu extraire ont exécuté dans ma main quelques mouvements d'ondulation.

La tumeur fut recouverte pendant trois jours avec des cataplasmes anodins et ensuite frictionnée avec une pommade au calomel; au septième jour, la guérison était complète. 3. OBS. Cysticerque celluleux, sous la conjonctive; par M. Florent Cunier. Le jeune duc de B..., âgé de 17 ans, se promenait le 30 juillet 1840, vers 10 heures du soir, dans l'allée de la maison de campagne de son père, lorsqu'un papillon de nuit vint le frapper à l'œil droit.- La violence du choc avait été si forte que M. de B... tomba en syncope; ce ne fut que quelques minutes plus tard qu'il fut en état de gagner son appartement.

Il accusait la sensation d'un corps étranger engagé entre les paupières, et des lotions froides furent immédiatement employées. Des tentatives faites pour rechercher le corps étranger ayant été infructueuses, on dépêcha un domestique à M. Cunier, qui arriva près du malade, trois heures après l'accident.

L'agitation, l'occlusion convulsive des paupières, l'épiphora et la photopsie, suite de la percussion du globe le portèrent à pratiquer une saignée de dix onces, avant de se mettre à rechercher le corps étranger. Cette évacuation sanguine amena beaucoup de calme.

Entre temps, un domestique avait trouvé, au lieu de l'accident, un gros papillon que l'on reconnut être un sphinx populi, auquel un lambeau de l'aile droite et deux pattes manquaient.

Après avoir laissé un peu de repos au malade, M. Cunier se mit à la recherche du corps dont la présence ne cessait d'être accusée. — Nulle trace de corps étranger. Un bourrelet de conjonctive chémosiée, d'environ un millimètre de diamètre sur un millimètre de hauteur, entouré d'une ecchymose de 1 à 2 lignes de diamètre, situé à la partie latérale externe, sur la ligne transversale du globe, à 1/2 ligne en dehors de l'union scléro-cornéenne, marquait seule la place où la violence avait porté. Ensuite, ayant retourné la paupière supérieure, il découvrit sous le pli oculopalpebral, un corps blanc grisâtre, qui fut enlevé avec des pinces; c'était un frag. ment de patte.

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Un soulagement marqué suivit l'extraction,du corps étranger.-Le malade fut mis au lit et on prescrivit une potion calmante et l'application continue, sur l'œil, de compresses trempées dans de l'eau à la glace. Il se développa, dès le lendemain matin, une ophthalmie traumatique très-prononcée; il existait un chémosis sérosanguin; la plaque ecchymosée s'étendait vers l'angle palpébral externe et formait une demi-lune autour de la cornée; le bourrelet était plus prononcé : l'examen à la loupe montrait qu'une ulcération occupait son sommet.-Diète absolue.-Un purgatif salin; les fomentations froides sont continuées.

Le 31, l'amélioration a fait de grands progrès. Quelques aliments.-Lotions avec une solution d'acétate de plomb liquide.

Le 10 août, il ne restait plus de trace de l'ecchymose; le bourrelet avait repris son premier volume; quelques vaisseaux gorgés de sang s'y rendaient. L'ulcération de son sommet persistait; M. Cunier la cautérisa avec un pinceau chargé de solution acide d'azotate acide d'argent.

L'ulcération guérit; mais le bourrelet se maintint, aplati, analogue à ceux que l'on observe à la suite des pustules qui se montrent dans les ophthalmies catarrhoscrofuleuses. Il ne gènait en aucune façon le malade, dont l'œil n'offrait plus d'ailleurs qu'une teinte jaunâtre de la sclérotique, à l'endroit où avait porté le coup. Le 25 août, il se mit en route pour l'Italie et l'Allemagne.

Au mois de janvier, 1841, se trouvant à Naples, il contracta une ophthalmie catarrhale qui, traitée par M. Quadri, fut dissipée en huit jours. Mais la tumeur de la conjonctive avait tout à coup augmenté de volume et avait pris l'aspect d'une vésicule. M. Quadri y fit, avec une aiguille à cataracte, une ponction qui donna issue à de la sérosité roussâtre; puis il cautérisa avec la pierre infernale.

Lorsque M. de B... quitta Naples, le 2 février, la tumeur avait repris son ancien volume; seulement la conjonctive environnante offrait encore une vascularisation assez prononcée. M. Quadri avait prescrit l'usage d'une pommade de précipité rouge. Le volume de la tumeur parut rester le même jusqu'en mai, alors elle prit tout à coup un accroissement considérable. En trente jours, elle était devenue grosse comme un pois; elle avait empiété sur la cornée et gênait la vision. Du reste, point de douleurs, ni d'augmentation dans la vascularisation de la conjonctive. M. de B... s'adressa en juin, à van Onsenoort, qui diagnostiqua une tumeur hydatique de la conjonctive scléro-cornéenne, et prescrivit un collyre et l'usage d'une pommade.

Le 20 août, M. Cunier revit le malade pour la première fois. La tumeur était augmentée; elle avait la forme et le volume d'un grain de café. Elle naissait à 3/4 de ligne en dehors de l'union scléro-cornéale et s'étendait jusqu'au centre de la cornée; quatre ou cinq vaisseaux variqueux, venant du pli scléro-palpébral, s'y rendaient. L'aspect de cette tumeur ne pouvait être mieux comparé qu'à celui du bourgeon conjonctival que l'on remarque après l'opération du strabisme; elle était d'un rouge sarcomataux, au pourtour, et comme transparente à son centre et dans sa portion scléroticale.

M. Cunier y pratiqua une ponction qui amena la sortie de deux ou trois gouttes d'un liquide jaunâtre.

Le 21 août, ce praticien appliqua le blépharostat de Kelley-Snowden; les paupières étant ainsi maintenues écartées, il saisit la tumeur avec les pinces et l'incisa dans sa portion scléroticale. Aucune sérosité ne s'écoulant, il se décida à en pratiquer l'ablation; il l'incisa dans sa portion scléroticale et ensuite au moyen des ciseaux ophthalmiques courbes, il la disséqua dans tout son pourtour et une légère traction la sépara aisément de la portion de cornée à laquelle elle restait adhérente.

L'hémorrhagie et les autres accidents, qui succédèrent à l'opération ayant été avantageusement combattus par les divers moyens employés, après six semaines, il ne restait plus qu'un léger nuage de la cornée qui ne s'est guère amoindri depuis et qui n'apporte qu'un obstacle bien léger à l'exercice de la vision.

La production enlevée avait d'abord été jetée dans un vase rempli d'eau tiède; elle représentait un corps transparent vésiculeux, avec une extrémité à renflement, comme une calebasse en caoutchouc. Le lambeau de l'enveloppe kysteuse adhérait à la partie moyenne qui était la plus étranglée.

Retiré de l'eau et examiné à la loupe de deux pouces de foyer, M. Cunier reconnut dans le corps un cysticerque celluleux, analogue à ceux observés par MM. Baum, Hoering et Estling. Les quatre suçoirs, le double cercle de crochets, étaient parfaitemen reconnaissables; les disques du cou étaient d'un blanc mat, mais n'avaient point ce brillant signalé par les écrivains susmentionnés.

Après avoir séparé le ver du lambeau de kyste qui y adhérait, on le replaça dans l'eau. Examiné de nouveau deux heures plus tard, il s'était replié sur lui-même et offrait l'aspect d'un morceau de cristallin placé dans l'eau depuis quelques jours; la tache oblongue, signalée par M. Baum, comme provenant de la tête et du cou retirés, se reconnaissait assez distinctement, etc., etc. (I).

(1) Annales d'oculistique; mars 1842,

Il en est des acéphalocystes, solitaires ou multiples, qui ont pris naissance et se sont développés dans le tissu cellulaire sous-cutané des diverses régions du corps de manière à y former des tumeurs, comme des cysticerques et des kystes qui les renferment. Les uns et les autres peuvent donner lieu, dans les parties affectées et dans celles qui les environnent, à une inflammation diffuse suivie de suppu ration et de désorganisation; et les parois des kystes hydatiques peuvent en même temps participer à ces altérations. De là les phénomènes locaux et généraux, de la douleur, de la fièvre, de l'amaigrissement, etc. Non-seulement les effets que je viens de retracer surgissent quelquefois spontanément, mais ils se manifestent bien plus facilement encore à la suite de coups, de contusions, d'irritations portées sur la partie affectée, ou en conséquence de ponctions ou d'autres opérations chirurgicales pratiquées pour donner issue aux vers vésiculaires et aux liquides qu'ils contiennent; considération qui, comme le dit avec raison l'auteur de l'article hydatides du Dictionnaire de médecine, ne doit pas être perdue de vue dans l traitement.

Aux faits précédents, qui concernent des cysticerques celluleux, nés et développés dans le tissu cellulaire sous-cutané, dans l'épaisseur des muscles ou dans le tissu cellulaire sons-muqueux des paupières, j'en ajouterai deux autres relatifs à des kystes acéphalocystes sous-cutanés, l'un qui m'est propre, l'autre emprunté à un journal de médecine, lesquels peuvent servir à confirmer ce que j'ai dit cidessus et en même temps, fourniront la preuve que des tumeurs sous-cutanées, d'un volume assez considérable, renfermant des acéphalocystes, devenues le siége d'un travail inflammatoire et de suppuration, accompagnés d'accidents locaux et généraux plus ou moins graves sont, dans certains cas, susceptibles de s'ouvrir spontanément ou d'être ouvertes par l'art, sans qu'il s'ensuive de funestes résultats corrélatifs.

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4. OBS. - Tumeur indolente située dans la région dorsale qui, au bout de huit ans, s'enflamme, s'ouvre spontanément et donne issue à des acéphalocystes. Dans le cours du traitement de cette tumeur, qui marchait vers la guérison, accès de syncope, parfois précédés d'un groupe de symptômes simulant l'angine de poitrine ; et au moment où un état d'amélioration générale fait présager un rétablissement prochain, mort subile par syncope. — En 1816, Mme Constance P..., de Volterra, âgée de 24 ans, grande, bien conformée, d'un tempérament lymphatique-nerveux, portait depuis environ huit ans, à la partie inférieure latérale gauche de la colonne dorsale, une tumeur arrondie et indolente, sans changement de couleur à la peau, qui paraissait avoir son siége dans le tissu cellulaire sous-cutané.

Au mois de janvier, elle accoucha heureusement et à terme, d'un enfant måle bien portant.

Dans le courant du mois suivant, les menstrues reparurent à leur époque accoutumée. Mais, tandis que la jeune dame allaitait elle-même son fils et paraissait jouir de la meilleure santé, la peau qui recouvrait la tumeur s'enflamma, suppura et s'ouvrit en deux endroits différents, peu éloignés l'un de l'autre. Ces ouvertures livrèrent passage à de la matière purulente et à un grand nombre de corps vésiculaires, globuleux, à parois minces, molles et blanchâtres, de volumes divers. Ces corps examinés avec soin, furent reconnus pour des hydatides, du genre de celles décrites de nos jours (en 1816), sous le nom d'acéphalocystes. La tumeur était située à la partie postérieure et inférieure du tronc, sur le côté gauche des vertèbres dorsales. Elle s'étendait longitudinalement entre les apophyses épineuses correspondantes et les angles des côtes adjacentes, offrant à peu près 5 pouces de longueur, sur 3 à 4 pouces de largeur. Le chirurgien traitant (feu Lorenzo Lorenzi, vieux praticien, d'une profonde instruction, qui m'a fourni la majeure partie des renseignements dont je fais usage dans cette notice), crut d'abord convenable de

pratiquer, chaque jour, des pressions plus ou moins fortes sur la surface de la tumeur, afin d'en faire sortir les corps étrangers et les produits morbides qu'elle renfermait, et il terminait le pansement par l'introduction d'une mèche de charpie dans sa cavité, qu'il avait reconnu être revêtue d'un kyste.

Par la suite, quand il se fut convaincu que les deux ouvertures que présentait la tumeur, aboutissaient dans un réceptacle commun, peu étendu, et qui n'avait aucune communication directe, soit avec des parties osseuses, soit avec des cavités intérieures, il incorpora dans la pommade de roses, dont il induisait la charpie qui servait à panser la malade, une poudre escarrotique, dans le but de provoquer une inflammation aiguë des trajets fistuleux et du sac membraneux qui tapissait l'intérieur de la tumeur, et de favoriser ainsi l'adhérence et l'agglutination de leurs faces correspondantes.

Madame P..., qui était en proie à des chagrins profonds et incessants, fut alors attaquée d'accès de syncope dont la durée variait de quelques minutes à plus d'une heure entière. Ces accès étaient parfois précédés de vomissements, de resserrement spasmodique de la gorge, de mouvements convulsifs cloniques généraux, de gêne dans la respiration, de douleur violente dans la région du cœur et d'un sentiment de souffrance et de déchirement rapporté à la base de la poitrine. Cependant il n'était pas rare que les accès se déclarassent tout à coup et spontanément pendant le jour ou au milieu de la nuit.

Lorsqu'il arrivait au chirurgien, pendant les pansements, de comprimer avec plus de force que d'ordinaire les parois de la tumeur, elle ressentait des douleurs atroces, poussait les hauts cris, et disait qu'on lui arrachait les côtes; un jour même, à cette occasion, elle tomba en syncope.

Pendant dix à douze jours consécutifs, il lui survint de légères hémorrhagies nasales, qui n'influèrent d'aucune manière appréciable sur son état.

A la fin de mars, elle se plaignit de légères coliques, qui ne tardèrent pas à disparaître. après l'expulsion d'un lombricoïde, par le vomissement.

Peu de jours après, il survint de la gène dans la respiration, et un gonflement œdémateux se manifesta à la joue et aux membres du côté droit surtout. Ces symp tômes engagèrent son médecin à recourir à l'usage des diurétiques. La sécrétion que ces médicaments provoquèrent, sembla produire quelque soulagement.

Vers le même temps, elle fut assaillie de violentes quintes de toux, auxquelles succédaient souvent le hoquet. L'une de ces quintes fut suivie de l'expectoration d'un fragment de fausse membrane blanchâtre, élastique, comme fibrineux.

Quoique la tumeur, dont la suppuration avait diminué par degrés successifs, continuât à être encore le siége de douleurs assez vives, néanmoins, le pouls, qui avait été fébrile pendant plusieurs jours, était devenu tout à fait normal, le

29 mars.

Le lendemain, vers trois heures après midi, tandis que son mari et le médecin traitant (feu le docteur Toti) causaient ensemble dans un petit salon attenant à sa chambre à coucher, où l'on croyait qu'elle reposait tranquillement au lit, elle poussa deux ou trois cris plaintifs; on se précipita aussitôt dans la chambre, mais hélas ! on la trouva sans vie, le bras tendu et dirigé vers le cordon voisin de la sonnette, comme pour appeler du secours.

Nécroscopie. Le cadavre avait été transporté dans une chambre basse, et placé bien couvert dans un lit, sous lequel on avait mis un brasier allumé, pour entre tenir dans le corps de la chaleur, ce qui, avec les autres moyens employés pour rappeler la vie, avait contribué à favoriser la putréfaction, laquelle était fort avancée, 40 heures après le décès, quand, en ma présence, on procéda à l'ouverture. Dans ma relation je ferai abstraction des phénomènes évidemment dus à la putréfaction.

La pointe de la langue était retenue et comprimée fortement par les dents serrées les unes contre les autres, par une contracture encore persistante des muscles élévateurs de la mâchoire inféricure.

Roideur du bras droit, des doigts des mains et des pieds, tandis que toutes les autres parties des membres sont flexibles.

Rien d'insolite à noter, soit dans l'encéphale, soit dans les méninges.

Dans la poitrine, les poumons étaient rapetissés, comme contracturés, retirés sur eux-mêmes, partout crépitants, sans engorgement ni œdème. Les conduits aériens n'offraient aucune trace d'altération pathologique et ne contenaient pas de mucosités.

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Le péricarde recélait quelques cuillerées de sérosité sanguinolente, ce qui pouvait être un phénomène cadavérique. Le cœur était mou, flasque et assez volumineux. Ses parois ne présentaient pas d'épaississement et les ouvertures auriculo-ventriculaires étaient libres et d'une ampleur assez remarquable. Du reste, ce viscère ne renfermait dans ses cavités que fort peu de sang. · La veine cave inférieure contenait une petite quantité de sang noir et épais. L'œsophage, l'estomac et les intestins n'étaient le siége d'aucune lésion morbide appréciable; ils ne recélaient aucun lombricoïde, il n'y avait seulement que quelques tricharides dans le cœcum, entozoaires qui se rencontrent très-souvent dans cet intestin.

La putréfaction avait fait de tels progrès dans le foie qu'on observait des bulles de gaz logées sous le feuillet péritonéal qui en revêt la surface.

La rate et l'utérus n'offraient rien d'anormal.

Les parois de la tumeur, ainsi que les parties molles environnantes, étaient dans un état de putréfaction plus prononcée que les autres organes. Les deux ouvertures extérieures qu'elle présentait, communiquaient librement dans une cavité subjacente creusée dans le tissu cellulaire sous-cutané. Ses parois internes étaient constituées par un tissu morbide d'un rouge foncé, dense, consistant, parsemé d'un grand nombre de capillaires arborisés, hypérémiés, tissu que je considérai comme un tissu cellulaire hypertrophié et induré. Cette altération s'étendait au delà de la circonférence de la tumeur, en passant au-dessous des fibres charnues du grand dorsal gauche, entre le bord interne de ce muscle et les apophyses épineuses des dernières vertèbres du dos, et allait finalement se terminer aux apophyses transverses de quelques-unes de ces vertèbres, par un appendice qui s'en détachait, plongé dans la gouttière vertébrale et affectant une direction parallèle au rachis.

On ne découvrit aucune trace de pus et d'acéphalocystes, ni dans la tumeur ni dans ses environs.

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5e OBS. Sur un dépôt d'hydatides à la région lombaire droite, par M. Jannin, chirurgien à Vallières (1). — Une fille âgée d'environ 20 ans, domestique, qui jouissait de la meilleure santé, le 10 pluviôse an XII, vint consulter M. Jannin, sur une tumeur circonscrite, assez volumineuse, située à la région lombaire droite. Cette tumeur, considérablement accrue depuis environ un an, ne produisait d'autre incommodité que quelques élancements dans la partie. Cependant, dans les derniers temps, les élancements s'y faisaient sentir plus fréquemment et devenaient très-douloureux. Enfin craignant avec juste raison les suites de cette incommodité, elle se décida à recourir aux conseils du susdit chirurgien de Vallières.

La tumeur formait une élévation circonscrite assez considérable, mais n'avait,

(1) Fait pratique lu à la Société de médecine de Paris, le 17 floréal an XIII, et extrait du tome 23, du Journal de médecine de chirurgie et de pharmacie, an XIII.

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